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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 16:01

Oyez, oyez fidèles lecteurs indéfectibles de ce blog quasi anté déluvien. Le forum qui a fermé récemment (domaine Xooit que nous ne féliciterons pas pour l'absence de cohérence et de réactivité) est ouvert ailleurs.


Autrement dit, il a déménagé. L'avantage c'est que vous aurez juste 5 lettres à supprimer pour vous y rendre. Que demande le peuple  ! (La fin du Sarkozysme et l'enfer pour tous ses contempteurs).

 

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Merci à Bar

La nouvelle adresse est donc bien : http://sarkostique.fr Simple et facile d'accès, il n'est toujours pas nécessaire d'accepter une dégradation sociale, une baisse du salaire ou une augmentation d'une quelconque durée de quoi que ce soit pour s'y exprimer. Les Sarkozystes (s'il en reste encore) sont les bienvenus. Ils ne risquent rien entre nos mains, car nous savons protéger les espèces en voie d'exctinction !


Et comme Sarkophage le dit toujours : le blog est en sommeil, tel un ours en hibernation. Mais qui irait chatouiller l'ours qui dort du sommeil du juste pour lui reprocher de se reposer ? Hein ? Guili guili !

 

L'ours s'est réveillé et il va chercher du miel ... Et il est plus que mal léché en ces temps d'intoxication et d'indigestion du Sarkozysme.

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commentaires

L
Sarkozy Hollande mème combat garder le pouvoir quitte à mentir car l'islame est le bien venue quand il y a de l'argent à prendre Ils ont livré la France au Qatar <br /> <br /> Par Philippe Cohen et Marc Endeweld<br /> Sous Sarkozy comme avec Hollande, le richissime émirat dispose des mêmes facilités pour racheter des pans entiers de notre économie. Que signifie l'appétit d'ogre de ce petit pays ? Pourquoi Paris lui ouvre-t-il ses portes ? Enquête.<br /> <br /> La dépêche, stupéfiante, est tombée le 6 novembre dernier : l'ambassadeur du Qatar, Mohamed Jaham al-Kuwari, annonçait à l'Agence France-Presse que son pays avait l'intention d'investir 10 milliards d'euros dans des sociétés du CAC 40. Répondant au journaliste qui évoquait quelques rares déclarations de personnalités qui, comme Bernard-Henri Lévy, Jean-Luc Mélenchon ou Julien Dray, ont manifesté leur inquiétude sur l'influence du Qatar en France, l'ambassadeur a conclu l'interview par une formule aussi ironique qu'arrogante : «C'est quoi, le problème ?» <br /> <br /> En effet, il n'y a, apparemment, aucun problème. Apprendre que le fonds souverain qatari va presque doubler le montant de ses participations dans le CAC 40 ne pose aucun problème au gouvernement ni à l'opposition. Organiser la Coupe du monde de football dans un pays où ce sport n'intéresse personne et va nécessiter la construction de stades munis de sols réfrigérants pour pouvoir supporter des températures à 45° C (bonjour Kyoto !), ça n'interpelle personne dans le monde du sport - pas même Michel Platini -, ni dans celui de l'écologie, surtout pas Yann Arthus-Bertrand. Coïncidence : son dernier film a été financé par des Qataris... <br /> <br /> Savoir que des Qataris pourraient sélectionner des entrepreneurs de banlieue sur une base communautariste n'inquiète pas grand monde. Installer une annexe de Normale Sup à Doha, ville où l'on est payé 400 dollars ou 12 000 selon la couleur de sa peau, ne dérange personne, et surtout pas Monique Canto-Sperber, présidente du pôle interuniversitaire Paris Sciences et Lettres et Philosophe spécialiste de «l'éthique». <br /> <br /> Qu'enfin la France impose à tous ses partenaires l'admission directe du Qatar au sein de la francophonie, sans passer par la case «observateur», comme l'exigeaient les usages jusqu'alors, cela n'ennuie pas grand monde non plus. <br /> <br /> A Doha, on appelle ça le «français sonnant et trébuchant». Mais, à Paris, le silence est de rigueur. Depuis des années. On peut même dater l'origine de l'amitié franco-qatarie : le premier voyage de Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, à Doha, en décembre 2005. Sarkozy s'est lié d'amitié avec le Premier ministre qatari, Hamad ben Jassem al-Thani, «HBJ» pour les intimes, au risque de mélanger les genres. <br /> <br /> Lorsqu'il arrive à l'Elysée, Sarkozy prend l'habitude de recevoir tous les mois «HBJ». Au menu des discussions, les emplettes en France du fonds souverain Qatar Investment Authority (QIA). Selon un patron du CAC 40, «Guéant avait une liste de courses pour les Qataris. On avait l'impression que l'Elysée leur donnait à racheter la