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28 octobre 2006 6 28 /10 /octobre /2006 10:30

Sarkophage le dit depuis si longtemps. Le petit Nicolas Sarkozy est un vrai incompétent qui se pare de sa vertu et de ses beaux discours pour faire croire le contraire. Sauf qu'il y a les chiffres et que même en les bidonnant allègrement et en essayant de les faire digérer avec un sourire, ils restent ce qu'ils sont. A l'heure actuelle catastrophiques !

Pourquoi donc le petit Nicolas Sarkozy est-il si mauvais dans sa fonction ? C'est un ensemble de choses sans doute, et certaines pèsent plus que d'autres. On peut citer son goût immodéré pour la campagne permanente et la recherche des caméras. Cela prend du temps, beaucoup de temps (et d'argent pour le contribuable qui paye ses grimaces à la télé).

Le facteur le plus important est sans doute son dogmatisme. Comme beaucoup de membres du parti populiste il vit avec un principe rivé au cerveau : "si je le pense c'est que j'ai raison, il faut être un gauchiste pour affirmer le contraire". Cela peut sembler caricatural, mais Sarkophage invite ses lecteurs à faire le tour de la question en observant les membres du parti populiste. Le dogme sécurise celui qui y croit et lui évite d'affronter un monde autre que binaire. Or une réalité est toujours plus complexe qu'un discours politique empli de raccourcis et de sophismes.

Si le petit Nicolas Sarkozy est aussi nul (il faut employer les mots qui correspondent à la réalité sous peine de la travestir !) c'est justement parce qu'il a cru que la sécurité publique fonctionnait comme les playmobils. Lisons cette explication argumentée d'un journaliste de l'Humanité (le populiste de base répondra que parce que c'est un journal proche du communisme c'est forcément erroné). 

Sarkozy eclaboussé par les émeutes de banlieue

Merci à Delucq

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Les policiers dans un cercle infernal

La politique répressive de Nicolas Sarkozy suscite de plus en plus d’interrogations chez les policiers. Beaucoup espèrent désormais le retour de la police de proximité afin de désamorcer les tensions.

Pourquoi Bouna, Zyed et leurs amis ont-ils couru ? Ces adolescents n’avaient rien à se reprocher. Et pourtant, à la seule vue des uniformes bleu marine, ils se sont enfuis à toutes jambes. La peur au ventre. Allant jusqu’à mettre leur vie en danger. Une course poursuite dramatique, symptôme de l’hostilité réciproque qui rythme désormais les relations entre policiers et jeunes des cités populaires. « Les contrôles incessants, les provoc’, les interpellations musclées... La police n’est pas synonyme, ici, de sécurité mais de problèmes », résume Khaled, un trentenaire, père de deux enfants. Depuis les événements de Clichy-sous-Bois, cette profonde fracture ne s’est pas résorbée. Au contraire. Les récents affrontements à Épinay ou aux Tarterêts sont venus rappeler que la situation continue de se dégrader.

Plusieurs chiffres attestent de cette tension permanente. Selon l’Observatoire national de la délinquance, les agressions contre les dépositaires de l’autorité ont augmenté de 9,2 % entre octobre 2005 et septembre 2006. Venant confirmer une tendance qui dure depuis plusieurs années. Le nombre de violences commises à l’encontre des policiers est passé de 11 422, en 1996, à près de 20 000, en 2004 ! Autre indicateur : les plaintes pour « outrages et rébellion ». En Seine-Saint-Denis, elles représentent désormais 20 % de l’ensemble des infractions reprochées aux mineurs. Un taux jamais atteint auparavant. Dans le même temps, les interventions des policiers se sont singulièrement durcies. Occasionnant des dérapages de plus en plus fréquents. En avril, l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) se félicitait, pour l’année 2005, d’un recul de 5,6 % du nombre de plaintes déposées pour violences policières. Oubliant juste de préciser que ce résultat venait après des années de hausse : 517 plaintes en 2001, 560 en 2002, 611 en 2003, 724 en 2004.

« On est dans une impasse »

À l’approche des élections professionnelles du 20 novembre, les langues se délient un peu dans les commissariats. Longtemps charmés par le discours viril de Nicolas Sarkozy, de plus en plus de policiers dénoncent, aujourd’hui, les limites de sa politique exclusivement répressive. « On est dans une impasse », reconnaît sans mal Michel Jabian, du Syndicat national des officiers de police (SNOP). Constat amer. Un an après les violences urbaines, aucune leçon ne semble avoir été tirée par la Place Beauvau. Sur le terrain, le fossé d’incompréhension entre jeunes et policiers s’est encore agrandi. « Nous, on ne parle plus de risque de divorce avec les jeunes, le divorce, il est consommé depuis longtemps ! peste un gradé, vraiment inquiet. Désormais, la question est plutôt de savoir comment on va faire pour réparer les dégâts. »

