Il en aura mis du temps le chantre du bling bling pour rejoindre la demeure de ses proches ancêtres. C'est aujourd'hui que Sarkozy se rend dans la grotte de ses grands parents.
Sarkophage entend se rapprocher les beuglements de protestations des quelques rares Populistes encore en vie. Pourtant il ne faut pas qu'ils se formalisent. C'est bien ses géniteurs qu'il va visiter (en peinture).
Comment comprendre autrement ce voyage si symbolique d'un type qui ne sait que revenir en arrière et généralement le plus loin possible.
Merci à Placide
Les exemples sont légions de cette nostalgie présentée dans un emballage de modernité : expulsion des roms, stigmatisation de l'étranger, violence et férocité contre les faibles, destruction d'acquis sociaux et sociétaux.
Merci à Bar
Sarkozy c'est cro magnon arrivé jusqu'à nous. Et cela lui va bien. Il en a la taille et l'esprit. Et quelques millions de français sont faits sur le même modèle.
Sarkophage propose d'ailleurs que les électeurs de cette calamité historique paient le déficit qu'il a creusé et financent le trou des retraites. On pourrait même imaginer qu'à l'image de la douloureuse acquittée pour Chirac dans l'affaire des emplois fictifs, ce soit l'UMP qui raque pour la marée de déficits que la France doit supporter.
Merci à Tropical Boy
Il n'y aurait alors plus de courageux populistes, ces serpillères qui n'assument rien et ont le courage d'une moule accrochée à son rocher. Un peu comme dans la France de Pétain.
Aujourd'hui il faudrait que Sarkozy rentre dans la grotte et ne jamais en sorte. Il serait chez lui, et les français chez eux pourraient rêver à une société plus juste et à la fin de la médiocrité érigée en mode de gouvernance. Il y a sans doute de la place pour tous les courtisans et autres menteurs patentés du gouvernement.
Merci à Tropical Boy