Sarkophage a la chance de recevoir dans sa boîte aux lettres des documents qui valent leur pesant de cacahouètes.
Souvenez-vous. Il y a un an, presque jour pour jour éclatait l'affaire du livre interdit par le petit Nicolas Sarkozy. Une journaliste de Gala, Valérie Domain, avait eu le courage de travailler avec Cécilia, aussi appelée Pomponnette par les mauvaises langues.
De leurs conversations (enregistrées sur bande audio) est né un livre, enfin mort-né un livre. Car une fois celui-ci tiré à 25 000 exemplaires, il a fallu le brûler. Sans qu'aucun ne puisse être vendu. Manque à gagner pour l'éditeur (pas du tout courageux) 300 000 euros. Une paille pour les éditions First...
Responsable de cet autodafé : Nicolas Sarkozy, que l'étalage de ses difficultés conjugales indisposait beaucoup. Parce que prendre sur son temps de ministre de l'intérieur pour convoquer un éditeur dans son bureau place Beauvau, c'est significatif d'un énervement caractérisé.
Et pour celui qui serait propriétaire d'un exemplaire du livre, qu'il se rapproche de Sarkophage par mail pour en discuter. Ceux ci son rares ... même très rares.
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