Que faire, en effet ? Aux yeux de beaucoup, Nicolas Sarkozy est coupable d’avoir dissout du jour au lendemain la police de proximité. Et axé toute sa politique sur l’interpellation, avec, en toile de fond, l’exigence de « faire du chiffre ». Avec lui s’est tari le dialogue avec les habitants, les associations de prévention ou même les polices municipales. « Actuellement, on ne fonctionne plus qu’avec des brigades d’intervention, type BAC, qui font des actions ciblées, explique un gardien de la paix. Et dans les quartiers sensibles, on intervient avec l’appui des CRS qui sont juste formés pour le maintien de l’ordre. Tout ça n’est pas vraiment de nature à pacifier les relations. »

des interventions moins crispées

D’où le souhait, émis par plusieurs syndicats de policiers, dont l’UNSA-police, première organisation chez les CRS, de voir une police de proximité reprendre pied dans les cités les plus difficiles. « La police de proximité permet de mieux connaître le terrain, acquiesce Paula Bergs, responsable de la CFDT-interco. Les interventions sont moins crispées, le policier travaille avec moins d’appréhension. Cela lui permet aussi d’éviter de multiplier les contrôles d’identité, considérés trop souvent par les habitants comme un véritable harcèlement. »

Un discours qui ne fait pas encore l’unanimité. « La police de proximité ne reste qu’une technique parmi d’autres, tempère Olivier Damien, secrétaire général du Syndicat des commissaires. Notre gros souci, c’est surtout le manque de cohérence entre les différentes politiques en matière de justice, de police et de prévention. »

La question du recrutement des policiers et de leur formation joue aussi un rôle central. Actuellement, 80 % des gardiens de la paix frais émoulus de l’école de police se retrouvent parachutés en banlieue parisienne, au milieu d’autres jeunes. La plupart sont des provinciaux ne connaissant les cités que par le biais des journaux télévisés. « Beaucoup viennent chercher des galons de brigadier et savent qu’ils vont repartir deux ans après, explique un ancien commandant de la BAC des Yvelines. Il n’y a pas d’attachement ni au territoire ni aux habitants. Un jeune gardien, souvent violent en intervention, m’a un jour répondu : « Moi, je suis de Marseille, j’en ai rien à foutre de ces gens-là !.... Avec un état d’esprit comme ça, les risques de dérapage sont plus fréquents. »

Le turn over en banlieue parisienne reste impressionnant. Déracinement, coût de la vie élevé... Pour les syndicats de police, seuls un intéressement financier et des facilités de promotion permettraient de fidéliser les plus anciens dans les quartiers difficiles. Une proposition à laquelle Nicolas Sarkozy n’a jamais répondu. Comme il n’est jamais revenu sur la répartition des effectifs de police sur le territoire national. Celle-ci n’a pratiquement pas varié depuis cinquante ans. « Du coup, remarquent les sociologues Marc Loriol, Valérie Boussard et Sandrine Caroly, dans un récent article, les banlieues qui comptent le plus grand nombre d’actes de délinquance sont parfois moins bien pourvues que des départements ruraux. »

Pour notre ancien commandant de la BAC 78, Nicolas Sarkozy, avec son discours guerrier, a définitivement fait « fausse route ». « Le respect, le dialogue et la confiance sont les seules choses qui fonctionnent dans les quartiers difficiles, rappelle ce vieux de la vieille qui a effectué vingt-trois ans en brigade de nuit. La violence, elle, n’entraîne que la violence... »

Laurent Mouloud

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27 octobre 2006 5 27 /10 /octobre /2006 16:52

Le petit Nicolas Sarkozy n'aime pas le 27 octobre. Jusqu'à la fin de ses jours il va détester les 27 octobre. Comme un autre ministre de l'intérieur avec une autre date : le 6 décembre 1986, jour de l'assassinat de Malik Oussekine.

Bouna et Zyed n'étaient pas nés ... que déjà des jeunes payaient de leur vie un comportement policier ou une peur anormale.

Le petit Nicolas Sarkozy ne manque pas d'air. Pour montrer qu'il a raison et qu'il ne faut surtout pas montrer de l'importance à 45 000 voitures brûlées et 200 millions d'euros de dégats il faut faire comme TFN : parler de la France qui meurt et qui vote. La France des cartes postales et de la profondeur populiste. 

logo tfn la chaine de l'UMP

Voilà ce qu'il déclare aujourd'hui :

Nicolas Sarkozy, en déplacement en Lozère, a réaffirmé vendredi 27 octobre, un an après la première émeute dans les banlieues, qu'il ne considérait par cette date comme un anniversaire.

"Pour moi, il n'y a pas d'anniversaire. Il y a une France qui est multiple et chacun doit se sentir considéré et respecté. Ce n'est pas parce qu'on ne brûle pas de bus qu'il n'y a pas de souffrance, d'inquiétude, de besoins, d'aspirations et de demandes", a déclaré le ministre de l'Intérieur et de l'Aménagement du territoire, sur les marches de la Maison de pays à Rieutort-de-Randon, où il a visité différents services à la population.

