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25 janvier 2006 3 25 /01 /janvier /2006 09:48

Il ne fait pas bon s'en prendre à notre grand sinistre de l'intérieur et de la justice. Des citoyens français s'en sont rendus compte après coup.

Rappel des faits passés (2003) :

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4 mois de prison avec sursis pour un Yaourt

Un homme de 36 ans, qui avait jeté un yaourt sur la voiture du ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy lors de sa visite à Toulouse le 2 février, a été condamné à 4 mois de prison avec sursis. Le prévenu, un militant anti-voiture qui prône la "vélorution", souhaitait protester contre le comportement du ministre dont le cortège "circule en toute impunité, grillant les feux, remontant à contre-sens les sens interdits, roulant à vive allure dans les rues et sur les autoroutes". Poursuivi pour "outrage à personne dépositaire de l'autorité publique", le jeune homme a été jugé mardi 23 mars par le tribunal correctionnel de Toulouse. La condamnation a été conforme aux réquisitions du parquet, a précisé le procureur adjoint Michel Poque, présent à l'audience. Par ailleurs, le jeune homme a été condamné à verser 300 euros de dommages et intérêts au policier victime de "rébellion" lors de son interpellation.

 

"Sarkozy, va n... ta mère!" : un mois ferme

Il y a quelques semaine, c'est un jeune homme de 21 ans, accusé d'avoir insulté le ministre de l'Intérieur lors de sa visite lundi 9 février dans le quartier Hautepierre à Strasbourg, qui a été condamné à un mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de la ville. Le parquet avait requis de deux à trois mois de prison ferme contre le jeune Strasbourgeois, qui était jugé en comparution immédiate pour "outrage à une personne dépositaire de l'ordre public", et qui avait déjà été condamné par le passé pour conduite sans permis de conduire. Selon l'accusation, le jeune homme, qui nie les faits, avait lancé "Sarkozy, va n... ta mère!" à l'arrivée du ministre en fin de matinée dans un gymnase du quartier, où il était notamment attendu par un groupe de jeunes. Le jeune Strasbourgeois avait été immédiatement interpellé par la police et placé en garde à vue. "Il maintient qu'il n'a pas proféré d'injures à l'encontre du ministre", avait indiqué son avocate, Me Sabine Perrin-Zink. Il a expliqué qu'il se trouvait à 2 mètres des policiers et que dans ces circonstances, il n'aurait jamais pu dire cela d'autant plus que sa mère, engagée socialement dans le quartier, devait rencontrer M. Sarkozy, a indiqué Me Perrin-Zink. "C'est un garçon qui n'a pas d'antécédents judiciaires, hormis cette condamnation pour conduite sans permis qui remonte à plus de deux ans. Il est intégré. Il allait commencer un travail le 16 février dans une société de nettoyage", avait poursuivi l'avocate.

 

"Retourne en Chine, espèce de Hongrois" : un mois ferme

Début février enfin, c'est un manifestant arrêté samedi 31 janvier pour avoir pris à partie le ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, lors de la bousculade au Forum des Halles, à Paris, qui a été condamné à un mois d'emprisonnement par le tribunal correctionnel de Paris. Christophe Birot, 30 ans, avait été interpellé alors que M. Sarkozy, qui accompagnait Jean-François Copé, chef de file UMP en Ile-de-France, venait de quitter le commissariat des Halles. Il était jugé selon la procédure de "comparution immédiate", pour avoir injurié les policiers et le ministre, en levant le poing, le majeur tendu. "Retourne en Chine, espèce de Hongrois", avait notamment crié M. Birot, proférant aussi des insultes plus grossières à l'adresse des "flics" et du ministre. A l'audience, M. Birot, SDF, bénéficiaire du RMI, et au casier judiciaire très chargé, avait expliqué qu'il visait le candidat plutôt que le ministre, qu'il était sorti de prison en février 2003 et n'avait pas de convictions politiques. Mais le tribunal, présidé par Emilie Petel, a suivi les réquisitions du procureur, qui faisait observer que le prévenu ameutait la foule. Il a prononcé un mois d'emprisonnement ferme en maintenant M. Birot en détention.