France». <br /> <br /> C'est durant le quinquennat Sarkozy que le Qatar est entré dans le capital de plusieurs groupes du CAC 40. Le président a même donné de sa personne, en faisant pression sur le président du PSG, Sébastien Bazin, gérant du fonds Colony Capital, pour lui demander de vendre le PSG selon les conditions du Qatar. Bazin proposait aux Qataris 30 % du club de foot parisien pour 30 millions d'euros. Après l'intervention présidentielle, ils en ont récupéré 70 % pour 40 millions (ils en sont désormais propriétaires à 100 %). <br /> <br /> Mais le sport n'est qu'une conséquence d'une orientation stratégique prise à l'Elysée. C'est sous l'ère Sarkozy que le Qatar s'est imposé - sans provoquer un quelconque débat, même au sein du gouvernement Fillon - comme un médiateur de la diplomatie française au Proche et au Moyen-Orient : intervention financière pour libérer les infirmières Bulgares en Libye (juillet 2007), aide au rapprochement entre Nicolas Sarkozy et Bachar al-Assad, puisque, avant d'aider les combattants, le Qatar était un allié solide du régime baasiste. <br /> <br /> Et, bien sûr, plus récemment, le Qatar, seul pays arabe à le faire, a participé - financement de l'armement, formation des combattants libyens et même présence de 5 000 hommes des forces spéciales - à l'intervention militaire occidentale contre Kadhafi. <br /> <br /> La puissance grandissante du Qatar en France semble stimulée par la faiblesse de nos responsables politiques, déboussolés par la crise mondiale et appâtés, parfois, par les largesses supposées de ce petit pays. Ami personnel de la famille de l'émir, Dominique de Villepin, aujourd'hui avocat d'affaires, a pour principal client le Qatar Luxury Group, fonds d'investissement personnel de la cheikha Mozah bint Nasser al-Missned. A droite, parmi les habitués de Doha, on trouve aussi Philippe Douste-Blazy, Rachida Dati ou Hervé Morin. <br /> <br /> Dans les milieux diplomatiques français, cette politique du «tout-Qatar» agaçait certains, qui espéraient que François Hollande, réputé partisan d'un resserrement des liens avec l'Algérie, allait en quelque sorte «rééquilibrer» la politique française dans la région. <br /> <br /> Certes, François Hollande s'est rendu en Algérie le 19 décembre. Mais il avait vu le Premier ministre de l'émirat, Hamad ben Jassem al-Thani, dans un palace parisien dès le début de 2012. Les deux hommes s'étaient d'ailleurs déjà rencontrés une première fois en 2006, François Hollande le recevant en tant que premier secrétaire du PS. Depuis son élection, il l'a revu à deux reprises, et a accueilli l'émir Hamad ben Khalifa al-Thani à l'Elysée, le 22 août 2012. Un traitement privilégié. <br /> <br /> Autre signe de continuité, l'entrée d'investisseurs qataris au capital de France Télécom en juin 2012... «Les gouvernements passent, mais les intérêts demeurent. Les accords financiers entre la France et le Qatar n'ont pas été interrompus, remarque le chercheur Nabil Ennasri, Hollande a seulement mis un terme à l'affichage publicitaire façon Sarkozy.» <br /> <br /> Incroyable : la convention fiscale entre les deux pays - une sacrée niche fiscale qui dispense un investisseur qatari de tout impôt sur les plus-values réalisées sur la revente de biens immobiliers en France -, qui avait été tant décriée par le PS (du temps de l'opposition), n'a pas été abrogée... <br /> <br /> Il faut dire que, même sous Sarkozy, les Qataris ont eu la prudence de créer ou de maintenir des liens solides avec la gauche française. L'ambassadeur du Qatar en France, Mohamed Jaham al-Kuwari, a préparé la transition politique de longue date en multipliant les contacts avec plusieurs dirigeants socialistes : Ségolène Royal, Laurent Fabius, Elisabeth Guigou, Jack Lang, Bertrand Delanoë, Martine Aubry, mais aussi Pierre Moscovici, Arnaud Montebourg, qui a séjourné à Doha en pleine campagne de la primaire socialiste, ou encore Manuel Valls, seul émissaire du candidat à avoir rencontré l'émir en décembre 2011. <br /> <br /> Sous nos latitudes tempérées, le Qatar est un sujet de consensus. Jusque dans les médias, où il est devenu le pays des Bisounours. Comme dans l'émission «Un œil sur la planète», diffusée sur France 2 l'automne dernier, le présentant comme un nouvel eldorado, terre d'accueil de tous les ambitieux et les entrepreneurs. <br /> <br /> Ou encore dans une interview de l'ambassadeur de France au Qatar publiée dans la revue Géoéconomie (1). Le diplomate s'enthousiasme d'abord sur les perspectives de coopération entre les deux pays, faisant miroiter aux groupes français la