La semaine dernière, Nicolas Sarkozy avait déjà critiqué "l'agitation médiatique" autour d'un "pseudo-anniversaire".

Le président de l'UMP a ajouté : "l'Etat républicain ne peut pas se préoccuper uniquement de ceux qui se comportent mal, mais aussi de ces millions d'anonymes qui vivent sans rien demander mais qui entendent être respectés", a poursuivi le ministre, devant des habitants.

Etre là en Lozère aujourd'hui, c'est une façon de dire que ce n'est pas parce qu'elle ne casse rien qu'elle ne doit pas avoir la parole", a-t-il lancé.

En inaugurant peu après le chantier d'un pôle médico-chirurgical à Marvejols, Nicolas Sarkozy, face aux élus locaux, aux habitants et responsables du chantier, a déclaré: "Vous avez fait beaucoup d'efforts. On ne donne pas assez à ceux qui veulent construire et un peu trop à ceux qui veulent empoisonner la vie des autres".

Pas un mot pour les deux morts dans le transformateur ! Pas un mot pour leur famille ! Rien que du mépris affiché et revendiqué. On se tourne vers la France bas de plafond qui va soutenir ces propos qui fleurent bon la récupération et le populisme de bas étage.

Chirac décerne la légion d'honneur à l'un des pires tortionnaires qui soit aujourd'hui et deux jeunes morts pour rien ne sont même pas cités par le ministre de l'insécurité le jour de l'anniversaire de leur mort. Une minute de silence pour cette incarnation vivante de la morale et du respect qu'est Nicolas Sarkozy.

Sarkozy l'enragé

 

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27 octobre 2006 5 27 /10 /octobre /2006 11:40

Cela fait un an. Cela fait un an jour pour jour. Cela fait un an jour pour jour que deux jeunes garçons, Zyed et Bouna sont morts dans un transformateur électrique par peur de la police. 

Bouna et Zyed

Oui, aujourd'hui, on peut avoir peur de la police, ne pas souhaiter la croiser, encore moins avoir à faire à elle. Pourquoi ? Ce sont ceux qui sont concernés qui répondent le mieux : car quelque chose s'est cassé. 

Sarkozy a peur de l'avenir des banlieues

Que cela entraîne la mort de jeunes gens est intolérable et inexcusable. Le petit Nicolas Sarkozy ne l'a pas compris. Il a continué son petit chemin, ses petites déclarations et n'a en rien revu ses petits projets. La petitesse n'a pas de fin.

Nicolas Sarkozy ne courrait pas après ces jeunes, il ne les aurait pas rattrapé. Même en faisant du jogging pour les caméras de télé, il faut une vraie santé.

Nicolas Sarkozy est simplement l'illustration de ce qui se fait de pire en terme de manoeuvre politicienne pour se sortir du bourbier.

Sarkophage va lui rafraichir un peu la mémoire, et surtout à tous ses électeurs qui voient en lui un dieu d'un mêtre soixante deux.

Nicolas Sarkozy a pris une banlieue bien sèche et a mis le feu. Avec la déclaration incendiaire du Karcher et son mépris pour deux vies sacrifiées, il a favorisé un mouvement spontané et désorganisé de révolte populaire.

Nicolas Sarkozy, maître du parti populiste, rampe de lancement de la petite fusée vers l'Elysée a exploité la mort de deux jeunes et les émeutes pour faire gagner ses idées. Cela s'appelle de la récupération facile et immorale.

Avec Nicolas Sarkozy La Haine s'est installée et n'est plus repartie. A tel point que Le Pen, chantre du Karcher transformé en lance flamme a félicité le petit candidat à l'Elysée. C'est le monde à l'endroit. C'est la vampirisation du phénomène FN.

Nicolas Sarkozy prétexte que les deux jeunes n'étaient pas poursuivis par la police. C'est faux et il le sait. Des bandes sonores prouvent le contraire. Les jeunes étaient poursuivis, ils ont pris peur. Nicolas Sarkozy a menti.

Aujourd'hui rien n'a changé. La banlieue reste la banlieue, territoire proscrit de la république dans tous les sens du terme. Le ministre de l'insécurité peut se féliciter de n'avoir rien entrepris, en chantre et apologue de la tolérance zéro. Zorro est sans doute fatigué

La banlieue en feu a un an 

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26 octobre 2006 4 26 /10 /octobre /2006 19:50

Cela commence à sentir le roussi pour le petit Nicolas Sarkozy ! Les bus brûlent et le Sinistre de l'insécurité se dit que la chienlit pourrait ne pas lui profiter. C'est à double tranchant les incendies et les émeutes.

Il est fort possible que la populasse se lasse de ce ministre fadasse et à l'incompétence crasse.

Le petit Sarkozy a donc encore menti effrontément aujourd'hui et c'est le Canard Enchaîné qui l'a révélé, avant même qu'il n'ouvre la bouche, Mercredi 25 octobre 2006.