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Ainsi donc s'en prendre à la personne de Nicolas Sarkozy peut avoir de graves conséquences.

Attention, Sarkophage ne cautionne en aucun cas la violence verbale, l'insulte ou tout autre procédé attentatoire à la dignité de l'homme.

Ici il faut juste souligner la disproportion flagrante entre les actes et la réponse judiciaire.

De là à penser que le nom de Nicolas Sarkozy  fait trembler les parquets et les procureurs ! Il y a un pas qu'il ne faut mieux pas franchir, les prisons sont déjà surpeuplées :-)

Pendant ce temps la, les magouilles politico financières continuent, et notre admirable président coule des jours heureux, sans aucune poursuite sérieuse ...

Article complet sur : Nouvel Obs

 

Sarkostique le Sarkozy blog officiel satirique 

 


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commentaires

A
pardon pour le doublon les gars: je ne me souvenais pas d'avoir balancé cette lettre, par contre le lien a changé: il correspond à un diaporama sympa!
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A
"Monsieur le Président, je vous fais une lettre que vous lirez peut-être...." Je ne suis pas Boris Vian, il n'y a plus de déserteur, alors: Cher Nicolas, vos récentes turpitudes m'ont mis le feu au sang: Nous vous avons élu, pas moi directement mais la démocratie que vous usurpez comme une contrefaçon, puisque vous n'avez plus d'opposition.N'y a-t-il pas dans votre cour de roi boiteux quelqu'un qui boiterai à l'inverse de vous afin de rétablir la république rendue bancale? On vous a vu dans la cité vous gonfler d'air avec des ambitions de nettoyeur au Karcher et vous dégonfler aussi vite, on vous a vu vous unir dans la précipitation avec un porte-manteau célèbre,on vous a vu sur le port où les marins-pêcheurs vous on recommandé une visite à votre proctologue, on vous a vu au salon de l'agriculture, chez les empoisonneurs, saluer un "pauvre con" pourquoi ce singulier alors qu'une pléthore vous entoure à tel point que vous semblez en être la manufacture? On vous voit vous acharnez contre un épicier, perturbateur des horaires S.N.C.F, sans doute votre obsession du temps qui passe, vous aimez tant les montres couteuses, abandonnez votre hargne ainsi que vos poursuites indignes et demandez-moi l'heure, je vous la donnerez et nous ferons tous des économies,nous des deniers publics et vous, de ridicule. Que cachez- vous derrière toute cette gesticulation que vous nous infligez comme un pensum? Est-ce votre inquiétude? Ne vous méprenez pas, vous n'existez que par ma curiosité, qui elle même m'échappe, elle est là aujourd'hui, sera-t-elle là demain? Je l'ignore, vous l'avez excité par vos promesses clinquantes,de grâce ne vous représentez pas, votre peuple est triste comme les allées des discounters alimentaires où il se cache en comptant sa misère, précipitez-vous dans l' obscurité que vous repoussez d'une agitation vaine et éphémère, elle vous attends, elle vous fait la promesse de l'oubli, elle vous garantie l'effacement de vos traces, de vos excés, de vos sursauts, vos résurgences inutiles suscitent si peu de résilience,croyez à cette promesse, vous n'avez pas d'alternative, ni d'espoir.Consolez-vous, votre pathologie a un nom: histrionisme: « aimez-moi, détestez-moi mais ne me laissez pas dans l'obscurité » il vous consume; cessez de le nourrir. En attendant le terme de votre mandat grassement rémunéré abandonnez ces talonnettes, essuyez votre fond de teint, acceptez vos faiblesses, votre apparence, rassénérez-vous, restons amis. Et, TRAVAILLEZ! P.S: si vous déplacer les préfets et les commissaires d'une haussement d'épaule, je risque un contrôle fiscal:comme vous je suis un frimeur, je suis de votre âge, de votre taille,je cours aussi mal que vous mais je suis très éloigné des richesses dont vous êtes nantis.Alors, prévenez votre mafia.....ou plutôt je laisse pour conclure les paroles de Boris, la voix de Mouloudji: "Prévenez vos gens d'armes que je n'aurais pas d'armes"........
