Et de deux ! Non, rassurez vous Sarkophage ne parle pas de victoire des bras cassés de Sarkozy ou de lui même. Sarkophage évoque un moment gourmand pour tous ceux qui sont allergiques à certains propos et comportements.
Merci à Lacombe
Souvenez vous, notre ami Brice Hortefeux parlant des auvergnats et disant : ça va quand il y en a un, c'est quand il y en a plusieurs qu'il y a des problèmes. Tous les auvergnats de France se sont pliés de rire à cette blague très recherchée.
Merci à Bar
Et pour avoir moqué les auvergnats avec un sens de l'humour proche de celui de Jean Marie Le Pen, Brisse Hortefeux a été condamné par un tribunal. Bon il a fait appel histoire peut-être de faire durer la blague.
Merci à Bar
Et voilà qu'un deuxième tribunal le condamne pour atteinte à la présomption d'innocence. C'est qu'il a été un peu plus vite que la musique en parlant de David sénat comme d'un fournisseur d'informations confidentielles, lors d'une entrevue radiophonique (le 17 octobre sur RTL). Il a dans ce sens marché dans les pas de son maître Sarkozy qui déclarait quelques mois plus tôt à propos de Villepin qu'il était coupable dans l'affaire Clearstream (tellement coupable que le tribunal l'a relaxé !).
Merci à Snut
Après l'épisode très démocratique d'un ministre qui soutient des manifestants (policiers !) contestants une décision de justice en des termes poétiques, cela commence à faire beaucoup.
Merci à la Petite Blan
Là encore, on comprend très bien qu'il soit toujours en place avec autant de griefs et de condamnations. Il est juste ministre d'un ministère important : l'intérieur. Depuis quand on demande à des ministres d'être irréprochables ? Faut pas pousser non plus. Manquerait plus qu'il faille être honnête et respectueux des lois.
Merci à Laurent
Sarkozy poursuit donc son chemin vers la fabrication industrielle de casserolles et la spécialité de la baisse dans les forages sondages.
Merci à Goubelle
Nul doute qu'avec autant de lumières et de gagneurs autour de lui, il se dirige vers un triomphe électoral en 2012.
Merci à Bigoufakes