Nono le bigorneau a fait passer des consignes à ses pandores pour que les banlieues soient désertées par les uniformes. Il ne faudrait pas que ces uniformes excitent les jeunes et les encouragent à tout casser.

"On est revenu à une situation antérieure à celle de 2002. Le raisonnement du ministère est simple : plus de flics signifie plus de caillassages donc plus de bavures potentielles, donc plus d'émeutes possibles. La consigne est claire : on laisse le territoire à la racaille"

C'est un gradé des RG qui parle !

Or, aujourd'hui, que dit le ministre de l'insécurité le plus plébiscité par les frontistes complexés ?

STRATFORD-UPON-AVON, Grande-Bretagne (AP) -- Nicolas Sarkozy a promis jeudi que les auteurs des attaques de trois bus dans la nuit de mercredi à jeudi en banlieue parisienne seraient activement recherchés et "sévèrement punis".

"Nous allons tout mettre en oeuvre pour arrêter les auteurs de ces exactions", a-t-il lancé à Stratford-Upon-Avon en Angleterre, en marge d'une réunion rassemblant les ministres de l'Intérieur des six pays les plus peuplés l'Union européenne. "Les coupables doivent savoir que nous les rechercherons, que nous les déférerons à la justice et qu'ils seront sévèrement punis".

Et pour lire d'autres mensonges du spécialiste en fourniture de gros :

1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 

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26 octobre 2006 4 26 /10 /octobre /2006 09:10

Le petit Nicolas Sarkozy a une vie affective ... (oui il en a une ! Tout le monde a le droit d'en avoir une, même quand on mesure 1,62 mètre et qu'on est candidat à la présidentielle) tumultueuse.

Souvenez-vous ... cela va nous changer des bus brûlés, des Karchers dégainés et des phrases assassines. Nicolas Sarkozy est un pipole comme les autres !

Dans un ouvrage paru récemment, Nicolas Sarkozy fait les frais de révélations croustillantes. Il n'est pas loin de concurencer Monsieur 5 minutes douche comprise, alias Chirouette !

Sarkophage va verser dans le graveleux et s'en excuse. Il faut parfois aller bien bas pour comprendre ce qui est très bas et petit comme le petit Nicolas Sarkozy.

 

Entre les différentes fugues de son épouse, le candidat à l'élection présidentielle s'est toujours bien consolé pour ne pas perdre la " bataille de l'opinion ".

" En mai 2005, dans un scénario digne de la femme du boulanger de Pagnol, Cecilia quitte le domicile conjugal. A peine est-elle partie que, dans le plus grand secret, l'époux délaissé se retourne vers une jeune femme charmante, une journaliste, depuis longtemps pilier du service politique du Figaro. Avec lyrisme, tel un Roméo ministériel, l'homme qui n'a pas peur des mots déclare sa flamme. Le tribun prononce une déclaration d'amour comme on n'en fait pas. Vite, la jeune femme se laisse séduire par cette force qui va. Sarkozy est aux anges. Lui qui a juré qu'on ne le reprendrait plus à parler de sa vie privée ne parvient pas à tenir sa langue. Après avoir quelque peu perdu la face il voudrait tant que les Français sachent qu'il ne pleure pas dans un coin.

C'est la journaliste, par égard pour ses propres enfants, qui dissuade Sarkozy de rendre publique leur relation. Elle s'oppose à l'entourage du président de l'Ump, favorable à ce que des photos du couple, prises en septembre 2005 soient publiées dans la presse. Celles là ont été prises par des paparazzi.

Mais la photographe attitrée du ministre, Elodie Grégoire, fait poser le nouveau couple devant un drapeau tricolore dans le bureau officiel. Sait-on jamais, ces clichés pourraient servir un jour. Au fond, l'homme politique voudrait que les Français comprennent qu'il a refait sa vie avec une jeune et jolie femme. Certains des conseillers aussi, qui se disent que la publicité empêchera un retour de Cécilia, qu'ils ne portent pas dans leur cœur. 

 


Certes, lorsque France soir, puis l'Afp publient son nom, qui d'ailleurs circule sur internet, " Nicolas " et elle attaquent les deux organes de presse pour atteinte à la vie privée. Là encore, c'est elle qui l'a voulu. Le jour d'octobre 2005 où ils vont chez Darty pour acheter de quoi équiper l'appartement qu'elle loue désormais, elle note combien Sarkozy fait tout pour se faire remarquer.

