9 mars 2008
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La maladie d'Alzheimer fait de terribles ravages dans notre démocratie. Cette maladie insidieuse empêche même les malades de se rendre compte de leur état.
Face à cette calamité nationale, représentée par le malpoli Nicolas Sarkozy, il faut réagir. Il est encore temps le jour des élections ! Car le lendemain, c'est cuit !
Il faut rappeler que Sarkozy voulait en faire un scrutin à portée Nationale, pensant sans doute remporter haut la main les scrutins locaux. Aujourd'hui tout est fait pour faire oublier cela. Et surtout éviter une perte de 10 points supplémentaires dans les sondages.
Il faut rappeler la manipulation très discrète sur le pouvoir d'achat quelques jours avant le vote. Cet épouvantail était à cacher dans le placard. Parce que les français ont compris qu'on les prenait pour des cons.
Il faut rappeler les mesures électoralistes subtiles et délicates lancées en pâture à un électorat en colère. Les petits vieux qui ont fait Sarkozy président sont en effet eux aussi touchés par la baisse du pouvoir d'achat. Ils pourraient se venger avec leur bulletin de vote !
Il faut rappeler la honte complète des candidats UMP à se revendiquer de leur parti. A tel point que le logo Union des Mals Polis est invisible sur la plupart des affiches des candidats de ce parti sans complexe, pourtant, quand il s'agit de ressortir le fascisme et Staline du formol.
Il faut rappeler la tragi comédie digne de TF1 étalée sur nos écrans et qui s'est déroulée à Neuilly.
Feuilleton révélateur d'une éthique aussi importante qu'une serpillère de toilettes publiques.
Le privilège du roi s'est illustré avec tant de grandeur et de délicatesse.
Enfin il faut rappeler la trouille totale du président Bling Bling devant une bérézina programmée. Celui qui ne savait qu'agiter les bras et prononcer des discours d'une pauvreté éthymologique affligeante est en slip. Il a réussi, le tour de force de se flinguer seul, sans opposition et sans scandale particulier. Signe que la grandeur et le charisme ne résident pas dans le talent de la trahison.
Face à cette calamité nationale, représentée par le malpoli Nicolas Sarkozy, il faut réagir. Il est encore temps le jour des élections ! Car le lendemain, c'est cuit !
Il faut rappeler que Sarkozy voulait en faire un scrutin à portée Nationale, pensant sans doute remporter haut la main les scrutins locaux. Aujourd'hui tout est fait pour faire oublier cela. Et surtout éviter une perte de 10 points supplémentaires dans les sondages.
Il faut rappeler la tragi comédie digne de TF1 étalée sur nos écrans et qui s'est déroulée à Neuilly.
Feuilleton révélateur d'une éthique aussi importante qu'une serpillère de toilettes publiques.
Le privilège du roi s'est illustré avec tant de grandeur et de délicatesse.
Enfin il faut rappeler la trouille totale du président Bling Bling devant une bérézina programmée. Celui qui ne savait qu'agiter les bras et prononcer des discours d'une pauvreté éthymologique affligeante est en slip. Il a réussi, le tour de force de se flinguer seul, sans opposition et sans scandale particulier. Signe que la grandeur et le charisme ne résident pas dans le talent de la trahison.