Le Blog Satirique de Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa. Retrouvez les dernières casseroles, gamelles et autres embrouilles du petit père des peoples. Que l'on écrive sarkozy, sarkosi, sarkosy ou sarkozi voire Bruni on parle du même personnage !
Après sans doute une sortie people dont il a le secret et le goût certain, il lui a pris l'idée d'aller rendre visite à la France qui se lève tôt pour aller travailler et être payée en pourboires.
Il a demandé à son chauffeur de prendre la direction de Rungis. Pour faire d'une pierre deux coups. D'une part montrer qu'l est un grand courageux qui ne s'économise pas. Ce dont personne ne doute quand on sait qu'il prend plus de vacances qu'un salarié (entre mai et septembre 2007 il a passé environ 3 semaines en vacances en 5 mois ...).
Histoire de faire oublier les promesses sur le pouvoir d'achat disparu pour longtemps (peut-être toujours ?).
D'autre part il fallait calmer la fièvre qui s'empare de tous ceux qui ont besoin du carburant comme outil de travail. Avec un prix qui a doublé en trois ans environ, il a du pain de petit déjeuner sur la planche.
Alors il va créer une ... taxe ! Qui sera financée par .. les consommateurs ! C'est tellement créatif qu'on se retient de prendre son mouchoir d'émotion.
TRUTH BOODDHA MEISSONNIER LYCE ST FR ASSISE SUITE FEATURING BOODDHA INSTANT DE GIVECNHY BOUDEP 2006 CAISSE DE DEPOTS ET DE CONISGNATIONS TITRE MICEHLIN NASA 2006 APRT 5 P 57 CH CIVIL TOKYO EXCHANGE BIBLIOTH DE CERGY PONTOISE DE CHENES<br />
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TITLE ANN HATHAWAY HEDI KLUM MINI ANDEN KATE HOLMES JESSICA SIMPSON SCARLETTE JOHANSSON SUPREME COURT REPORTEER 104 P 244 AMERICAN JEWISH CONGREES ET CIA P 1307 T 97 P 117 H G SHADT ET R THORNBURG ET 97 A P 2190 M TYLER N 3<br />
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BOLETIN CULTURLA Y BIBLIOGRAPHICA 69 P 83 A 84<br />
62 P 58<br />
63 P 62<br />
64 P 63<br />
65 P 63<br />
66 P 61<br />
67 P 58<br />
68 P 67<br />
70 P 48<br />
71 72 P 111<br />
73 P 65<br />
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ARIEL SHARONNE VITRY SUR SEINE<br />
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TILE 98 P 1286 SELLARS TP BUSH MOTION FOR LEAVE TO FILE WRITE MANDAMUS<br />
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REVISTA DE OCCIDENTE 333 P 91<br />
302 303 P 39<br />
304 P 53<br />
305 P 19<br />
307 P 37<br />
308 P 53<br />
309 P 33<br />
301 P 37<br />
319 P 79<br />
318 P 81<br />
317 P 41<br />
316 P 55<br />
314 315 P 51<br />
313 P 55<br />
312 P 69<br />
311 P 77<br />
300 P 83<br />
299 P 31<br />
298 P 61<br />
296 P 75<br />
295 P 73<br />
294 P 61<br />
293 P 79<br />
292 P 51<br />
290 291 P 61<br />
286 P 49<br />
288 P 77<br />
289 P 59<br />
283 P 55<br />
284 P 93<br />
285 P 63 NELLY R<br />
287 P 67<br />
332 P 69<br />
330 P 77<br />
331 P 61<br />
320 P 63<br />
321 P 85<br />
322 P 51<br />
323 P 77<br />
324 P 57<br />
326 327 P 103<br />
325 P 41<br />
328 P 81<br />
334 P 39<br />
329 P 69<br />
282 P 77<br />
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TITLE 99 P 120 SAVE OUR CEMETERIES<br />
ITALIAN STUDIES 64 1 P 79<br />
61 1 P 29<br />
2 P 208<br />
62 2 P 175<br />
63 2 P 249<br />
1 P 39<br />
LIII 1998 P 91<br />
LIV 1999 P 77<br />
IDEM 2001 P 59<br />
LVII 2002 P 119<br />
LVIII 2003 P 57<br />
60 2 P 163<br />
60 1 P 53<br />
LIX 2004 P 57
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TITLE ANN HATHAWAY HEDI KLUM MINI ANDEN KATE HOLMES JESSICA SIMPSON SCARLETTE JOHANSSON SUPREME COURT REPORTEER 104 P 244 AMERICAN JEWISH CONGREES ET CIA P 1307 T 97 P 117 H G SHADT ET R THORNBURG ET 97 A P 2190 M TYLER N 3<br />
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BOLETIN CULTURLA Y BIBLIOGRAPHICA 69 P 83 A 84<br />
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65 P 63<br />
66 P 61<br />
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68 P 67<br />
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71 72 P 111<br />
73 P 65<br />
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ARIEL SHARONNE VITRY SUR SEINE<br />
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302 303 P 39<br />
304 P 53<br />
305 P 19<br />
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318 P 81<br />