La journaliste sent bien que son amoureux trépigne, qu'il veut afficher leur histoire sur la place publique. De fait, le ministre parle. Et pas seulement à ses proches. Le 06 octobre 2005, il revient d'un déplacement en Libye. Dans l'avion, il avale macaron sur macaron. Devant les journalistes, il évoque sans retenue sa nouvelle compagne. Il ne prononce pas son nom, il est vrai, mais chacun comprend. En instance de divorce, cette mère de famille a choisi, après avoir annoncé à son journal cette liaison un peu spéciale, de quitter le service politique pour se consacrer à une autre rubrique. Entre deux bouchées, Sarkozy confie à ses interlocuteurs : " J'aime une femme. Que dois-je faire ? Que dois-je dire ? Je suis amoureux. Et alors ? Moi, ça m'est égal. Mais c'est pour elle. "

Il n'ignore pas qu'un candidat à la fonction suprême ne peut rester longtemps célibataire, seul dans sa salle de bain le matin. C'est du moins ce qu'il croit, comme Giscard, comme Mitterrand, comme Chirac avant lui. Bientôt, Sarkozy autorise les journalistes à publier des allusions à sa nouvelle vie. Le Figaro Magazine, Le Point et Vsd forgent l'image d'un ministre heureux : " Si j'ai une soirée libre, je sais avec qui j'ai envie de la passer. " (…)

(…) Le couple semble vivre une parfaire idylle. En romantique attentionné, Sarkozy amène sa chère et tendre en escapade à Venise. Un déplacement qu'il valait mieux tenir en secret au moment où la France est secouée par les violences urbaines ! Dans la foulée d'une visite officielle au Maroc, voilà le couple à la Mamounia, l'hôtel de luxe de Marrakech. Très empressé, Sarkozy présente la nouvelle élue à sa famille (…)

Mais les heures de bonheur vont être fugitives, car Cécilia est en embuscade. De New York où elle habite à ce moment là, cette dernière ne cesse d'envoyer des Sms ou de téléphoner pour renouer le dialogue avec Nicolas ; A la mi-novembre 2005, l'épouse partie de son plein gré tente de revenir en force. Elle débarque un jour au ministère de l'Intérieur avec ses valises. L'affaire n'est pas au goût de la nouvelle amie de Sarkozy, ni de ce dernier d'ailleurs. Du Maroc où il passe le week-end en duo, il ordonne qu'on renvoie les bagages de Cécilia. (…) 

 


Lors du réveillon du 31 décembre, la journaliste est présente dans le cercle des intimes pour fêter les premières heures de l'an 2000. Le main du 02 janvier, le ministre lui pase un coup de fil pour lui dire qu'il va chercher son fils qui arrive de New York. Elle lui demande si Cécilia revient aussi. Il lui répond que non, qu'elle ne doit pas s'inquiéter. En fait, au bas de la passerelle, le ministre tend ses bras à son épouse, qui rentre avec lui place Beauvau. Surprise ! Rebondissement inattendu de l'affaire : dans l'après midi, le patron de l'Ump s'enferme avec cécilia. Il refuse de prendre quiconque au téléphone, y compris ses plus proches amis et conseillers. Il passe juste un coup de fil à la journaliste pour lui annoncer que c'est fini : " je n'ai pas réussi à tourner la page ", lui déclare-t-il. Il lui écrit un petit mot aussi. Aussitôt, il change de téléphone portable. Les fils sont coupés. (…)

Puis voilà qu'au bout de quelques jours, Cécilia repart à New York. Les journaux sont soudain moins diserts. Le ministre n'a pas perdu le numéro de téléphone de la journaliste du Figaro et il la rappelle. Renouer ? Elle est un peu réticente. Un jour, c'est Martin Bouygues, le patron de l'entreprise des travaux publics et des médias, qui lui passe un coup de fil pour lui dire que son ami Nicolas ne peut pas vivre sans elle. Finalement, elle accepte de passer l'éponge. Bientôt, Sarkozy annonce à son cabinet qu'il a définitivement refait sa vie. En fait, ils vont vivre quelques mois supplémentaires seulement. Au début du mois de mars, Cécilia revient à nouveau quelques jours. Puis repars une troisième fois, son fils avec elle. Comme tous les pères séparés, Sarkozy souffrira de cette absence prolongée. Aucun de ses collaborateurs n'osera y faire allusion.

Le 09 mai 2006, le président de l'Ump prononce un discours important, qu'il considère comme un rendez-vous avant la présidentielle. La grand reporter du Figaro est au premier rang. Elle, qui comme tous les journalistes n'applaudit jamais les discours, a du mal à frapper dans ses mains. Elle ne parvient pas à entrer dans le rôle de la groupie et de l'égérie dont Sarkozy a besoin. Bientôt, c'est elle qui va s'éloigner. Tel le Phénix qui renaît sans cesse de ses cendres, Cécilia réintègre le domicile familial. Le 22 juin, c'est l'épouse légitime qui se retrouve au deuxième rang d'un meeting à Agen. Une actualité chasse l'autre. Deux jours plus tard, voilà les Sarkozy réunis en week-end amoureux à venise. La journaliste du Figaro doit se dire que l'eau coule vite sous le pont du Rialto. "

Christophe Deloire et Christophe Dubois, Sexus politicus, Paris, Albin Michel, PP 27 à 33 

 

 
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25 octobre 2006 3 25 /10 /octobre /2006 07:00

Le petit Nicolas Sarkozy lance des défis à l'envie. Il est aussi le roi du j'ai promis ou dit ... et menti ! Comme vous pouvez le constater dans cet inventaire à la Prévert que Sarkophage tient à jour pour ceux à qui le petit Nicolas Sarkozy fait avoir des allergies. A ce propos n'oubliez pas votre traitement anti Sarkozy.