perspective des 120 milliards mobilisés en vue de la Coupe du monde de football en 2022. Autant de beaux contrats pour Bouygues, Vinci, Carrefour et quelques autres. <br /> <br /> Mais l'ambassadeur y ajoute le supplément d'âme indispensable aux esprits délicats que nous sommes supposés demeurer : le printemps arabe aurait ainsi révélé - comme l'a reconnu lui-même François Hollande - d'importantes convergences entre les deux pays. L'honneur est sauf. <br /> <br /> Feuilletons le dossier de presse «Qatar en France». Il s'y dessine peu à peu un véritable storytelling qatari, que l'on pourrait résumer comme suit : le Qatar est un «nanopays» richissime - 78 260 dollars de revenu par Qatari en 2009, ça fait rêver - mais coincé entre deux géants, l'Iran, avec lequel il doit partager le gisement de gaz North Dome, l'un des plus grands du monde, et l'Arabie saoudite, 14 fois plus peuplée et disposant d'avoirs neuf fois supérieurs. <br /> <br /> Cette fragilité obligerait les Qataris à se montrer à la fois plus intelligents et plus diplomates que leurs voisins. Ils chercheraient ainsi une «assurance vie» - l'expression revient chez tous nos interlocuteurs - et seraient prêts à signer des chèques XXL à ceux qui sont susceptibles de lui garantir une protection. La France, avec son siège au Conseil de sécurité de l'ONU, constitue son meilleur allié. <br /> <br /> Autre argument en faveur des Qataris, leurs investissements sont jugés «très professionnels». Leur charte, «Vision nationale pour le Qatar 2030», adoptée en 2008, prévoit que les revenus des placements des fonds souverains qataris se substitueront à ceux du gaz. <br /> <br /> Il faudrait donc se réjouir, s'enthousiasme Patrick Arnoux, du Nouvel Economiste (2), de leur intérêt pour nos grands groupes : «L'entreprise Qatar, dirigée d'une main ferme par le cheikh Hamad ben Khalifa al-Thani, investit certes par milliards sur des actifs qui ont trois points communs : ils sont unitairement importants, prometteurs pour l'avenir et à forte rentabilité.» Et de vanter les financiers qataris, «issus des meilleures banques américaines comme Lehman Brothers» (curieux, cet éloge d'une banque qui a fait faillite en 2008, déclenchant la crise dans laquelle nous pataugeons encore !). <br /> <br /> Et puis, nous assurent tous ces amis français des Qataris, ces derniers ne sont ni gourmands ni exhibitionnistes ; excepté chez Lagardère, ils n'exigent pas de siéger dans les conseils d'administration des sociétés dont ils deviennent actionnaires. <br /> <br /> Riches en capitaux disponibles, respectueux de l'indépendance de leurs partenaires, les Qataris sont aussi, nous dit-on, modernes. Leur nouvelle constitution donne aux 200 000 Qataris le droit d'élire des représentants locaux qui pourront même être des femmes (au sein d'une chambre cependant strictement consultative). <br /> <br /> La chaîne Al-Jazira, qu'ils ont créée en 1996, présentée comme une sorte de CNN arabe, aurait révolutionné l'information au Proche-Orient. La femme de l'émir, la cheikha Mozah bint Nasser al-Missned, a contribué à une véritable cité du savoir à la périphérie de Doha, ouverte aux musées et aux universités occidentales. <br /> <br /> Enfin, le sentiment de fragilité des Qataris les pousserait à devenir une tête de pont entre le monde arabo-musulman et l'Occident. Songez que la plus grosse base militaire américaine, autrefois à Bahreïn, a déménagé à Doha et que les Qataris maintiennent des liens avec Israël. Ils constituent ainsi une alternative plus présentable que les Saoudiens, qui soutiennent les salafistes dans la région. Et si le Qatar représentait cet islam modéré dont tant d'Occidentaux espèrent l'avènement depuis des années ? <br /> <br /> Bien sûr, comme tout storytelling, celui portant sur le Qatar reflète une partie de la réalité. L'émir, qui a chassé son père du pouvoir en 1995, s'est révélé un fin stratège. «Le Qatar est le premier à avoir acheté des méthaniers, analyse l'économiste Hakim el-Karoui, et à garder ainsi la maîtrise du transport du gaz.» Résultat : le pays frôle les 20 % de croissance en 2012, après 16 % en 2010 et 12 % en 2009. <br /> <br /> Ensuite, il semble bien que la stratégie qatarie soit la plus subtile des pays du Golfe. «Les Qataris ne sont pas que des payeurs, observe l'ancien ministre des Affaires étrangères Hubert Védrine, ils sont astucieux et mènent une stratégie d'équilibre, entre Al-Jazira d'un côté, le phare du printemps arabe, la base américaine sur leur territoire et leurs relations assez bonnes avec Israël.» <br /> <br /> Enfin, il est patent