29 janvier 2008
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Il serait tentant de dire que cela était prévisible. Disons le donc ! Il était prévisible qu'avec un pigeon voyageur, client d'air bolloré, nous aurions une France en faillite généralisée.
La faillite est financière, (et pas qu'à la société générale !) elle est morale, elle est aussi diplomatique. La voilà maintenant contagieuse ! Les ménages français n'ont jamais été aussi pessimistes depuis ... 1987. C'est un sondage très sérieux qui le dit.
Nicolas Sarkozy n'est pas psychologue pour un sou. Il suffit de se rappeler les propos qu'il a tenu sur les pédophiles ou sur la psychanalyse. Il n'a sans doute pas compris grand chose aux français et à leur blues.
Ce qui est certain c'est que lui va bien. Son pouvoir d'achat a fait exploser son compte en banque. Il part en vacances gratuitement, se tape un top model de gauche caviar et assouvit sa passion pour les Rolex et tout ce qui fait bling bling.
Pendant ce temps là la France s'enfonce tous les jours dans la sinistrose. En plus de s'enfoncer dans la faillite. Et ce ne sont pas les mesures annoncées à grand fracas de déclarations tonitruantes qui changeront grand chose.
Quand on pense son pays comme au temps de la vapeur ou parfois de la hache de pierre, il y a fort à parier qu'on se retrouve avec un niveau de vie des cavernes ! Avec des hommes qui s'entretuent pour aller au Mamouth.
La rupture est là ! Une france qui coule, qui sombre, qui voit le fond de l'abyme se rapprocher. Tout cela parce qu'une partie des personnes responsables ont choisi un personnage de dessin animé. Un adolescent attardé dans sa crise depuis 40 ans environ. Qui donc est vraiment responsable de cela ?
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Le Sarkozysme expliqué
22 janvier 2008
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Nicolas Sarkozy n'a jamais été très courageux. Pendant ses études, qu'il a tant bien que mal réussi à terminer, pendant sa carrière politique, qui a principalement consisté à planter des couteaux dans le dos.
Il n'a pas changé ! La campagne des municipales est à peine lancée, et les estimations des résultats de son parti godillot à peine connus, qu'il veut déjà renoncer.
Il ne faut pas s'y tromper, si il a décidé de ne pas participer à la campagne c'est parce qu'il sait que le résultat va être très mauvais. C'est même que cela sent le bouillon à plein nez !
Déjà affaibli par des sondages cruels pour son ego, il ne veut pas en plus se tirer une balle dans le pied. Parce que 4 années de fonction au poste de pigeon voyageur et sauteur en chef avec des crachats sur la veste et quolibets sur la tête, très peu pour lui.
Il paraîtrait qu'en plus il a décidé de "quitter" Versailles l'Elysée pour une résidence plus grande. Peut-être à-t-il l'intention d'y placer un harem !
Si ces derniers temps ont été profitables, c'est bien sur un plan : l'apprentissage accéléré de la modestie pour un gamin heureux avec son jouet mais incapable de s'en servir.
Et parions que si les sondages redeviennent plus cléments, le gesticulateur féroce et précoce, saura se gargariser de son parti, soutenu par les jeunes. Parce que se faire élire quasi exclusivement par les retraités et grabataires, ça vous pose un homme et un programme !
En plus, quand on regarde son horoscope pour 2008, on se dit qu'il ferait mieux de prendre un aller simple pour la jungle colombienne !
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Le Sarkozysme expliqué
18 janvier 2008
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L'aveu n'est pas direct c'est vrai, mais il n'y a pas besoin de s'appeler Freud pour comprendre que le petit père des pipoles est déjà dépassé par les événements ou plutôt les non événements qu'il a en partie provoqué.
Le candidat du pouvoir d'achat retrouvé, sans l'intervention du saint esprit mais par le travail, vient de se rendre compte qu'il ne suffit pas d'être fort en gueule et ami des pontes des médias pour gouverner un pays.