Une association de jeunes de gauche (oui il en reste !) a relevé le défi de le prendre aux mots et de lui montrer que tout le monde a compris qu'il adhère au FN et qu'il lui faut sa carte.

D'ailleurs Sarkophage lance une souscription pour le petit Nicolas Sarkozy : offrons l'adhésion du ministre le plus frontiste de la 5ème république. Parce que avec son salaire de ministre de l'insécurité il n'a sans doute pas les moyens de se rapprocher de ses proches inspirateurs.

Voici donc décortiqué le programme et les actes frontistes de la tempête Nicolas Sarkozy (merci pour les éoliennes !) 

 

Les militants de RéSo ont souhaité relever le défi lancé par le Ministre de l'Intérieur et publient sur le site http://www.re-so.net, vingt propositions du FN reprises par Nicolas Sarkozy.

Si nous ne mettons évidemment pas sur le même plan, le candidat probable de la droite à l'élection de 2007 et Jean-Marie Le Pen, nous ne pouvons que constater que Nicolas Sarkozy s'applique, de façon consciencieuse, à mettre en pratique une grande partie des positions défendues historiquement par le Front National (et tirées du programme du FN en ligne sur leur site).


* Proposition du FN : "Organiser une coopération étroite entre la police et la justice".

Une circulaire du ministère de l'intérieur en date du 4 février 2004 a invité les policiers à "signaler systématiquement au magistrat les affaires dans lesquelles les suites judiciaires (leur) apparaissent insuffisantes ou mal appropriées". Le projet de loi de prévention de la délinquance actuellement en discussion accroît la confusion des rôles entre la police et la justice.

* Proposition du FN : "Sanctionner les manifestations publiques d'incitation à la débauche et à la violence".

La loi de 2003 sur la sécurité intérieure a créé le délit de racolage passif pour les prostituées et punit plus fortement les auteurs d'infraction dans les stades. Nicolas Sarkozy s'est aussi prononcé en faveur du rétablissement de la loi anticasseurs, abolie en 1981, qui rend responsables des violences les organisateurs des manifestations.

* Proposition du FN : "Rétablir la justice de paix".

La Loi Perben a institué des juges de proximité qui n'ont pas toujours de formation juridique précise. Dans l'entretien qu'il fait au Parisien, le 20 octobre 2006, Nicolas Sarkozy propose aussi l'instauration de jurys populaires dans les tribunaux correctionnels.

* Proposition du FN : "Réhabiliter la notion de peine prompte, certaine et incompressible".

La loi Perben a étendu le recours à la comparution immédiate. En ce qui concerne les peines incompressibles, Nicolas Sarkozy se prononce en faveur de peines planchers pour les multirécidivistes (Le Parisien, 20 octobre 2006).

* Proposition du FN : "Faciliter les contrôles d'identité".

Les deux lois sur la sécurité intérieure étendent fortement les possibilités d'intervention de la police en matière de fouille et de contrôle d'identité.

* Proposition du FN : "Bannir la politisation de la magistrature ; supprimer l'Ecole nationale de la magistrature".

Depuis 2002, de nombreux magistrats ont dénoncé des pressions de la direction de cette école sur des maîtres de conférences appartenant au Syndicat de la magistrature (SM, gauche) et leur éviction à travers les nouveaux recrutements. Nicolas Sarkozy a aussi multiplié les déclarations dénonçant la politisation des magistrats (notamment de Bobigny).

* Proposition du FN : "Accorder à la police soutien et considération. Les campagnes de dénigrement feront systématiquement l'objet de poursuites".

Deux cent parlementaires sarkozystes n'ont pas hésité à demander la poursuite de groupes de rap pour leurs propos "anti-flic" et "anti-France".

* Proposition du FN : "Expulser les condamnés étrangers à l'expiration de leur peine".

Bien qu'il s'en défende, Nicolas Sarkozy n'a pas supprimé totalement la "double peine" (condamnation plus expulsion) dont sont victimes les étrangers. Pire, lors des événements de novembre 2005, le Ministre de l'Intérieur a demandé l'expulsion des jeunes soupçonnés d'avoir pris part aux violences dans les banlieues.

* Proposition du FN : "Appliquer la déchéance de nationalité".

Cette proposition du Front National est désormais appliquée à l'encontre d'islamistes radicaux. La loi contre le terrorisme a porté de dix à quinze ans le délai durant lequel la déchéance de nationalité est possible après la naturalisation.

* Proposition du FN : "Fonder la naturalisation sur l'assimilation".

