4 septembre 2009
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21:40
Le score est remarquable. Celui qui ne réussit rien mais qui se vante de tout, parvient, en moins d'un an à doubler le déficit budgétaire de son pays.
Merci à Florian Roulies
C'est un succès vraiment considérable qu'il faut porter au crédit de Sarkozy. Le spécialiste du débit public pourra ainsi se targuer de laisser dans l'histoire une douloureuse que des générations devront rembourser, en suant sang et eau.
C'est ainsi quand des adultes considèrent qu'un conte pour enfant peut changer un pays. Sarkozy n'a jamais sû gérer quoi que ce soit, mais les français l'ont cru. Les belles promesses sont envolées et les factures elles s'alourdissent.
Le plus gourmand dans l'histoire est bien de voir des politiques défendre l'échantillon présidentiel qu'est Sarkozy. Sa politique consiste à jeter l'argent par les fenêtres et ponctionner la force vitale de celui-ci pour en jeter encore plus. En hypothéquant au passage les chances de redresser un jour la barre.
Le syundrôme est pourtant simple à comprendre. Vous prenez un simple d'esprit qui a grandit sans jamais connaître la valeur de l'argent, et vous obtenez une gabegie à ras de terre.
Les français idiots qui ont fait de Sarkozy un malheur bien français peuvent maintenant sortir le carnet de chèque et payer comptant leur choix puéril.
109 milliards d'euros au 31 juillet 2009 contre 51 un an plus tôt. Vous avez pas mal aux fesses vous ?

C'est un succès vraiment considérable qu'il faut porter au crédit de Sarkozy. Le spécialiste du débit public pourra ainsi se targuer de laisser dans l'histoire une douloureuse que des générations devront rembourser, en suant sang et eau.
C'est ainsi quand des adultes considèrent qu'un conte pour enfant peut changer un pays. Sarkozy n'a jamais sû gérer quoi que ce soit, mais les français l'ont cru. Les belles promesses sont envolées et les factures elles s'alourdissent.
Le plus gourmand dans l'histoire est bien de voir des politiques défendre l'échantillon présidentiel qu'est Sarkozy. Sa politique consiste à jeter l'argent par les fenêtres et ponctionner la force vitale de celui-ci pour en jeter encore plus. En hypothéquant au passage les chances de redresser un jour la barre.

Merci à Tartrais
Le syundrôme est pourtant simple à comprendre. Vous prenez un simple d'esprit qui a grandit sans jamais connaître la valeur de l'argent, et vous obtenez une gabegie à ras de terre.
Les français idiots qui ont fait de Sarkozy un malheur bien français peuvent maintenant sortir le carnet de chèque et payer comptant leur choix puéril.
109 milliards d'euros au 31 juillet 2009 contre 51 un an plus tôt. Vous avez pas mal aux fesses vous ?