Le peuple gronde de voir ce pigeon voyageur sauteur à ses heures se goinfrer de Rolex et crâner en Ray Ban aux bras d'un mannequin soucieuse de plan com.
Alors il faut en urgence trouver de quoi meubler le temps d'antenne. Trouver le sujet qui va détourner l'attention. Choisir son thème pour le faire durer. Il doit pour cela s'entourer d'une armada de communicants payés aux frais de la république.
Une de ces têtes de noeud, amateur de crucifix peut-être, a dû flairer la bonne affaire, et a décidé de ressortir dieu du formol. Pour le ranimer c'est une autre histoire. On peut cependant toujours en causer en long, en large et de travers.
Ainsi pour Sarkozy, le grand sujet du 21ème siècle (il faut voir grand quand on a du mal à voir loin, même sur la pointe des pieds) sera donc double : le climat et la religion.
Pour le climat il devrait savoir qu'il est le mieux placé pour remplacer à lui tout seul un parc éolien. Parce qu'on a pas trouvé mieux, pour la même taille, comme ventilateur à pattes.
Pour la religion, il faut noter le côté visionnaire du personnage. Sarkozy découvrant l'eau chaude n'aurait pas fait mieux en terme de divination.
Ressortir du placard les ectoplasmes au gout varié et périmé pour tenter d'intéresser le français moyen à autre chose qu'à sa déception est osé. Sarkozy aurait usé tout son stock d'attrape couillons que Sarkophage n'en serait pas étonné.
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Le Sarkozysme expliqué
14 janvier 2008
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Un peu plus de 800 voitures brûlées à la Saint Sylvestre dernière. Personne n'en a parlé. Pourtant elles ont bien brûlé sur l'autel de l'insécurité et du vandalisme. Ce sont pas loin de 40 000 qui ont encore brûlées l'année dernière, si les chiffres de Sarkophage sont bons. Une paille dans un pays civilisé et en paix comme la France. Tous ces jolis scores sont à mettre au crédit de l'ancien ministre de l'insécurité, le roi de l'effet d'annonce sans effet autre que médiatique.
Le ministre de l'insécurité Sarkozy qui multipliait la tolérance zéro par trois pour arriver à la tolérance triple zéro. Avec l'efficacité que l'on sait. Celui qui a enterré la police de proximité pour réussir une belle campagne d'intoxication est donc aujourd'hui en train d'enclencher la marche arrière.
Celui qui voulait donner des leçons à tout le monde en montant sur ses talons et en gonflant ses petits biceps a mis au moins 5 ans pour comprendre l'évidence. Plus le policier est proche de ceux qu'il assiste, contrôle et sanctionne, plus il a de chance de faire un bon travail.
Ce n'est pas le cas du président Bling Bling, réfugié à la lanterne quand il n'est pas en voyage touristique ou semi touristique. Celui-ci est à des années lumières du bon peuple qu'il s'est follement amusé à tromper avec des slogans de vendeur de lessive et de nouille.
Dans le luxe, l'apparat, et l'orgueil. Cela donnera les mêmes résultats que Louis XVI et sa cour, tout est une question de temps !
Alors qu'une petite visite en banlieue serait sûrement bien accueillie par ces jeunes qu'il aime tant (et c'est réciproque !)
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Le Sarkozysme expliqué
15 décembre 2007
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Alain Badiou
Né en 1937, Alain Badiou est l'un des plus grands noms de la philosophie mondiale. Enseignant à l'ENS de la rue d'Ulm, il est l'auteur de classiques comme «Théorie du sujet» ou «l'Etre et l'Evénement».
Nouvel Observateur. - Vous allez jusqu'à opérer une analogie entre sarkozysme et pétainisme. Qu'est-ce qui permet, selon vous, ce rapprochement historique pour le moins audacieux ?
