Le Blog Satirique de Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa. Retrouvez les dernières casseroles, gamelles et autres embrouilles du petit père des peoples. Que l'on écrive sarkozy, sarkosi, sarkosy ou sarkozi voire Bruni on parle du même personnage !
Amis qui payez la redevance et vous gavez de publicité d'après vous pourquoi ?
En tout cas pour un président qui use de l'insulte à tour de bras (si on en croit le Canard Enchaîné très bien informé !) c'est la réponse du pêcheur en mer au pêcheur de voix ! Ici resté sans ou presque. On a la virilité et le sens du combat que l'on peut, avec les moyens du bord que l'on a. Certains comprendront l'allusion deSarkophage !
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Avec le recul, je me dis que l'un comme l'autre, ils ont tort.<br />
Insulter et répondre à l'insulte n'est pas un exemple à suivre,pour cela Poutine aurait fait envoyer en camp l'individu, ce qui montre que nous sommes encore en démocratie.<br />
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ta rien d'autre a faire de ta vie, ta que sa a foutre serieux vous faites pitier mais grave qu'est qui s'en fou de ton ptit blog de merde t'es rien!!!!!
gayboy a raison, hélas.<br />
Enfin, sur la modification de l'état de l'opinion, elle pourrait tout de même intervenir. Certainement pas dans les jours qui viennent, mais peut-être dans les prochains mois. Certes l'escroquerie Bush a duré plus longtemps, mais on peut espérer que notre néocon à nous n'aura pas son 11 septembre.<br />
Par contre, et là je te rejoins, si les veaux ont des regrets, ce sera de ne pas avoir voté Borgne.<br />
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La grève sera mal perçue à cause des médias (et de l'UMP) c'est vrai, mais pas seulement. On accuse ces valets de la bourgeoisie, à juste titre bien sûr, de monter les salariés les uns contre les autres. Toutefois, c'est aussi exactement ce que font le PS, en déclarant qu'il est anormal que les bénéficiaires des régimes spéciaux (sauf les députés et sénateurs, pour qui c'est entièrement justifié évidemment) partent en retraite avant les autres (l'offensive anti-prolétarienne au nom de la justice sociale : bravo au Parti Sarkozyste), et les syndicats, qui n'hésitent pas à négocier en douce contre leurs camarades de lutte, et surtout qui font toujours très attention à empêcher le regroupement de salariés de différentes professions dans un combat commun.<br />
Comme en plus la plupart des salariés sont largement assez cons pour se laisser convaincre sans réticence, le résultat est net.<br />
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Pour en revenir aux syndicats, ce qu'il se passe en ce moment est tout de même stupéfiant. Leur seule revendication est de ne pas toucher une retraite plus faible après 40 ans de cotisation qu'après 37,5. Il ne manquerait plus que ça ! On comprend bien la stratégie : le gouvernement annonce 2 mesures inacceptables, dont une démente. Les syndicats font perdre 2 mois de salaire aux cheminots. Au bout de ces 2 mois, victoire, le gouvernement cède sur la mesure démente, comme prévu depuis le début, et accepte de verser aux salariés la même retraite que celle qu'ils touchent actuellement.<br />
Les cheminots vont donc fêter cette magnifique victoire en allant boire une bière, se félicitant d'avoir obtenu le droit de travailler 5 ans de plus pour la même retraite (car il ne faut pas oublier que le but de la bourgeoisie est de passer très vite la durée de cotisation à 42 ans pour tout le monde).<br />
Et pendant ce temps-là, les dirigeants syndicaux rejoignent l'Elysée pour parler avec Sa Petitesse et le MEDEF de la réussite de cette affaire rondement menée et du bonheur qu'ils ont ressenti à "fluidifier les relations sociales".<br />
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Des syndicats normaux (je veux dire faisant ce pour quoi ils sont censés exister) réclameraient la retraite au bout de 30 ans de cotisation pour tous les salariés, pour avoir une chance de faire plier le gouvernement sur les 40 ans et contraindre la bourgeoisie à se contenter du statu quo. Et des gens normaux (je veux dire avec un cerveau) les soutiendraient parce qu'ils seraient bien conscients que les cheminots se battent pour tout le monde compte tenu des intentions de la bourgeoisie, et ce même si pour la plupart, soit ils ne le savent pas, soit ils s'en moquent complètement (mais ce n'est pas le problème).