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316 P 55<br />
314 315 P 51<br />
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285 P 63 NELLY R<br />
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TITLE 99 P 120 SAVE OUR CEMETERIES<br />
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61 1 P 29<br />
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63 2 P 249<br />
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LIII 1998 P 91<br />
LIV 1999 P 77<br />
IDEM 2001 P 59<br />
LVII 2002 P 119<br />
LVIII 2003 P 57<br />
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60 1 P 53<br />
LIX 2004 P 57
Pétition de soutien au 57 ème Régiment d'Artillerie de Bitche.<br />
<br />
Sur le plan économique comme sur le plan humain, la dissolution annoncée du 57 ème RA aura des conséquences très graves pour le pays de Bitche. C'est pourquoi, nous vous invitons à nous rejoindre sur le blog de soutien :<br />
<br />
http://sos-bitche.over-blog.fr<br />
<br />
Signez et faites signer la pétition !<br />
___<br />
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<br />
Le "chant des adieux" est une petite pièce composée par mes soins pour évoquer le désarroi et les drames qui découlent du projet de dissolution du 57 ème RA, mais surtout la détermination et la force d'hommes et de femmes décidés à se défendre.<br />
<br />
__<br />
<br />
François : Monsieur le Président, cette petite visite me rappelle votre passage éclair sur le site de Gandrange. "Visite présidentielle, visite providentielle..." et finalement, bien des déconvenues à la clef !...<br />
Sarko : Mais c'est tout de même extraordinaire, cette façon de tout déformer ! A Gandrange, j'ai fait des déclarations précises, des promesses claires ! Je me suis engagé solennellement à prendre en charge les investissements nécessaires au redressement de cette entreprise et...<br />
François (lui coupant la parole) : Vous l'avez dit et vous n'en pensiez pas un mot ! Vous-même savez bien que Bruxelles interdit formellement ce genre d'initiatives. Vous avez froidement mené ces gens en bateau (et pas celui de Vincent Bolloré !), et vous êtes venu en faire autant ici !<br />
Sarko : Oh, mais pas du tout ! On ne pourra pas me reprocher de ne pas tenir des promesses faites devant vous, parce que..., comment vous dire cela...<br />
François : Parce que vous ne prendrez même pas la peine de nous en faire, n'est-ce pas ? L'affaire est pliée, et on n'en parle plus !<br />
Sarko (mielleux) : Il faut savoir s'adapter aux réalités économiques... Il faut que chaque français fasse des efforts pour que notre pays reste compétitif...<br />
<br />
François : De notre point de vue, ce sont toujours les mêmes français qu'on presse de faire des efforts ! Nous sommes égaux devant l'effort, Monsieur le Président, mais comme disait Coluche, il y a des gens qui sont "moins égaux que les autres" !! ...<br />
<br />
Sarko : Allons, Monsieur François, le pays de Biche n'est pas si mal loti !<br />
<br />
François : De Bitche, Monsieur le Président ! Le Pays de BITCHE !!!<br />
<br />
Sarko : Ne jouez pas sur les mots ! Vous ne pouvez pas demander à l'Etat de maintenir des garnisons pour vous protéger contre des dangers qui n'existent plus !<br />
<br />
François : Monsieur le Président, c'est nous au contraire qui avons protégé l'Etat au cours des dernières décennies. Nos pères ont été en première ligne des combats, nos maisons ont été bombardées, et lorsqu'il a fallu céder des villes à l'occupant, c'est encore la nôtre que le sort a désignée !! Et aujourd'hui, la paix revenue, c'est un autre bombardement qui s'abat sur nos têtes, celui de réformes iniques qui signent la débâcle de notre région.<br />
C'est cela qu'il est si difficile d'admettre pour nous ! C'est le Pays de Bitche qui a été le plus éprouvé, Monsieur le Président ! C'est ici qu'il y a eu le plus de morts ! Et à chaque réforme, c'est ici encore que les mesures sont les plus dures, les plus radicales, les plus définitives !<br />
C'est un lâchage en règle, Monsieur le Président !<br />
<br />
Sarko (qui feuillette quelques papiers) : Bitche a toujours été chère à mon cœur, Monsieur François ! A la cérémonie de passation de pouvoirs consécutive à mon élection, j'ai tenu à la présence des artilleurs du 57ème Régiment d'Artillerie de Bitche ! Ce sont eux qui ont tiré vingt-et-un coups de canons sur l'Esplanade des Invalides !<br />
