4 mars 2008
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19:45
Sarkophage commence à se poser de sérieuses et inquiétantes questions. Il se fait beaucoup de soucis. Rendez vous compte, depuis au moins 5 ans que le frénétique occupe télévisions, radios et journaux, il n'y avait jamais eu de si grand silence.
Et Nicolas Sarkozy, celui qui criait le plus fort qu'il allait soutenir la recherche, est aujourd'hui invisible.
Comme le dit Léotard, "Ca va mal finir" (livre que Sarkophage ne peut que vous conseiller !).
/http%3A%2F%2Fimg186.imageshack.us%2Fimg186%2F6408%2Fsarkozyfillonbp3.jpg)
Merci à Placide
On n'entend plus Nicolas Sarkozy, chaque jour, chaque heure, chaque seconde, sur tout sujet qui puisse lui faire dire tout et n'importe quoi.
Nous nous étions habitué à cette mauvaise musique permanente. Refrain et mélodie nous cassaient les nerfs et les oreilles par leurs répétitives bêtises et approximations.
Aujourd'hui, la France est inquiête, Nicolas Sarkozy ne parle plus. Sarkophage a voulu vérifier sur le Web, Nicolas Sarkozy est quasiment nulle part.
Alors les chercheurs, les scientifiques, les piliers de laboratoires, sont partis à la recherche de Nicolas Sarkozy. Ils l'ont cherché aujourd'hui dans la rue, nombreux. Et ne l'ont pas trouvé. Il faut dire qu'ils vivent dans un pays ou la surdité est totale quand il s'agit d'un sujet fondamental pour la compétitivité et la santé économique : la recherche.
Nous nous étions habitué à cette mauvaise musique permanente. Refrain et mélodie nous cassaient les nerfs et les oreilles par leurs répétitives bêtises et approximations.
Aujourd'hui, la France est inquiête, Nicolas Sarkozy ne parle plus. Sarkophage a voulu vérifier sur le Web, Nicolas Sarkozy est quasiment nulle part.
Alors les chercheurs, les scientifiques, les piliers de laboratoires, sont partis à la recherche de Nicolas Sarkozy. Ils l'ont cherché aujourd'hui dans la rue, nombreux. Et ne l'ont pas trouvé. Il faut dire qu'ils vivent dans un pays ou la surdité est totale quand il s'agit d'un sujet fondamental pour la compétitivité et la santé économique : la recherche.
La droite cassoulet n'a jamais aimé les chercheurs. Peut-être parce qu'ils ne gobent pas les fariboles préparées dans les marmites de l'Union des Mals Polis.
Les crédits promis, les engagements pris (notamment par Jean Pierre Raffarien), tout cela est aujourd'hui envolé.
Les crédits promis, les engagements pris (notamment par Jean Pierre Raffarien), tout cela est aujourd'hui envolé.
C'est dire, il est plus facile de trouver Fillon, que de croiser notre spécimen de "kasstoipovcon".
Comme le dit Léotard, "Ca va mal finir" (livre que Sarkophage ne peut que vous conseiller !).
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Merci à Placide
Ecrit par Sarkostique le blog anti sarkozy
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Un président en toc mais bling bling
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