L'article 21-24 du code civil stipule, depuis 1945, que "nul ne peut être naturalisé s'il ne justifie de son assimilation à la communauté française, notamment par une connaissance suffisante, selon sa condition, de la langue française". La loi Sarkozy de 2003 impose une connaissance "des droits et devoirs" et organise le contrôle de celles-ci. La loi CESEDA de 2006 accentue fortement ces obligations.

* Proposition du FN : "Instaurer une période probatoire pour les mariages mixtes".

Un étranger ne peut désormais demander la nationalité française que quatre ans après son mariage avec une personne de nationalité française. Il faut désormais attendre trois ans de vie commune depuis le mariage pour solliciter une carte de résident, qui n'est plus délivrée de plein droit et qui tient compte de l'intégration des intéressés

* Proposition du FN : "Procéder à l'expulsion effective des immigrés clandestins".

Le gouvernement avait pour objectif d'expulser 20 000 personnes en situation irrégulière en 2005 et 25 000 en 2006, en n'hésitant pas à remettre en cause les principes fondamentaux de la dignité humaine.

* Proposition du F.N. : "Conforter la famille comme lieu d'éducation".

Avec le projet de loi de prévention de la délinquance présenté par Nicolas Sarkozy, le maire aura désormais la possibilité, si la situation d'une famille "est de nature à compromettre l'éducation des enfants", de demander à la caisse d'allocations familiales la mise sous tutelle des prestations sociales de la famille. Il présidera aussi un "Conseil pour les droits et devoirs des familles" dans les communes de plus de 10.000 habitants. Ce conseil pourra procéder à des rappels à l'ordre auprès des familles en cas de problèmes scolaires, de carences éducatives, de troubles du voisinage. Le maire pourra leur proposer un stage de responsabilité parentale.

* Proposition du FN : "Lutter contre le faux tourisme".

Les loi Sarkozy de 2003 et de 2006 rendent beaucoup plus difficile l'obtention des visas. Il est de plus en plus difficile pour les ressortissants des pays en développement d'obtenir un visa de tourisme, les autorités se montrant tatillonnes sur les garanties et les documents exigés.

* Proposition du FN : "Abroger le regroupement familial".

Depuis sa création, en 1976, le droit au regroupement familial n'a cessé d'être rogné par l'application stricte de conditions liées aux ressources et au logement. La Loi CESEDA votée en 2006, soumet le regroupement familial à la notion d'"intégration réussie" qui ne vise qu'à renforcer l'arbitraire des autorités compétentes et instaure un délai probatoire de trois ans. Dans son entretien au Parisien du 20 octobre 2006, Nicolas Sarkozy souhaite que la totalité de l'immigration soit, à l'avenir, une immigration de travail. Dans son projet, c'en est donc finit du regroupement familial et du droit d'asile.

* Proposition du FN : "Ramener le droit d'asile à sa vocation originelle".

Les décrets d'application de la loi Villepin de 2003 sur l'asile ont restreint drastiquement l'octroi du statut à tous les stades de la procédure. Les critères de recevabilité des demandes empêchent, faute de temps, des demandeurs de pouvoir être entendus, y compris en appel. Nicolas Sarkozy plaide constamment pour la diminution des délais imposés.

* Proposition du FN : "Redonner aux parents le choix de l'école"

Dans le cadre de l'élaboration de son programme pour 2007, Nicolas Sarkozy souhaite supprimer la carte scolaire et permettre à chaque famille de choisir librement l'établissement scolaire dans lequel inscrire ses enfants. "Le social n'est pas l'apanage des établissements publics. Les établissements privés ont une longue pratique et des réponses originales en la matière. L'enseignement privé déborde d'ailleurs de demandes d'inscriptions. Je n'accepte pas que la liberté de choix de l'école soit réservée à ceux qui habitent dans les beaux quartiers. Pour la même raison, je suis pour la suppression à terme de la carte scolaire". (Le Figaro, 22 février 2006)

* Proposition du FN : "Mettre en place la préférence nationale"

Même s'il ne s'en vante pas, Nicolas Sarkozy fut cosignataire d'une éphémère proposition de loi visant à instaurer le principe de préférence nationale dans les politiques des collectivités locales (proposition de loi de Jean-Louis Masson, RPR, du 11 avril 1990) dont l'article 2 dispose que "les collectivités territoriales définissent librement les conditions d'attribution des prestations visées à l'article premier : ces conditions peuvent être notamment relatives à la durée de résidence des bénéficiaires éventuels sur le territoire de la collectivité intéressée, au montant de leurs ressources ou à leur nationalité".