<br />
François : C'est un signe, Monsieur le Président ! Il faut justement invalider cette décision de dissolution du 57ème Régiment d'Artillerie de Bitche !<br />
<br />
Sarko : Ce sont les militaires qui sont les premiers concernés ! Ils seront simplement reclassés ailleurs ! Ca ne pose pas de problème majeur car ils ont accepté une certaine mobilité en entrant à l'armée.<br />
<br />
François : Monsieur le Président, la population du Pays de Bitche a tissé au fil des ans des liens très étroits avec les personnels militaires. Nous vivons une conjoncture difficile, avec des entreprises qui mettent la clef sous la porte, des jeunes qui ont peur de l'avenir, et la présence sur place de garnisons militaires est perçue par les gens comme un pilier solide et inamovible sur lequel ils peuvent au moins compter. Beaucoup de monde s'accroche à cette branche que vous souhaitez scier !<br />
<br />
Sarko : Aucune branche ne sera sciée de manière inconsidérée... Mais les amoureux de la nature que compte cette assistance savent bien ce que soigner un arbre veut dire. Il faut combattre les parasites, arroser l'arbre, tailler ses branches inutiles. Si on ne le fait pas à temps, c'est l'arbre entier qui est menacé !<br />
<br />
François : Nous ne sommes pas des branches inutiles, Monsieur le Président, et encore moins des parasites ! Quant à arroser l'arbre, ce sont les larmes des petites gens qui vont couler à flot.<br />
<br />
Sarko : Vous jouez la carte sentimentale, là ! Mais on ne dirige pas un pays avec de bons sentiments. Il faut de la rigueur, monsieur François, du réalisme !<br />
<br />
François : Je n'aime pas davantage vos propres cartes, Monsieur le Président. La carte judiciaire, la carte hospitalière, la carte militaire, la réforme des universités... Je vois surtout à l'oeuvre des technocrates parisiens régler froidement le sort de millions de gens au vu de considérations comptables, et sans le moindre regard pour les drames qui se jouent dans la vie réelle.<br />
<br />
Sarko : Des drames ? Allons donc ! Quels drames ?<br />
<br />
François : Nous avons déjà été vivement ébranlés par la disparition d'un régiment à Sarralbe et par la suppression du 4ème Cuir à Bitche même. Demain, le maintien de nombreuses écoles sera contesté. Nos commerces seront menacés de faillite ! Les longues années de souffrance que nous avons vécues au cours des trois dernières guerres nous ont appris le courage, et ont ciselé au fil du temps notre identité de ville de garnison. S'y attaquer, c'est détruire notre bel équilibre, notre belle unité, et jeter aux oubliettes des siècles de tradition nourrie de respect des valeurs et de courage face aux épreuves. On n'a pas le droit de nier l'âme d'un pays.<br />
<br />
Sarko : Ne vous inquiétez donc de rien, monsieur François. Faites-nous confiance ! Nous allons nous occuper de tout !<br />
<br />
François : Monsieur le Président, l'avenir que vous nous promettez est bien sombre. Mais nous avons pour nous notre solidarité et notre courage. Dans les contextes les plus défavorables, dans les conflits les plus durs, nous avons toujours su serrer les rangs pour faire front tous ensemble. Jamais, nous n'avons plié devant personne ! Sachez-le, Monsieur le Président, ni aujourd'hui, ni demain, personne ne nous fera rendre gorge !<br />
Et puis, nous ne sommes pas seuls ! Nous pourrons toujours nous fier à nos élus qui jamais, eux, ne nous laisseront humilier et trahir de la sorte !<br />
Une majorité de français s'est rangée sous vos couleurs et vous a élu à la Présidence de la République en 2007. Aujourd'hui, c'est à vous de nous montrer que nous pouvons compter sur vous !<br />
<br />
<br />
Florence Soriano-Gafiuk
@ Pps pourquoi "BRUN i" la raison est simple la voiçi BRUN=MERDE+i ce qui fait BRUN i encore une fois pour rappelé quelle chié et que cela ne sent pas CHANEL n5
Bonsoir à tous sauf aux néocons<br />
avez vous remarqué le nain de jardin reprend la tactique d'esbrouffe dans les usines<br />
Il propose d'augmenter la participation et tout et tout il a compris que ça devient chaud.<br />
Futur boxon avec les routiers, les pecheurs à quand une manif des autobolistes le litre est à 10 francs soit 1.50