Notre camembert en chef essaie en ce moment de montrer ses petits muscles de chef d'état honni de sa patrie. Histoire de redorer son blason terni par une présidence Bling Bling qui n'est pas digérée par la France d'en bas. Et ce n'est pas la photo de sa femme nue, bientôt mise aux enchères, qui changera les choses.
Nicolas Sarkozy est un paradoxe sur courtes pattes. Même si il essaye d'apparaitre comme le défenseur de la veuve et du moine Tibhétain, il ne parvient pas une seconde à être crédible.

Merci à Tropical Boy

Imaginez. Celui qui reçoit Kadhafi en son palais de la république et lui permet une chasse privée pour satisfaire ses plaisirs de viandard aviné et amateur de farine. Tout cela pour des contrats qui d'ailleurs n'ont jamais été conclu.

Merci à Laurent

Celui là même qui avait fait un voyage en Chine il y a quelques mois et n'avait surtout pas évoqué les sujets qui pouvaient facher, tout cela pour décrocher des contrats, et apparaître comme un super VRP.

Merci à Snut

C'est le même aujourd'hui, qui, pressé par une opinion publique écoeurée du régime Chinois, change son discours en fonction du sens du vent.

Merci à Goubelle

Et demain, de penser à peut-être, sait on jamais, ne pas participer à la cérémonie d'ouverture à Pékin. Quel courage ! Quelle détermination !

Merci à Laurent

C'était la séquence "j'essaie de devenir président de la république en faisant de la figuration sur la scène internationale".

Merci à Abadidon

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Au pays de Bush, les commentateurs politiques s'amusent beaucoup d'un personnage qui nous fait aussi beaucoup rire : Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa.

Le New York Times recommande samedi un peu plus de "discipline" dans la conduite des affaires au président français Nicolas Sarkozy dans un éditorial intitulé "Président Bling-Bling".

Merci à Babache

Evoquant comme un "camouflet" pour le président le résultat des récentes élections municipales et cantonales françaises, l'influent quotidien estime que "M. Sarkozy a été puni pour toutes les bouffonneries médiatisées et peu présidentielles qui lui ont valu le sobriquet de "président Bling-Bling".

Merci à DoubleD

"Pour un homme politique qui a travaillé si longtemps et si dur pour arriver à l'Elysée, M. Sarkozy a démontré de curieuses notions sur comment se conduire une fois dans la place", ajoute le journal.

Merci à Goubelle

"Son divorce tumultueux et son remariage presque immédiat à une chanteuse- mannequin glamour ont été quelques unes des initiatives les plus sensationnelles qui ont valu à Sarkozy la couverture de 252 magazines en 2007", indique l'éditorial.

Merci à Christian

Le New York Times rappelle également comme des preuves "de mauvais jugement" sa décision de "mettre fin abruptement" à une interview avec la chaîne américaine CBS, de "qualifier son porte-parole d'imbécile" ou "sa remarque grossière à un type refusant de lui serrer la main".

"Ces potins sensationnels ont été assortis de messages confus du gouvernement de M. Sarkozy, le président et ses conseillers souvent parlant et agissant en porte-à-faux avec les ministres", écrit le quotidien.

Merci à Marc

"Avec de la chance, poursuit le New York Times, le camouflet des élections sera juste ce dont M. Sarkozy a besoin pour concentrer à nouveau son énergie illimitée sur ce qu'il a promis: de sérieuses réformes économiques".


M. Sarkozy "est de loin trop bouillonnant pour devenir un clone de ses pompeux et graves prédécesseurs mais lorsque la conduite d'un homme politique interfère avec sa mission, il est temps d'appliquer une dose de discipline", conclut l'éditorial.

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Déjà Cécilia jouait le pompier de service. Elle était celle qui apaise, remplace, console, conseille.

Merci à Placide

Aujourd'hui qu'elle est partie, Nicolas Sarkozy fait appel à sa nouvelle femme.

Sans doute d'ailleurs choisie pour ses talents autres que vocaux. Sa beauté, son calme apparent, sont autant de contrepoids à un homme qui essaye d'être président, chaque jour, mais n'y arrive pas quand le soir est venu.

Il est aujourd'hui évident que Nicolas Sarkozy a fait un mariage de circonstance et de stratégie de communication.

Avec une femme qui se revendique de gauche et dont la méchanceté n'est pas le principal défaut. Sarkophage pourrait même aller jusqu'à dire qu'elle est bien gentille.

Il est maintenant évident que les mois qui viennent vont être consacrés à faire oublier le côté Bling Bling, les frasques comportementales, les SMS douteux, les plaintes au pénal de la part d'un incapable juridique, les emprunts d'avion ou de bateaux de luxe ....

Il s'agit de faire croire, et l'énergie dépensée va être phénoménale, que les français ont un vrai président. Ce dont les français ne peuvent que douter car ils ont la certitude que l'Elysée est occupée par Mickey et Winnie l'ourson, au mieux.

Merci à Chimulus

Le coup du retrait de la plainte  pour le sms est on ne peut plus révélateur. Au lieu de s'occuper du pouvoir d'achat, notre camembert en chef a réfléchi pendant des jours et des nuits à ce problème. Et tout fait pour éviter un divorce qui aurait ajouté un peu de confusion à la chienlit actuelle. Le retrait est en fait une désertion en rase campagne. Parce que la plainte n'avait aucune chance d'aboutir. Elle aurait une fois de plus confirmé que la justice n'est pas compatible avec la puérilité. Il fallait mieux ranger tout cela dans un placard avant la curée médiatique et bloguesque (Bonjour Nicolas qui lit ses lignes ! Une petite boisson fraîche pour poursuivre le flicage du Web ?).

La lettre d'excuse d'Airy Routier a permis de trouver un joli prétexte pour le faire.

Merci à Bauer

Et une dizaine de conseillers ont dû attraper des ampoules aux mains pour rédiger le pamphlets, signé Carla, paru dans la presse contre les journalistes un peu trop insolents envers son nouveau mari.

Merci à Delucq

 
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