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4 mai 2007 5 04 /05 /mai /2007 14:02
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commentaires

D
pourquoi parle t-on souvent du trou de la sécu alors qu'il est reconnu qu'il y a des fraudes, qui peuvent atteindreà plusieurs millions euros et que n'y la justice, n'y l'état ne parlent des personnes responsables de ses délits et du remboursement. pourqupoi ces personnes ne sont pas en prison pour purger leurs peines et pourquoi c'est le francais moyen qui doit casquer pour combler le trou de la sécu et non pas les personnes qui en on profité. on parle de plusieurs milers d'euros. est-ce normal. comment l'état pense t-elle recupérer l'argent. sur le dos des petits salariers ou sur les personnes qui on fraudé. toujours est il qu'on entend parler des fraudes à la sécurité sociale mais que personne ne parle de jugement ou de remboursement des fraudes. peut être si les personnes incriminés étaient jugées, et qu'ils devaient rembourser les frais, le trou de la sécu ne serait pas aussi profond.
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K
Très petite mais très travailleuse comme on dit. (sur 53% des français, il faut le faire)<br /> Rendez-vous demain, avec ce sentiment que le débat n'a jamais été très élevé après tous ces mois.
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T
ha ben ! personne n'a remarqué que le petit gros avait une toute petite stouquette ?<br /> comme c'est curieux ...
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A
La propagande télévisée et journalistique a parfaitement fonctionné. On sent nettement l'efficacité des méthodes. Les gens ne sont pas encore allés voter mais pour une majeure partie, ils ont l'impression de connaître par avance l'élu de ce suffrage. Le travail a été efficace. <br /> L'intérêt démontré pour ces élections (avec ce taux de participation record) tend à nous faire croire que cette mobilisation exceptionnelle portera au firmament Saint Nicolas.<br /> Peuple de France, votre messie s'est réincarné ! Cet homme, transfiguré par sa céleste mission est l'unique élu à pouvoir tout résoudre. <br /> Grandiose message subliminal, c'est dieu que vous allez élire ! Et comme pour tous les miracles, les résultats sont déjà imprimés dans vos esprits.<br /> "Les voix des urnes sont incontrôlables !"<br /> VOTEZ !!!!! LA VICTOIRE EST POSSIBLE !!!! <br />
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P
est possible de remplacer des douaniers par des infirmières<br /> augmenter la police diminuer la police imprimer Lionel Bonaventure AFP Š Etudiants en médecine, élèves infirmiers et médecins retraités ont commencé à répondre présents, mardi, à l'appel du ministre de la Santé à venir renforcer les Samu et services d'urgences aux prises avec la canicule, s'interrogeant toutefois sur leurs tâches.<br /> <br /> <br /> Est-il possible de ne pas remplacer des douaniers qui partent à la retraite et augmenter, en lieu et place, le nombre d’infirmières, comme l’a suggéré lors du débat Ségolène Royal ? Non, avait répondu Nicolas Sarkozy «parce que la fonction publique hospitalière, c’est payé par un autre budget que le budget de l’Etat» et qu’on ne peut pas «redéployer (les fonds) entre l’Etat et l’assurance-maladie».<br /> <br /> «Il est vrai que la fonction publique hospitalière est payée par l’assurance-maladie, contrairement à la fonction publique d’Etat et à la fonction publique territoriale», souligne Martine Bellanger, économiste à l’Ecole Nationale de la Santé Publique (ENSP) de Rennes. Qui rappelle que l’assurance-maladie, elle-même, est financée par les cotisations sociales et la CSG. Nicolas Sarkozy aurait-il donc raison ?<br /> <br /> L’Etat a son mot à dire<br /> <br /> «Non, il a tort, répond Jean-Marie André, lui aussi économiste à l’ENSP et spécialiste de l’Assurance-maladie. Dans le cadre de la loi annuelle de financement de la Sécurité sociale, l’Etat peut décider d’augmenter les dotations à l’Assurance-maladie via une augmentation de ce qu’on appelle les «contributions publiques». Celles-ci, comme les taxes sur l’alcool, le tabac ou la taxe de solidarité sur les sociétés, contribuent marginalement au financement de l’assurance-maladie, parallèlement aux cotisations sociales».<br /> <br /> «On peut donc très bien imaginer que le législateur vote une diminution du nombre de certains fonctionnaires de l’Etat dans la loi annuelle de Finances et répercute l’économie réalisée dans la loi de financement de la Sécurité sociale», poursuit Jean-Marie André.<br /> <br /> Et de pointer une contradiction de Nicolas Sarkozy qui a proposé la fusion des Assedic et de l’ANPE. «Les premiers relèvent des partenaires sociaux, comme l’assurance-maladie, et le second est un service public. On peut certes avoir la volonté politique de les fusionner mais pourquoi, dans ce cas, avoir tant mis l’accent sur l’autonomie de l’assurance-maladie ?». <br /> Alexandre Sulzer <br /> <br /> <br /> <br />
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