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A
Cher Nicolas,<br /> vos récentes turpitudes m'ont mis le feu au sang:<br /> Nous vous avons élu, pas moi directement mais la démocratie que vous usurpez comme une contrefaçon, puisque vous n'avez plus d'opposition.N'y a-t-il pas dans votre cour de roi boiteux quelqu'un qui boiterai à l'inverse de vous afin de rétablir la république rendue bancale? On vous a vu dans la cité vous gonfler d'air avec des ambitions de nettoyeur au Karcher et vous dégonfler aussi vite, on vous a vu vous unir dans la précipitation avec un porte-manteau célèbre,on vous a vu sur le port où les marins-pêcheurs vous on recommandé une visite à votre proctologue, on vous a vu au salon de l'agriculture, chez les empoisonneurs, saluer un "pauvre con" pourquoi ce singulier alors qu'une pléthore vous entoure à tel point que vous semblez en être la manufacture? On vous voit vous acharnez contre un épicier, perturbateur des horaires S.N.C.F, sans doute votre obsession du temps qui passe, vous aimez tant les montres couteuses, abandonnez votre hargne ainsi que vos poursuites indignes et demandez-moi l'heure, je vous la donnerez et nous ferons tous des économies,nous des deniers publics et vous, de ridicule.<br /> Que cachez- vous derrière toute cette gesticulation que vous nous infligez comme un pensum? Est-ce votre inquiétude? Ne vous méprenez pas, vous n'existez que par ma curiosité, qui elle même m'échappe, elle est là aujourd'hui, sera-t-elle là demain? Je l'ignore, vous l'avez excité par vos promesses clinquantes,de grâce ne vous représentez pas, votre peuple est triste comme les allées des discounters alimentaires où il se cache en comptant sa misère, précipitez-vous dans l' obscurité que vous repoussez d'une agitation vaine et éphémère, elle vous attends, elle vous fait la promesse de l'oubli, elle vous garantie l'effacement de vos traces, de vos excés, de vos sursauts, vos résurgences inutiles suscitent si peu de résilience,croyez à cette promesse, vous n'avez pas d'alternative, ni d'espoir.Consolez-vous, votre pathologie a un nom: histrionisme: « aimez-moi, détestez-moi mais ne me laissez pas dans l'obscurité » il vous consume; cessez de le nourrir. En attendant le terme de votre mandat grassement rémunéré abandonnez ces talonnettes, essuyez votre fond de teint, acceptez vos faiblesses, votre apparence, rassénérez-vous, restons amis. Et, TRAVAILLEZ!<br /> ps: si vous déplacer les préfets et les commissaires d'une haussement d'épaule, je risque un contrôle fiscal:comme vous je suis un frimeur, je suis de votre âge, de votre taille,je cours aussi mal que vous mais je suis très éloigné des richesses dont vous êtes nantis. il ne restera à votre mafia qu'à me couper les couilles.
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A
MOi je ne vois pas où est le problème avec ce qu'a dit Vanneste...Dire que l'union de personnes du même sexxe est inférieru à celle d'un homme et d'une femme n'a rien d'insultant. La sexualité relève de la sphère privée, alors il est en quelque sorte déplacé de faire de la propagande pour les homos...Ah lala j'ai beau être anticapitaliste antiliberal antidroite etc, je ne me ferai jamais à cette idée que les homos sont les victimes...je dirai toujours haut et fort que le mariage et sa symbolique sont en danger à notre époque...Et on pourra me taxer d'homophobe, ça ne me fait ni chaud ni froid, chacun fait ce qu'il veut de son cul, mais arrêtez de stigmatiser les personnes ayant de vraies valeurs morales en défendant ces pratiques que je qualifierais PRESQUE de déséquilibré pervers...Merci de m'avoir lu
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K
C'est vrai que la réponse est disproportionnée, sauf pour le dernier. C'est pas parce que c'est un salaud qu'il faut lui envoyer des insultes racistes; en plus, ça lui donne du grain à moudre!
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