que les Qataris ne mélangent pas forcément leur politique diplomatique, pas facile à décrypter, et leurs investissements pour lesquels ils recherchent, c'est un banquier qatari qui parle, un «absolute return», autrement dit une garantie de retour sur investissement. <br /> <br /> Mais ces indéniables atouts - prospérité économique, stratégie au long cours, subtilité diplomatique - ne doivent pas occulter la face moins reluisante du petit Etat. La condamnation à perpétuité, le 28 novembre, du poète Mohammed al-Ajami, coupable... d'un court texte critique sur l'émir, jette une lumière blafarde sur la modernité qatarie. <br /> <br /> Et il y a surtout la relation très particulière que le Qatar entretient avec l'islamisme politique. L'émirat a été, depuis quinze ans, le refuge de bien des activistes radicaux, tel Abassi Madani, l'ex-patron du FIS algérien. Le Hamas a déménagé ses bureaux de Damas à Doha, et la récente visite de l'émir à Gaza n'est pas passée inaperçue. <br /> <br /> La chaîne de télé Al-Jazira s'est fait connaître en devenant le diffuseur exclusif des communiqués d'Al-Qaida, et certains ne manquent pas de souligner que Doha a été exempt de tout attentat terroriste. Exilé au Qatar depuis quarante ans, le plus célèbre prédicateur islamiste, Youssef al-Qardaoui, officie chaque semaine sur Al-Jazira. <br /> <br /> L'homme a déclaré que «les opérations martyres sont l'arme que Dieu a donnée aux pauvres pour combattre les forts», et que, «tout au long de l'histoire, Allah a imposé aux juifs des personnes qui les puniraient de leur corruption. Le dernier châtiment a été administré par Hitler. [...] C'était un châtiment divin. Si Allah le veut, la prochaine fois, ce sera par la main des musulmans». <br /> <br /> Cet activisme n'étonne pas Alain Chouet, ancien chef du service de renseignements de sécurité de la DGSE (services secrets français) : «Comme la famille régnante veut ravir à la famille Al-Saoud d'Arabie saoudite son rôle moteur dans le contrôle de l'islam sunnite à l'échelle mondiale, elle héberge volontiers les imams et prêcheurs de tout poil, à condition qu'ils soient plus extrémistes que les oulémas saoudiens, de façon à leur rendre des points. Et le Qatar finance partout et généreusement tous les acteurs politico-militaires salafistes, dont la branche la plus enragée des Frères musulmans, hostiles à la famille Al-Saoud et bien sûr au chiisme, mais aussi aux régimes "laïcs" et nationalistes arabes susceptibles de porter ombrage aux pétromonarchies.» <br /> <br /> Enfin, le Canard enchaîné affirme que les services français ont repéré une présence qatarie dans le nord du Mali, où sévissent des groupes jihadistes. «On pense, explique Roland Marchal, chercheur au Centre d'études et de recherches internationales (Ceri), qu'un certain nombre d'éléments des forces spéciales qataries sont aujourd'hui dans le nord du Mali pour assurer l'entraînement des recrues qui occupent le terrain, surtout d'Ansar Dine.» Ansar Dine, un groupe jihadiste non lié à Al-Qaida. <br /> <br /> Bref, la famille régnante au Qatar n'a sans doute pas de doctrine bien établie, mais son jeu diplomatique, fondé sur une double exigence - concurrencer les Saoudiens dans le monde musulman et diaboliser l'Iran - peut l'amener à des positions fort lointaines de «l'islam des Lumières». <br /> <br /> Y compris en France. «Si quelqu'un, affirme un bon connaisseur du dossier, avait la curiosité de se poster en face de l'ambassade du Qatar, il pourrait y prendre en photo d'éminents animateurs de la mouvance islamiste radicale.» <br /> <br /> Premier instrument de l'influence du Qatar dans le monde arabe, la chaîne Al-Jazira s'est révélée être «le DRH du printemps arabe», selon l'expression de Naoufel Brahimi el-Mili, professeur de science politique et auteur du livre le Printemps arabe, une manipulation ? (3) <br /> <br /> Ce dernier a passé des mois à décrypter les émissions de la chaîne qui fut la première à mettre en scène le martyre du vendeur de légumes tunisien Mohamed Bouazizi, dont le suicide, le 4 janvier 2011, a embrasé la Tunisie, avant que la révolte ne se propage en Libye ou en Egypte. A chaque fois, Al-Jazira accompagne et «feuilletone» les mouvements et les combats. <br /> <br /> Il apparaît que, partout, les Qataris soutiennent les Frères musulmans, qui constituent la principale force politique du printemps arabe. Et qu'Al-Jazira est leur bras armé. Brahimi note ainsi que le nouveau ministre des Affaires étrangères libyen, Mohamed Abdelaziz, était un journaliste de la chaîne, de même que Safwat Hijazi, devenu une