A. Badiou. - Il n'y a pas de ressemblance au sens strict, mais un esprit commun. J'appelle «pétainisme» une forme particulière de la réaction française, qui existe au fond depuis 1815. Premier trait : présenter une politique capitularde comme une régénération nationale. La «rupture», c'est quoi ? Le démantèlement des acquis sociaux, le fait que les riches paient moins d'impôts, qu'on privatise de façon rampante l'université, qu'on donne les coudées franches aux affairistes. Cette façon de déguiser une soumission au capitalisme mondialisé en révolution nationale relève en soi du «pétainisme», au sens formel. Deuxième trait : une répression administrative très dure, visant des groupes tenus pour étrangers à la société «normale». Il ne faut tout de même pas oublier que la dernière élection s'est gagnée sur la capacité à capter les électeurs du FN. Créer des suspects, les Africains, ou les musulmans, ou les jeunes des banlieues, figures nébuleuses à réprimer et à surveiller, est une activité essentielle du nouveau pouvoir, loin d'être seulement son ornement extérieur.
N. O. - Vous évoquez aussi un retour à l'esprit du XIX«siècle, décrivant des capitalistes décomplexés, animés par l'idée que les pauvres sont des paresseux, les Africains, des arriérés....
A. Badiou. - Il s'agit d'un phénomène mondial, pas simplement français. La cause majeure, c'est bien sûr l'effondrement provisoire de l'hypothèse communiste. Tant que celle-ci vivait, les dominants étaient obligés de négocier âprement leur pouvoir, parce qu'une autre voie existait, et qu'une conviction populaire et intellectuelle la soutenait massivement. Maintenant, la bourgeoisie est dans le lâche soulagement : l'«idée» est discréditée, les Etats communistes sont eux-mêmes devenus capitalistes. Le capitalisme peut à nouveau se présenter comme la solution indépassable, et l'argent être réintroduit comme valeur. Sarkozy est l'homme de tout ça. L'«homme de la situation». Au fond, c'est le premier vrai poststalinien français. (Rires.)
N. O. - Autre marqueur idéologique du sarkozysme : le ralliement à un système américain pourtant lui-même largement décomposé... Comment l'interprétez-vous ?
A. Badiou. - Je pense qu'il était extrêmement important pour Sarkozy de montrer rapidement que le gaullisme était mort. D'où son positionnement rapide en chouchou de Bush. Mes amis américains sont horrifiés, à vrai dire. La France reste un mythe là-bas. Ce que vous ne comprenez pas, leur dis-je, c'est à quel point la France est profondément réactionnaire en ses tréfonds. Le Front populaire a tout de même débouché sur Pétain. Mai-68, sur une Chambre des Députés bleu horizon. Si vous la prenez dans sa masse, elle est assez horrible, la France. Attention, c'est un patriote français qui dit ça. Quelqu'un de très attache a ce pays.
N. O. - C'est-à-dire ?
A. Badiou. - Deux choses m'y rattachent profondément. La grande tradition du rationalisme français bien sûr, de Descartes à Lacan, en passant par les Lumières. Et puis, une poignée de gens, dont la Résistance offre l'image absolue. Au bout du compte, la France a toujours été sauvée par les acrobaties d'un tout petit nombre. C'est sur celui-ci qu'on doit continuer à miser.
«De quoi Sarkozy est-il le nom ?», par Alain Badiou, Editions Lignes, 156 p., 14 euros.
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Le Sarkozysme expliqué
12 décembre 2007
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Notre guide suprême à nous est très légèrement obsédé par le fric. Sarkophage use volontairement du "très légèrement" car il ne faut pas prendre sa soif de voyages de luxe, son goût immodéré pour les Rolex et ses costumes à 1500€ pour de la simple cupidité. Non c'est autre chose ! Sarkozy aime l'attitude qui fait Bling Bling. Sans doute frustré par le fait de n'avoir qu'une seule cuillère en argent dans la bouche quand il était gamin (comme le disait récemment sa môman) alors qu'il aurait voulu tout le service en même temps.