* Proposition du FN : " Libérer l'école de l'idéologie"

Dans le débat suscité par l'article 4 de la loi du 23 février 2005 affirmant que « les programmes scolaires reconnaissent en particulier le rôle positif de la présence française outre-mer », Nicolas Sarkozy s'est attaqué à l'idéologie présumée des manuels scolaires. Pour lui, "il faut cesser avec la repentance permanente en France pour revisiter notre histoire." (France 3, 7 décembre 2005)

* Slogan du FN : "La France, tu l'aimes ou tu la quittes"

Nicolas Sarkozy lors de la réunion des nouveaux adhérents de l'UMP d'avril 2006, a repris à son compte, le slogan de la campagne menée par le Front National de la Jeunesse en 1995 : "la France, tu l'aimes ou tu la quittes"


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24 octobre 2006 2 24 /10 /octobre /2006 12:39

Chirac faisait hier l'objet d'un documentaire. Une énième fois les français ont pu découvrir le côté versatile du personnage. Descendant d'une girouette et d'un poisson rouge il a en effet tout au long de sa vie promis, promis et re promis tout ce qu'il ne ferait jamais.

Le petit Nicolas Sarkozy dispose des mêmes gènes. Avec d'autres, encore moins valorisant. La nature n'est pas toujours juste avec les hommes. Il faut le reconnaitre. 

Chirac a pour ami Sarkozy depuis 30 ans

Merci à Placide

L'amitié (avec coups de couteau entre les omoplates) entre ces deux hommes est légendaire. Le petit Sarkozy a en effet vite compris qu'il faudrait composer avec l'amateur de corona, promeneur de valises à billets.


 

Il faut se souvenir de cette photo représentant un Sarkozy à l'oeil hagard aux côtés de son mentor auprès duquel il a tout appris, à commencer par la trahison et la promesse enrobée.

On a les modèles que l'on peut et les ambitions qui vont avec !

Retrouvez tous les épisodes de cette guerre qui se terminera avec la mort d'un des combattants :

1 -2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14 - 15 - 16 - 17 - 18 - 19 - 20 - 21 - 22 - 23 - 24 - 25 - 26 - 27 - 28 -29 - 30 - 31 - 32 - 33 - 34 - 35 - 36 - 37 - 38 

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23 octobre 2006 1 23 /10 /octobre /2006 07:00

Le petit Nicolas Sarkozy a besoin de soutien. Sans soutien il va sombrer dans les tréfonds de la politique, comme le firent avant lui Balladur, Rocard ou Gaymard.

Pour cela il faut qu'il marque les esprits. Il lui faut impressionner le citoyen muni de son bulletin de vote. Jouer sur la grandeur du candidat c'est impossible, car le petit Nicolas Sarkozy est vraiment petit. Même si cela ne se voit pas sur les photos gentiment arrangées avant publication.

Il lui reste donc peu ... Autant la grande saucisse a la taille et le physique de l'emploi, autant le petit Nicolas Sarkozy n'a rien de tout cela.

Sarkophage, jamais le dernier pour aider son prochain, lui propose des visuels à insérer sur tous les blogs populistes existants ou à créer.

Avec ces visuels, c'est le succès assuré ! Plus aucun français n'ignorera ses dons quasi divins pour résoudre les problèmes avant même qu'ils apparaissent.

Sarkozy et son vrai visage

  Sarkozy et son vrai visage

 Merci à Cerrydan !

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22 octobre 2006 7 22 /10 /octobre /2006 07:00

Le petit Nicolas Sarkozy a besoin de beaucoup d'amis pour parvenir à conquérir son plus grand fantasme : l'ELysée. Peut-être pour sa cave, peut-être pour ses appartements, mais certainement pas pour ceux qui l'auront ainsi propulsé calife à la place du calife.

Pour cela il lui faut des amis, beaucoup d'amis. Et pas uniquement des fumistes ou des liquidistes. Il lui faut de la monnaie sonnante et trébuchante, des contradicteurs sans esprit de contradiction, des taupes infiltrées, des délicats avec la justice ...

C'est donc une véritable animalerie qu'il faut se constituer. Nul doute que chacun obtiendra son du une fois la victoire acquise.

Qui sont ces hommes (rares sont les femmes !) qui ont tout intérêt à voir gagner le plus petit candidat de la 5ème république ?

Découvrez le avec ce schéma synthétique, fruit du travail d'un patient internaute: VAB 

Le réseau Sarko

 

 Et parce que vos yeux ne peuvent pas lire, il faut télécharger la version grand format en cliquant ici. 

 

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21 octobre 2006 6 21 /10 /octobre /2006 07:00

Le petit Nicolas Sarkozy aime beaucoup le culte du chef. Il a aussi un penchant pour certains guides spirituels. Du plus insignifiant au plus nocif !

Sa logique est implacable, pour faire barrage au Fhaine de Jean Marie Le Pen (dit le Menhir), il suffit d'appliquer son programme. C'est d'une force conceptuelle qui décoiffe le pubis ! 

 


Pensez-donc ! Pour éviter que la Corée du Nord ne soit un danger pour le monde, il suffit de donner la bombe à ses voisins. Ce raisonnement est le même que celui du petit Sarkozy. On va aller loin ! Au moins jusqu'en Germanie ...

Les électeurs français vont-ils se rendre compte de la supercherie ? Combien sont ceux qui veulent des idées du FN sans son président épouvantail ? Vous le saurez en Mai 2007 !

 


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