17 février 2008
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On croyait avoir touché le fond avec un Jégo en forme comparant les méthodes de quelques opposants politiques au stalinisme. Eh bien détrompez vous chers concitoyens. Dans l'ordre de la bêtise et du n'importe quoi il faut croire que l'UMP peut réserver des surprises étonnantes.
Pour preuve, un fidèle bras droit cassé du président en perdition dans les sondages est repassé ce jour pour la deuxième couche de victimisation du pauvre petit Sarkozy. Le ptit nounou qui n'arrive pas à incarner sa fonction mais à la ridiculiser un peu plus chaque jour, essaye tout ce qu'il peut pour faire oublier ses errances et déboires. Avec les méthodes employées Sarkophage n'a aucun doute : le pire va pouvoir continuer.
Quand Karoutchi compare les méthodes des détracteurs du sarkozysme a des fascistes (si si il n'est pas à ça prêt) il fait montre d'une inculture navrante. Alors tout le monde sait bien qu'il ne croit pas un mot de ce qu'il raconte, mais quand même. Ressortir du formol une idéologie et un programme comme le fascisme pour défendre un président bling bling démoralisé, c'est signe qu'il ne reste plus grand chose avant la fin des haricots.
Quelle lune vont-ils aller chercher demain ? L'eugénisme ? Manque de bol ils soutiennent un type qui a mis les doigts dedans il y a pas longtemps et qui sentent mauvais.
La xénophobie au prétexte que Sarkozy est le fils d'un réfugié hongrois ? Manque de bol ils soutiennent un type qui ne s'embarasse pas de principes pour pourchasser des boucs émissaires faciles et ainsi engranger les voix et soutiens du FN.
Que va-t-il donc rester dans l'ordre du ridicule et du stupide le plus accompli pour sortir Sarkozy de la fange dans laquelle il a réussi (tour de force unique) tout seul à se mettre ?
Cette victimisation pitoyable est en plus à double tranchant. Quand on sait que Sarkozy a été élu en pillant les voix du FN on comprend vite qu'il ne faut pas trop jouer avec le feu. Evoquer le fascisme quand on a eu soi même besoin de soutiens qui sentent pas bon, c'est risible.
Et c'est un connaisseur qui le dit !
Merci à Sarkozy News
Pour preuve, un fidèle bras droit cassé du président en perdition dans les sondages est repassé ce jour pour la deuxième couche de victimisation du pauvre petit Sarkozy. Le ptit nounou qui n'arrive pas à incarner sa fonction mais à la ridiculiser un peu plus chaque jour, essaye tout ce qu'il peut pour faire oublier ses errances et déboires. Avec les méthodes employées Sarkophage n'a aucun doute : le pire va pouvoir continuer.
Merci à Delucq
Quand Karoutchi compare les méthodes des détracteurs du sarkozysme a des fascistes (si si il n'est pas à ça prêt) il fait montre d'une inculture navrante. Alors tout le monde sait bien qu'il ne croit pas un mot de ce qu'il raconte, mais quand même. Ressortir du formol une idéologie et un programme comme le fascisme pour défendre un président bling bling démoralisé, c'est signe qu'il ne reste plus grand chose avant la fin des haricots.
Quelle lune vont-ils aller chercher demain ? L'eugénisme ? Manque de bol ils soutiennent un type qui a mis les doigts dedans il y a pas longtemps et qui sentent mauvais.
La xénophobie au prétexte que Sarkozy est le fils d'un réfugié hongrois ? Manque de bol ils soutiennent un type qui ne s'embarasse pas de principes pour pourchasser des boucs émissaires faciles et ainsi engranger les voix et soutiens du FN.
Merci à Tropical Boy
Cette victimisation pitoyable est en plus à double tranchant. Quand on sait que Sarkozy a été élu en pillant les voix du FN on comprend vite qu'il ne faut pas trop jouer avec le feu. Evoquer le fascisme quand on a eu soi même besoin de soutiens qui sentent pas bon, c'est risible.
Et c'est un connaisseur qui le dit !
Samedi 16 février, lors d'une réunion politique dans le IVème arrondissement de Paris Roger Karoutchi a comparé l'attitude des journalistes d'aujourd'hui à celle de la "presse des années 30". Se référant au SMS de Sarkozy à Cécilia, publié sur le site du Nouvel Observateur, et plus largement au "déballage médiatique" de ces "journalistes qui passent derrière vous dans les chambres", il a dit : "On a l'impression d'un vent de folie qui respire les années 30 avec ce que cela a de plus nauséabond".
Le secrétaire d’Etat aux relations avec le Parlement n’a pas hésité à assimiler les "attaques" contre Nicolas Sarkozy à celles subies par Jean Zay "mi juif, mi protestant" cible de la presse d'extrême-droite sous le gouvernement de Vichy. "Cela a contribué au fait qu'il soit assassiné", a-t-il même tenu à préciser. Dans son élan, Roger Karoutchi s’en est ensuite pris à la pétition dans laquelle 17 personnalités dénoncent les "dérives de pouvoir personnel" du président de la République. "Il y a des types qui n'ont toujours pas accepté que Sarkozy gagne les élections. C'est du déni de démocratie"…et "du fascisme rampant".