Depuis cette intolérable frustration enfantine Nicolas Sarkozy est attiré par ce qui brille, ce qui flashe, ce qui fait Bling Bling. Comment comprendre autrement son augmentation indécente de 203% négociée avec lui-même ? (Le Canard nous apprend même que ne pouvant se contenter de 7000 euros, et dans l'attente de l'application de sa nouvelle rémunération, il continue de toucher 11500 € du ministère de l'intérieur, et ce jusqu'en janvier 2008)
Alors pour pouvoir faire bling bling un peu plus et montrer qu'il brasse du vent à bon escient, il lui faut jouer au VRP de luxe. Arriver à la fin d'une négociation pour la risette devant la caméra et le petit point de sondage gagné. Pendant que d'autres se sont échinés pendant des mois pour arriver au résultat.
Nicolas Sarkozy a compris tout l'intérêt de la démarche depuis les infirmières bulgares. Arrivé dans les derniers jours il a raflé un succès dont il n'est pas responsable et dont il était encore moins capable.
Merci à Bauer
Alors Kadhafi peut sentir la dictature, la torture, la censure, peu importe ! Il sent surtout le fric, pour peu qu'il tienne ses engagements. Ce qui est loin d'être gagné au vu de l'olibrius amateur de tente et de déclarations tonitruantes. On dit souvent que pour manger avec le diable il faut prévoir une longue cuillère. Ici il va falloir qu'elle soit au moins téléscopique !
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Le Sarkozysme expliqué
6 décembre 2007
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Sarkophage a décidé de sortir la brosse à reluire, la pommade et de préparer sa langue pour un léchage de chaussures en règle. C'est que la situation s'y prête criamment aujourd'hui. Pour ceux qui débarqueraient de Saturne ou auraient jeté radio, télé et journaux à la poubelle (ce qui est fortement recommandé pour éviter une sarkozite aigue en ces périodes de contamination intense) la France compte un sauveur dont on se demande si il n'est pas en relation directe avec Dieu. D'aucuns prétendent même qu'il serait le petit frère de Jésus Christ (ou de tout autre divinité ayant des parts de marché intéressantes aujourd'hui). Sarkophage penche plutôt pour le côté Jésus Christ quand on connait son futur statut de "Chanoine d'honneur de Saint Jean de Latran", voulu par Benoît XVI, le panzer pape.
Nicolas Sarkozy est le président des causes perdues et des otages en souffrance. Que ce soient les usagers de la RATP, de la SNCF, ou des bulgares égarées dans les geôles Lybiennes, il suffit d'appeler Nicolas Sarkozy. Pourquoi ne pas lancer une "hotline" spéciale otage qui permette à ce grand bienfaiteur du nucléaire bradé contre des infirmières de libérer tous ces hommes et femmes injustement privés de liberté ?
Merci à Bauer
Il a bien libéré les riches des impôts qui les asphyxiaient en France ! Il a bien libéré Anastasie la dame aux longs ciseaux qui commençaient à rouiller. Et il va bientôt libérer des milliers de mêtres carrés de bureaux et de tribunaux. En privant, accessoirement, les plus démunis de la justice. La France n'a pas encore saisi tout le génie et l'efficacite de ce président qui à force de tourner les bras va attraper des ampoules sous les aisselles. Et ca doit faire mal !
Sarkophage pense maintenant que pour faire encore mieux notre omniprésident devrait proposer plus fort : échanger sa place de président contre celle d'otage pour libérer Ingrid Betancourt. Car seul un tel sacrifice permettrait une issue favorable et sure pour tous.
Tous en choeur demandons à notre ventilateur préféré de rejoindre cette jungle étouffante pour aider tous les pauvres bougres qui ont du mal à respirer. Il aura enfin trouver son sacerdoce. Brasser de l'air en respectant Kyoto.
