Les visites de Nicolas Sarkozy ressemblent de plus en plus à l'ancienne vie de Salman Rushdie. Rendez vous compte, pour se rendre à Meaux, ville occupée par une force militaire hostile et sujette à des attentats terribles quotidiennement (on parle la bas de troisième guerre mondiale) il lui a fallu pas moins de 326 fonctionnaires de police.
Vous avez bien lu ! Mais Sarkophage l'écrit quand même en lettre tellement l'info provoque des troubles de la vision : trois cent vingt six pandores. L'argent des impôts des français est décidémment bien utilisée.
Arrivé avec deux heures de retard il est parti en pétard (cela devient une habitude et un mode de communication pour lui). Sans doute parce qu'il a entendu de la part d'un habitant :
"Lorsque je vous écoute à la télé j'ai envie de vomir (...) Vous prônez la division, quand nous ici, prônons le vivre ensemble. Vous faites peur aux gens" Courageux le monsieur ! Quelques années auparavant il aurait fini dans une geôle de la république. Car Nicolas Sarkozy sait acceuillir les terroristes au Yaourth !
Après quelques fumeuses promesses il a tenté de faire le beau devant une foule pour le moins énervée d'être parquée dans une salle et moins nombreuse que les pandores affolés comme dans un poulailler.
Et cerise sur le gâteau, deux cars de salariés d'entreprises locales ont été interdits de meeting (grâce à un contrôle routier tatillon). Et pourquoi ? Car ils venaient briser l'image du sauveur du monde qui n'est en fait même pas capable de se sauver lui même.
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