L'homme va bientôt marcher sur l'eau. Il a déjà l'ambition de soigner les paralytiques et ne veut pas s'arrêter en si bon chemin. Cela serait petit et sans ambition. Attention Moïse, regarde dans ton rétroviseur tu vas bientôt te faire dépasser !
Sarkophage est quelque peu ironique et il a de bonnes raisons. Songez donc !
Nicolas Sarkozy est le seul homme qui parvient à vendre plus de 300 000 livres alors que les chiffres vérifiés font état d'environ 150 000. Il a donc un puissant pouvoir de coefficient multiplicateur de livres vendus qui n'existent pas. Souvenez-vous c'est son "Témoignage". (Cliquez sur les liens !) Refourgué à grands coups de vente forcée chez des buralistes et libraires qui n'en voulaient pas tous.
Nicolas Sarkozy est le seul homme qui parvient à placer entre 80 000 et 100 000 personnes dans une salle qui ne peut en contenir (mathématiquement) que 25 000 environ. Malgré tous les mols démentis de son équipe les faits sont tétus. Vous avez essayez de rentrer à trois dans une machine à laver de six kilos ? Eh bien c'est le même défi qu'a relevé Nicolas Sarkozy. Il faut que Vedette l'embauche !
Nicolas Sarkozy est le seul homme qui parvient à multiplier les voitures brûlées juste en ouvrant la bouche, mais qui ne veut pas les assumer. Ainsi en 2005 il parvient, sans trop se forcer là encore à 45 588 épaves fumantes incendiées sur l'autel de la révolte ou de la vengeance envers mister Karcher.
Nicolas Sarkozy est le seul homme qui parvient à faire voter 320 000 adhérents alors que son parti n'en compte à peine plus de 150 000. Comme le montre le document du Canard Enchaîné pompé sur le site internet passoire du candidat. Il faut aussi voter les gens plusieurs fois en sachant qu'il n'y a qu'un candidat !
Enfin, Nicolas Sarkozy n'est malheureusement pas le seul qui dit une chose un jour et son exact contraire le lendemain ou quelques années plus tard. Ce qui fait qu'aujourd'hui on peut considérer qu'il ne croit plus en la rupture et qu'il n'est pas le bon candidat pour les français. Aveu sorti de sa bouche au cours d'une campagne précédente (perdue une fois de plus, mais il ne faut pas être trop cruel)