sorte de «conseiller spécial» du gouvernement égyptien. Pour Brahimi, le projet du Qatar est limpide : «Imposer la révolution "démocratique" par le bas, puisque les révolutions par le haut, façon néoconservateur bushiste, ont échoué.» <br /> <br /> Autre sujet d'inquiétude, l'activisme sportif des Qataris - Grand Prix de l'Arc de triomphe, achat du PSG, Mondial de handball (2015) et Coupe du monde de football (2022) - ne relève pas forcément d'un amour désintéressé du sport mais bien d'une stratégie délibérée de soft power. <br /> <br /> C'est d'ailleurs Nicolas Sarkozy lui-même, cumulant le rôle de superconsultant des Qataris avec celui de président de la République, qui aurait conseillé à l'émir de «passer par le sport» pour implanter Al-Jazira en France. D'où la création de la chaîne BeIN Sport, au risque de déstabiliser le système audiovisuel français, et notamment le financement du cinéma. <br /> <br /> Enfin, et ce n'est pas le moins inquiétant, les Qataris manifestent un intérêt particulier pour les secteurs industriels sensibles et stratégiques. Cette inclination est d'abord apparue dans le dossier EADS. A la fin des années 90, l'émir sympathise avec Jean-Luc Lagardère, avec lequel il partage une passion des chevaux. <br /> <br /> Les deux couples sympathisent, Bethy Lagardère initiant la cheikha Mozah aux joies de la vie parisienne, tandis que les équipes Lagardère apportent à l'émir leurs conseils avisés dans l'audiovisuel lors de la création d'Al-Jazira. Avant même la mort de Jean-Luc Lagardère, en 2003, l'émir avait émis le vœu d'entrer au capital d'EADS. <br /> <br /> Mais Jean-Paul Gut, alors haut dirigeant d'Airbus, avait habilement orienté les Qataris vers une prise de participation dans le groupe Lagardère lui-même, ce qui était moins intéressant pour le Qatar mais répondait à l'inquiétude de l'héritier, Arnaud Lagardère, qui souhaitait s'assurer des alliés solides dans sa société holding. Mais, quand le groupe allemand Daimler a voulu vendre ses parts dans EADS, le Qatar s'est porté acquéreur, ce qui entraîna une vive réaction d'Angela Merkel aboutissant à un engagement de l'Etat allemand à la place de Daimler. <br /> <br /> Si les Qataris se sont senti l'audace d'avancer sur des dossiers aussi sensibles, c'est que les liens entre la France et le Qatar sont anciens : 80 % de l'équipement militaire qatari est français et, pour l'anecdote, les 15 ha que la Direction générale de l'armement loue à Bagneux (Hauts-de-Seine) appartiennent à une banque qatarie... <br /> <br /> Autre indice de l'intérêt des Qataris pour les secteurs stratégiques, l'affaire Altis, une société de semi-conducteurs en difficulté que les Qataris voulaient acheter en 2009 pour créer une industrie similaire au Qatar. Mais Augustin de Romanet, alors patron de la Caisse des dépôts, a jugé le projet suspect, et le Fonds stratégique industriel s'est finalement substitué à l'émirat. <br /> <br /> Encore plus inquiétant, le jeu de poker menteur autour d'Areva : il s'en est fallu de peu que l'émirat mette la main sur les mines d'uranium du groupe nucléaire ! A la manœuvre, l'ancien secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant, l'intermédiaire de choc Alexandre Djouhri, Henri Proglio, le PDG d'EDF, et François Roussely, du Crédit suisse - une des banques conseil en France des Qataris avec la banque Rothschild. <br /> <br /> L'alternance est, apparemment, un concept qui ne s'applique pas à cet aréopage. C'est d'ailleurs peut-être ce qui a conduit l'ambassadeur du Qatar à annoncer de nouveaux investissements dans les groupes français. <br /> A ce rythme-là, la France va finir par avoir plus besoin du Qatar que l'inverse.
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L
les avantages de Nicolas Sarkozy. Et dire que son plus gros problème c'est de nous faire avaler de gagner moins (foutaises) et tout ça avec l'argent des français ils nous prennent pour des cons<br /> Politique - Présidence<br /> En période de restrictions budgétaires, la République peut-elle continuer – comme elle le fait depuis 1985 – à engager des frais en faveur des anciens présidents de la République ? La question, qui n'est pas nouvelle, a toutefois pris un relief particulier ces jours-ci avec la liste des avantages dont bénéficie Nicolas Sarkozy, dressée par Mediapart. Sitôt Nicolas Sarkozy était-il battu par François Hollande en mai 2012, que l'État a mis à sa disposition un certain nombre de moyens financiers et logistiques, dont le coût total s'élèverait entre 1,5 et 2 millions par an.