Le petit Nicolas Sarkozy se fait encore remarquer. Il ne peut pas s'en empêcher. Non par la tonitruante déclaration passée inapercue et expliquant son complexe d'infériorité :
De son enfance, il garde un sentiment d'humilation. Il habitait Neuilly déjà, mais sa mère, divorcée, avait des moyens très inférieurs à ceux des parents de ses camarades. Ce n'était pas la misère, loin de là, mais il conserve un souvenir amer, par exemple, du saumon fumé sous cellophane dont sa famille devait se contenter et dont la vue le dégoûtait presque.
Révélations trouvées dans Le Nouvel Obs en ligne !
Ce qui a réveillé un peu les journalistes c'est de découvrir que le modèle réduit des candidats à la présidentielle jouait allègrement avec les biens de la république pour se faire élire.
Il a dû trop regarder Chirac qui avait la facheuse tendance d'acheter ses billets avec des valises pleines de biftons de 500 balles.
Pourtant tout cela n'est pas nouveau ... Souvenez-vous !
Souvenez-vous du voyage du petit Sarkozy, en octobre 2005, ou il a clairement annoncé la couleur : vive la république et son carnet de chèques.
Souvenez-vous du recrutement de populistes par son ministère au moment de la crise des banlieues, d'une manière fine et subtile à souhait.
Souvenez-vous des vacances à Arcachon de nono le bigorneau qui ont mobilisé plus de moyens qu'une virée du pape en plein centre de Paris.
Remarquez ... le voyage de Nono le bigorneau au pays des talibans du dollar sera l'occasion pour lui d'améliorer son anglais. Au point ou il en est, cela ne peut pas être pire !
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