Sarkophage vous a trouvé, amis de la poésie, une oeuvre majeure du répertoire de sarkologie.
Ouvrez le ban, et dégustez ces maux mots !
L'ANON TERRIBLE
Le ministre terrible, à son balcon sifflé,
Regardait sans ciller brûler le feu terrible,
Et de calmes secrets sur son masque terrible,
Camouflaient l'innocence qu'il voyait brûler.
Alors, du pays las soudain d'être immolé
Sous le joug des puissants, conspirateurs terribles,
S'éleva brusquement, audiblement terrible,
De par-delà les flammes un terrible tollé.
"Maudits ! Maudits ! Maudits ! Président Nicolas !
Chevali-er Nagy ! Maire Bosca ! L'année
Prochaine, vos complots voleront en éclats.
Je vous mande tous trois, ombres dix fois damnées
Au tribunal terrible de notre nation !
Maudits ! Soyez maudits sur cent générations !
Jacques Jeudemot-Lay du Yahoo, Les Hongrois Maudits