<br /> <br /> Mediapart – qui tient ses informations de Raymond Lavriller, le militant écologiste connu pour avoir révélé l'affaire des sondages de l'Elysée – explique que l'État prend en charge le loyer des locaux utilisés depuis sa défaite à la présidentielle. Situés dans le très huppé VIIIe arrondissement de Paris, rue de Miromesnil, les 320 m² coûtent 196 092 € par an, soit un loyer de 16 341 € par mois. Des locaux que l'État a meublés et équipés (meubles, coffres-forts) pour un montant de 56724 €. L'État prend également en charge les frais de nettoyage, l'électricité, les timbres, les factures de communication (15 839 €) . Pour se déplacer, Nicolas Sarkozy bénéficie de la gratuité des voyages en train et en avion «dans la meilleure classe» et dispose depuis mai 2012 d'une Citroën C6V6 HDI Exclusive, une berline haut de gamme à 44 141 euros dont les frais d'entretien et de carburant (9 347 €) sont pris en charge par l'État.<br /> <br /> La demi-sœur de Carla<br /> <br /> L'ancien président dispose aussi de personnels à son service. Outre cinq fonctionnaires détachés dont deux chauffeurs rémunérés à plus de 4 000 € net mensuel, il est assisté de cinq conseillers contractuels, payés entre 5247 et 7020 euros, dont la demi-sœur de Carla Bruni. Consuelo Remmert est en charge de l a diplomatie et des conférences que donne Nicolas Sarkozy de par le monde. Le montant total des émoluments de ces personnes représente 660 000 € par an. Jusqu'à présent, rien n'est illégal dans ces avantages. D'ailleurs Valéry Giscard d'Estaing et Jacques Chirac bénéficient eux aussi de dispositifs similaires. Mais le fait que Nicolas Sarkozy soit redevenu un acteur politique actif majeur en novembre en prenant la présidence de l'UMP laisse planer un malaise quant à l'utilisation de ces moyens payés par l'État. Ceux-ci constituent, d'évidence, un avantage face aux autres personnalités politiques de la propre famille de M. Sarkozy ou de la majorité actuelle ; mais aussi un possible conflit d'intérêts puisque l'État se retrouve à financer indirectement un parti politique, ce qui est interdit.<br /> <br /> Quatre députés PS ont déjà demandé à l'ex-président de renoncer à ces avantages. Véronique Waché, conseillère presse de Nicolas Sarkozy, a justifié la situation en expliquant un peu facilement que les équipes ont été dédoublées, l'une pour Nicolas Sarkozy ancien président, l'autre pour Sarkozy Nicolas, président de l'UMP…<br /> Philippe Rioux
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L
Voter Sarkosy c'est c'et un peu vite oublier qu'il reste : Le numéro 1 des magouilles de la Vème République française, demain en france un volcan se reveille ou un tremblement de terre il est capable de réclamer une loi interdisant les eruptions volcanique et les tremblements de terre pour l'aider à revenir et nous piquer encore plus d'argent rien ne l'arrete pour lui on est tous des cons<br /> Bienvenue chez Sarko-magouilles <br /> Illustration avec le thème du travail le dimanche… Karscher 1er répête exactement les mêmes choses avec les mêmes anecdotes pas moins de 5 fois différentes…Liste des affaires pas toutes judiciaires de Nicolas Sarkozy avec ses amis de l’UMP & Co. ( )<br /> Cette liste est non exhaustive et n’est constituée que des scandales médiatiques qui se rattachent de prêt à Nicolas Sarkozy. Très peu ont une suite judiciaire. On se demande bien pourquoi … L’impartialité de la Justice est mise à l’épreuve. Quoi qu’il en soit, Nicolas Sarkozy et ses amis ont bien profité de la République … <br /> Il ne s’agit là que de quelques scandales qui ont éclaboussé Nicolas Sarkozy et sa république irréprochable: la Sarkozie quelque part sur terre … <br /> – La toute dernière, l’histoire des FOAT ou OAT EUREX ou comment laisser la porte ouverte aux spéculateurs pour parier par millions à la baisse sur notre dette. <br /> – L’ affaire Karachi, par où commencer ? <br /> – L’affaire Takieddine (patrimoine de 40 m€ non imposé, Karachigate, SAWARI II, MIKSA (350 millions d’euros), contrats avec la Libye notamment d’espionnage de la population avec l’appui d’une entreprise française et commissions occultes, tractations obscures avec la Syrie, la protection qu’il a ou a, eu selon Mediapart, de la DGSE – L’affaire GDF – L’affaire Tapie, enrichie d’évasion fiscale du magot vers la Belgique <br /> – L’affaire Clearstream<br /> – L’affaire Bettencourt <br /> – Les affaires Wildenstein <br /> – L’affaire César <br /> – L’affaire Pleyel <br /> – L’affaire Facebook <br /> – L’affaire de Compiègne <br /> – L’affaire Peugeot <br /> – L’affaire Abdallah Senoussi, bras droit de