La taille du bas sur Pattes est un élément essentiel de sa psychologie.
Pensez donc. Dans 1 an et des brouettes, nous serons peut-être dirigé par un nain qui doit tout à sa taille, et est très loin du ciel. De là à dire que pour lui la descente de l'esprit sain est une gageure ...
Savourez cette prose récupérée sur internet ... c'est un régal !
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Lorsqu’il était petit, Nicolas Sarkozy était déjà petit. Dans la cour de récré les copains se moquaient : « Nicolas, il est petit et laid » ! Faible de cœur, fort seulement de son intelligence, Sarkozy commit à ce moment l’erreur de sa vie…. Etant laid et petit, il ne fit pas l’effort pour devenir grand et beau mais il apprit à être reconnu, par les autres, comme n’étant pas petit. Et sans qu’il s’en rende compte, l’ensemble de sa vie devint une vengeance. L’ensemble de sa vie ne fut que le reflet des regards des autres…
Bon élève, il apprit à parler en public, à l’ENA il étudia les lois et acquit des « techniques ». Il apprit ce qu’était le « Tiers-Monde », il apprit qu’il y avait sur la terre des gens plus malheureux que lui. Il apprit quelles étaient les « solutions adaptées » que proposait « l’élite » aux « défavorisés » - à leur place, mais pas de leur côté. Tout ce que sait Sarkozy, il l’a appris. Il ne l’a pas vécu, expérimenté ou senti. Sarkozy a appris à parler aux gens simples. Sarkozy a appris à trahir ses amis, parce que - lui a-t-on dit - c’est ce qu’il fallait faire pour réussir en politique… Ainsi s’intégra-t-il brillamment à une société d’imposteurs diplômés, farcis de « culture générale » et qui se reconnaissent entre eux comme étant les plus forts. Ainsi aussi devint-il maire de la ville de gens qui n’ont rien vécu et qui ont tout appris : Neuilly.
Sarkozy s’est vengé. Les sondages disent de lui que 60% des élèves de la cour de récré pensent maintenant qu’il est un « bon ministre ». Mais en attendant, Sarkozy, au fond de lui, reste petit et triste. N’ayant rien à dire, il dit ce qu’on lui conseille de dire. N’ayant jamais rien fait, il fait ce qu’on lui conseille de faire, ce qu’il est « bon » de faire, ce qu’aimera le public - c’est ça la politique…
De Gaulle aimait à dire que « l’intendance suivra ». Sarkozy, quant à lui, ne fait que suivre l’intendance, que suivre la tendance. C’est ça la différence ! S’il fallait, pour qu’on vous dise « grand » avoir des plumes au cul, Sarkozy le ferait. Il ferait n’importe quoi, ou l’inverse. Puisqu’il ne désire rien, puisqu’il ne veut rien faire, si ce n’est une « carrière ». Et que les autres disent qu’il a bien réussi. Sarkozy sera toujours petit… Celui en qui s’exprime une authentique grandeur n’a pas besoin de devenir Président. Il le devient naturellement - ou devient autre chose, comme par la force des choses. Et même nu, pauvre et seul, loin du regard des autres : il est grand !
Nicolas Sarkozy a l’absence d’envergure nécessaire aujourd’hui pour devenir un jour « Président de la République Française ». Vous verrez… Sérieux et respecté, applaudi par la foule, voyageant dans le monde, passant à la télé, il sera pourtant toujours petit. Et lorsque devant lui cent mille personnes crierons « Sarkozy Président ! », je serai le dernier à lui dire à l’oreille : « Sarkozy, même quand tu seras grand, tu seras toujours petit… »
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Original de l'article ici
Made By Yann Kerninon