Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
11 avril 2007 3 11 /04 /avril /2007 14:09

Pour Nicolas Sarkozy on naît criminel ou on nait déprimé suicidaire. Si si, il l'a dit et même confirmé. Cela s'appelle une détermination génétique. Ou pour faire simple : on ne "choisit" pas de devenir ce que l'on est, on le subit.

Ainsi, Jean Marie Le Pen n'a pas choisit d'être l'épouvantail politique de la 5ème république. Il est né ainsi, le pauvre.

Nicolas Sarkozy n'a pas choisi de naître démagogue et de fantasmer sur la présidence de la république. Il est né comme cela. Déjà, en couches culottes, il rêvait du grand palais de l'Elysée avec ses petits fours, ses sauteries de grand standing et son immunité afférente. 

Image Hosted by ImageShack.us

Merci à Kiosk (Le talentueux !)

Sarkophage lance donc un message à tous les cons, tocards, tordus, fêlés, fissurés de la cafetière (c'est moins grave), sarkozistes, populistes, chiraquiens, nez de boeuf, pas fini, mal fini, trop fini, indéfinis ... Vous n'y pouvez rien ! C'est G-E-N-E-T-I-Q-U-E. Et c'est pas pour cela qu'on vous pardonne ! Parce que vous auriez pu avoir la présence d'esprit de naître avec le gène du suicide. Pour courroner le tout.

Si le gène de la bêtise, de la démagogie, du mensonge et des petits calculs nauséabonds existe, il faut d'urgence faire faire un test à Nicolas Sarkozy. On pourrait en deux coups de seringue comprendre une mystère digne du Da Vinci Code ... 

Image Hosted by ImageShack.us 

Sarkostique le sarkozy blog officiel satirique

Bouton ca vous a plu du blog sarkostique le sarkozy blog satirique  Bouton reagir du blog sarkostique le sarkozy blog satirique  Bouton best off du blog sarkostique le sarkozy blog satirique

Partager cet article
Repost0

commentaires

D
Ce n'est pas parce que l'on est malade de naissance que la maladie en question est génétique.<br /> Après il est possible effectivement qu'il existe une stérilité génétique (je n'en sais rien, pour être franc), parce qu'on peut être "porteur sain" d'un allèle récessif provoquant cette maladie. Mais pour que cet allèle se développe dans le pool génique, il faudrait malgré tout qu'il apporte un avantage évolutif à l'individu qui le porte, comme le gène de la drépanocytose, qui protège mieux ses porteurs du paludisme que l'allèle sain du même gène.<br /> Il peut aussi y avoir un ou des gène(s) prédisposant à la stérilité, mais c'est très différent d'un gène la provoquant à coup sûr.<br /> <br /> Concernant le suicide chez les adolescents (cela serait différent pour des suicides ayant lieu après la procréation), il faudrait qu'un gène le provoque à lui tout seul (rappelons que le dangereux nie toute responsabilité des parents), ce qui contredit l'expérience, et en plus que ce gène soit récessif et bénéfique pour ceux ne le portant qu'en un exemplaire, afin de pouvoir se maintenir dans le pool génique. Cela fait beaucouo de conditions, non ?<br /> A un moment où le stress, notamment au travail, est si répandu, je ne crois pas nécessaire d'aller chercher des explication aussi capilotractées.<br /> Ce qui est certain en tout cas c'est qu'un adolecent suicidé ne transmettra pas plus de gènes à ses descendants que la personne stérile de naissance. Alors pour l'hérédité là-dedans... Pourquoi pas un gène de l'homosexualité aussi ?<br /> Donc je veux bien t'accorder que la démonstration ne soit pas tout à fait rigoureuse, mais je maintiens que pour chercher l'explication d'abord et uniquement dans le patrimoine génétique de l'individu, il faut être sacrément allumé. La probabilité est infime, pour ne pas dire nulle.<br /> Un adolescent qui se suicide après une rupture par exemple, ou après avoir raté un examen (cela arrive), le doit à ses gènes ? Le reste n'est qu'une coïncidence ?
Répondre
P
Le precedent intervenant nous explique doctement<br /> <br /> "Belle démonstration maynial. Le caractère génétique du suicide chez les adolescents (qui n'ont pas encore procréé en général), est un non-sens biologique.<br /> Ceci dit, si les sarkolatres avaient des notions de génétique, cela se saurait"<br /> <br /> Ce bel argument devrait alors s'appliquer a la sterilite. Pourtant il existe des personnes steriles "de naissance".<br />
Répondre
D
Belle démonstration maynial. Le caractère génétique du suicide chez les adolescents (qui n'ont pas encore procréé en général), est un non-sens biologique.<br /> Ceci dit, si les sarkolatres avaient des notions de génétique, cela se saurait.<br /> <br /> Il est temps de confier le pays à des scientifiques de gauche. Un grand nombre de problèmes viennent du fait que les politiciens, dont la seule formation consiste à apprendre à mentir de façon crédible et défendre les intérêts de la bourgeoisie, ne comprennent rien à la science, en particulier aux mathématiques. Cela les empêche de voir les immenses dangers et les absurdités de la croissance, tant économique que démographique. Pour quelqu'un qui ignore tout des mathématiques, une croissance de 3% par an paraît raisonnable. Or cela équivaut à un peu plus d'un doublement tous les 25 ans, soit une multiplication par 19 en 100 ans (!), ce qui est énorme. Pensez-vous vraiment que l'on peut se permettre de continuer ainsi, quand on constate ce qui se passe déjà aujourd'hui et sachant qu'il faut du temps pour que les effets se fassent sentir (donc on ne connaît pas encore le résultat de la situation actuelle) ?
Répondre
M
si être ados-suicidaires était génétique,les suicidés feraient disparaitre leur gène spécifique en se suicidant et étant trop jeunes pour s'être déjà reproduits le gène en question ne pourrait avoir été transmis.donc il n'y aurait plus de suicidés,mais comme les suicides continuent voire augmentent,c'est bien la preuve que ce fameux gène ne peut pas exister
Répondre
A
Laisse tomber Décroissance, les sources il ne les donnera jamais, il préfère faire le guignol, laissons encore s'amuser d'ici le 22 avril et avec un peu de chance d'ici le 6 mai, après il va sérieusement se calmer pour au moins 5 ans voir plus.
Répondre