Kadhafi, patron des services spéciaux libyens et beau-frère de Kadhafi, condamné à une peine de perpétuité en France dans l’affaire de l’attentat contre le DC10 d’UTA et visé depuis lors par un mandat d’arrêt international., que Guéant et Sarkozy ont tenté de protéger. <br /> – Les affaires Djourhi, Takieddine – Les possibles mallettes de Bongo pour financer la campagne de 2007 plus l’aide de Kadhafi pour cette même campagne. <br /> – Les micros partis de Copé, Wauquiez, Woerth, Sarkozy etc. <br /> – L’affaire du Fetia Api <br /> – Les discours de Caen, Metz, Nice, du bois de Boulogne, Dakar, Riyad, Latran et du Puy en Velay <br /> – La lettre de Guy Môquet, le parrainage d’un enfant de la Shoa, sur la mort de Ben Laden – L’invitation des dictateurs pour le 14 juillet, celle de Kadhafi avec les ors, le tapis rouge, les petits plats dans les grands, celle d’El Assad en décembre 2010, le copinage avec Dos Santos, <br /> – Les silences sur le Tibet, le Darfour, le prix Nobel de la paix, la présence à l’ouverture des J.O. de Pékin <br /> – Le fils Louis dans les bras de Poutine, les fils Pierre et Jean invités dans les voyages officiels à l’étranger (Mexique, Maroc) alors qu’ils ne représentent aucun intérêt pour le bien de la nation <br /> – La protection du fils Pierrot, son rapatriement d’Odessa – La gestion catastrophique de la crise Géorgienne (le Russes y sont encore et ont implanté des bases de missiles), celle de la crise financière, celle de l’Europe, celle des révolutions tunisienne et égyptienne, le fiasco libyen, la Syrie <br /> – L’affaire de la Jatte, du Fouquet’s payé par Desmarais, du Paloma payé par Bolloré, de la villa mexicaine, de Wolfeboro payé par les dirigeants de Prada et Tiffany, des repas au Bristol 2 fois par semaine, du voyage en Egypte, celle des stylos, celle de la déclaration de patrimoine …<br /> – L’affaire Pérol <br /> – L’affaire Yannick Blanc <br /> – L’affaire de l’Epad (et des deux scooters) – Gandrange – Les vaccins du virus H1N1 – Les accords entre l’UMP et le Parti Communiste Chinois <br /> – L’UMP et la mairie de Paris pour payer les frasques de Chirac <br /> – L’envoi par l’UMP des bulletins d’adhésion aux restaurateurs dans la période de la baisse de la TVA à 5,5 % <br /> – Les affaires Yade, Boutin, Copé, Juppé, Joyandet, Bertrand, Blanc, Estrosi, Lefebvre, Santini, Proglio, Amara, Laporte, Péchenard, Mitterrand, Ouart, Solly, Soubie, Richard, Fillon, Squarcini, Marleix, Charon, Longuet, Bachelot, Mignon, Morano, Giacometti, Besson, Courroye,Tron, Laroque (Baroin), Guéant (contrats avec la Libye), Dupuydauby, Fontaine, Squarcini, Courroye, Ceccaldi Raynaud, fils Tibéri … <br /> – L’utilisation du contre-espionnage pour des affaires privées <br /> – L’utilisation de l’Elysée pour recevoir les caciques de l’UMP et les satellites jusqu’à plusieurs fois par semaine, l’utilisation des moyens de l’Etat pour la propagande et pour préparer et faire la campagne du candidat Sarkozy <br /> – La proposition de Sarkozy à Lauvergeon d’une prime de 2 ans de salaires comme si Aréva lui appartenait et qu’il sortait l’argent de sa poche; Et heureusement que Lauvergeon a refusé de vendre une centrale nucléaire à Kadhafi comme le souhaitait alors Nicolas Sarkozy <br /> – Les légions d’honneur (Servier, Widenstein, Desmarais, Frère, Maistre, Bourgi, Richard, Peugeot etc.) <br /> – L’Air Sarko One (250 millions d’euros dont 50 % de dépassement selon René Dosière) et ses deux fours à plus de 131 000 € (TTC et avec l’étude), le cocktail de New York à 400 000 euros, le dîner pour l’UPM à 1 million d’euros, les 4 X 4 Nissan de Megève <br /> – La proposition de loi sur la déchéance de la nationalité française et son extension, et le débat sur la nationalité, le fichier EDVIGE, Wauquiez et son cancer de la société <br /> – L’affaire de la rémunération illégale de septembre au 31 décembre 2007 (rémunération comme ministre de l’intérieur alors que Nicolas Sarkozy est président), l’augmentation stratosphérique, le divorce, le mariage, l’inscription hors délai sur les listes électorales, la déclaration des impôts en retard, le tout illégal ou non pénalisé <br /> – La circulaire Hortefeux, ses amitiés avec Takieddine, ses déclarations d’Auvergnat, celles de Guéant dont celles répétées sur l’échec scolaire des enfants d’immigrés, l’autre récidiviste, celles de Guaino (béatification, prison, etc.)