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Le Sarkozysme expliqué
2 décembre 2007
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Sarkophage est heureusement présent pour rappeler à notre omniprésident, omniprésent pour la récupération médiatique et l'affichage télévisuel, ses promesses et engagements. Car il a tout compris le bougre. Une promesse chasse l'autre et c'est ainsi qu'on peut promettre à tour de bras sans risque d'être pris pour un bonimenteur. Cela fonctionne avec beaucoup de monde. Notamment ceux qui ont la mémoire courte.
Hin hin hin, ce n'est pas le cas de votre serviteur qui a une bonne mémoire et n'est pas encore victime d'alzheimer. Rappelez vous, c'était il y a quelques jours, à peine un mois. Des zozos, membre d'une arche qui maintenant prend l'eau et sombre dans l'indifférence généralisée se faisaient attraper la main sur le bras de petits africains transformés en enfants à adopter de toute urgence.
Notre gesticulateur national s'était alors empressé de faire savoir qu'il irait chercher tous les membres de l'arche de zoé emprisonnés et gna gna gna.
C'est grandiose ! Parce qu'aujourd'hui non seulement ils sont toujours dans les geoles tchadiennes, mais en plus on les a oublié ! Et cela ne devrait pas changer. Le rythme de la gesticulation présidentielle étant très très soutenu.
En ces temps difficiles, chers lecteurs, il nous faut donc avoir une pensée pour les victimes médiatiques qui s'ajoutent à la politique spectacle de cirque que nous concocte pour notre grand malheur un grand enfant sans doute trop longtemps privé de télé.
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Ecrit par Sarkophage avec Sarkostique anti sarkozy
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Le Sarkozysme expliqué
25 novembre 2007
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Nicolas Sarkozy est aussi bon gestionnaire que Dati est ministre de la justice. Cela frise le zéro absolu pour le bonheur de tous les contribuables de France. Peu de français le savent ou veulent le comprendre mais c'est un fait. Avec un tel gesticulateur précoce la croissance peut espérer une euthanasie rapide et le pouvoir d'achat un cancer généralisé et incurable !
Parce qu'avec 15 milliards d'euros de cadeau fait aux riches, 206% d'augmentation de son propre salaire, 250 millions d'euros d'exonération pour les opérations de bourse (non vous ne le saviez pas aucun média n'en a parlé !) et des valises de billets qui sortaient de l'UIMM en toute connaissance de cause, Nicolas Sarkozy n'a aucun complexe. Ni sur l'argent, ni sur les bourrelets que d'autres effacent pour lui, ni sur les vacances de luxe.
Il ne reste que l'opération du Saint Esprit pour sauver le pays d'une récession programmée. Seuls les Sarkolatres mous du bulbe parviennent encore à dire le contraire. Ce sont des simples d'esprit !
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Ecrit par Sarkophage avec Sarkostique contre Sarkozy
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Le Sarkozysme expliqué
24 novembre 2007
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Nicolas Sarkozy ne sait qu'une chose c'est qu'il ne sait pas grand chose. Il ne sait pas comment diminuer le déficit la faillite de notre beau pays belle ruine. Il ne sait pas comment faire revenir son ex femme. Il ne sait pas comment relancer la croissance. Il ne sait pas comment sauver la sécurité sociale. Il ne sait pas comment savoir !
Merci à Regard sur Le Monde
Alors il explique qu'il faut pomper plus pour pomper plus. Cela n'a aucun sens, cela ne mène à rien, mais cela a un avantage majeur. Ca occupe l'esprit et les mains !
Et croyez en un connaisseur spécialiste, il est important de s'occuper les mains et les neurones quand on est face à un gouffre introspectif. Etre gesticulateur précoce n'est pas facile à vivre. Mais peut-être plus en faisant porter la souffrance par 65 millions d'individus qui ne l'ont pas voulu.
Finalement le Sarkozysme se rapproche beaucoup du Shadokisme ! Avec une telle philosophie la France peut aller dans le mur en continuant de pomper allègrement !
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