<br /> – La nomination à la têtes des chaînes audio et vidéo publiques par le pouvoir <br /> – La réforme constitutionnelle <br /> – La mise en place du vote électronique et la transmission des résulats de vote des élections nationales en intranet entre les préfectures et le Ministères de l’Intérieur par une société US Level 3 Communication. <br /> – L’affaire Europe Election <br /> – Les ministres aussi maires ou élus, le mélange des genres, la non séparation de l’exécutif et du législatif avec le retour sans élection des députés virés du pouvoir. <br /> – L’irresponsabilité pénale du Président de la république, un non-sens comment être irresponsable pénalement alors que l’on a la charge de plus de 65 millions de français? – La position d’Hortefeux dans la condamnation des 7 policiers, et ses deux condamnations à lui <br /> – L’affaire des sondages <br /> – Les classements du parquet <br /> – Le site France.fr (des millions d’euros pour rien) <br /> – Les évictions des préfets pour crimes de lèse-pelouse ou de sifflets <br /> – La paralysie des villes et les moyens de quasi guerre (2 000 CRS pour 600 habitants par exemple) au coût pharaonique pour les déplacements du président, les 12 000 € de frais de bouche par jour, la baisse des œuvres sociales de l’Elysée passées de 300 000 € en 2006 à 165 000 en 2010 <br /> – L’affaire de l’espionnage des journalistes par le contrespionnage <br /> – L’affaire de la validation des comptes de campagne de Balladur et de Chirac <br /> – La scientologie <br /> – L’affaire Servier dont Nicolas Sarkozy a été l’avocat. Coût 1,2 milliards à la Sécurité Sociale en plus des morts. <br /> – L’affaire Bongo <br /> – La proposition de MAM d’aide à Ben Ali et son pouvoir pendant la révolte tunisienne, les lacrymaux et son voyage entre Noël et le jour de l’an et ses quatre mensonges fondamentaux, les petites affaires des parents, et Ollier (ses amitiés libyennes en plus), l’utilisation de la Libye et du Japon par Nicolas Sarkozy pour raison électorale <br /> – L’affaire Merah et ses zones d’ombre <br /> – Les vacances de Fillon payées par Moubarak dont la clique a détourné plus de 45 milliards de $ et dont 3 ministres ont été arrêtés pour corruption et détournement de fonds publics, et sa justification, celles Sarkozy au Maroc. Et la Ferrari prêtée en 2009 en pleine crise à Fillon, ses voyages à 27 000 € pour retourner en Sarthe alors que le train met 1h20 sans oublier les chambres d’hôtels de super luxe à 1800€ la nuit et le rapatriement du fiston fragile atteint de tourista. <br /> La liste est longue et malheureusement non exhaustive des affaires Sarkozy. Aucune mise en examen ni condamnation pénale. <br /> Et ne comptons pas sur François Hollande pour faire déclencher quoi que ce soit . <br /> Ensemble contre la politique jacobine
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L
Pour ma part , moi je v ai voter FN pour la 1ere fois <br /> Que ca serve de lecon a ces personnes qui veulent la place , et ne font jamais rien <br /> Alors on dit avec Marine c est foutu , elle fera pas pire qu eux
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S
Ben si justement ... son programme est vide, ses idées ne sont que des pensées puériles et ses solutions des idées reçues qui ne tiennent pas à l'épreuve des faits. A-t-on vu dans l'histoire un parti extrème sortir un pays de la merde ?!!
S
SARKOMIA SIGNIFIE TUMEUR (SARKOME) voire ETHYMOLOGIE. DICTIONNAIRE. BENI SOIS TU BON REVENANT...PARCE QUE MEME LA REINE D'ANGLETERRE NE PEUT TUER UN SEUL DE SES SUJETS ;QU'EN FESANT UN JUGEMENT,OU PAR UNE PROCEDURE EN FAITE. DE CE SIMPLE FAIT CIVILISE PERSONNE NE PEUT TUER UN SEUL DE SES SUJETS SANS QU'IL NE SOIS JUGER PAR L'AUTORITE D'ETAT. SARKOMIA LUI SE PERMET DE LAISSER LYNCHER UN TYRAN .DONC TUER SANS PROCES. C'EST AINSI QUE LORD ENGLISH A ACCUSE LES ZOULOUS DE TUER SANS PROCES. ALORS QUE LA REINE ELLE MEME N'AVAIT PAS CE POUVOIR. SARKOMANIA LUI C'EST CRUT PERMIS .D'EXTERMINER UN TYRAN SANS PROCES..D'AILLEURS LA FILLE DU CAPITAINE L'A TRES BIEN REMARQUER; JE VEUX DIRE . AS DE PIQUE DAME DE COEUR....? POUCHKINE BIENSSUR. FAUT PAS S'ETONNER QUE LES SCORPIONS SORTENT DE TOUTS LES TROUS...BRISER MOI LE COEUR ET JE VOUS SORTIRAIT UN DEMON PLUS FEROCE QUE CELUI DE L'ENFER.DIT LE CAPITAINE....DAME DE PIQUE DAME DE COEUR. C'EST POUR CELA QUE UNE VIELLE PROPHETIE LAISSE DIRE...UN HOMME D'IMPORTANCE EN SORTANT D'UN PARC SERAT TUER SANS PROCES .QUAND J'AI LU CETTE ANTIQUE PROPHETIE (ABBE SOUFRANT)POUR NOMMER L'AUTEUR :J'AI PENSER BRISE MOI LE COEUR ET JE TE SORTIRAIT UN DEMON PLUS FEROCE QUE CELUI DES ENFERS. TUER SANS PROCES C'EST PAS CIVILISE BIENSSUR. L'ETAT D'AME EST INNEXISTANT. C'EST LE NOM DU DEMON EN QUESTION PEUTERE.....BIEN....!
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