6 janvier 2008
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17:41
Difficile loisir que d'être aujourd'hui président de la république des voyages. Nicolas Sarkozy, qui avait enfin réussi à relancer sa libido et à secouer le derrière d'un mannequin très couru, est aujourd'hui en phase de chute libre en matière de popularité.
Sachant que celle-ci est à l'origine quelque peu trafiquée, histoire de ne pas montrer la dégringolade trop vite, la gamelle est sévère. Aspect positif de l'histoire, Nicolas Sarkozy pourra se recycler un jour dans la vente de casserolles.
Mais qu'est ce qui peut bien expliquer ce qui ressemble à une vraie injustice ? Comment peut on être ainsi ingrat ?
Sarkophage va essayer de nous aider à y voir plus clair.
Il n'est pas juste que les français ne reconnaissent pas le rôle déterminant de Sarkozy dans la promotion du tourisme égyptien et la mise en avant de la Jordanie. Ces lointaines contrées manquaient en effet de visibilité et de crédibilité touristique. Quand on pense qu'en plus les autorités locales sont prêtes à tirer à balles réelles (en l'air) pour faire fuire les importuns, on mesure tout l'attrait de ces régions. Nicolas Sarkozy a beaucoup fait pour eux. Et les français ne savent pas le remercier. C'est décidément trop injuste.
Il n'est pas juste que les français ne reconnaissent pas l'action considérable de Nicolas Sarkozy pour développer la compagnie aérienne Bolloré, dont le segment est la dinde farcie de billets ou le poulet imbu de sa personne. C'est bien là une action déterminante pour la naissance de cette jolie compagnie réservée à une caste privilégiée. Quand on pense qu'en plus cela n'aura rien coûté au président, il faut s'incliner devant le savoir faire en matière de vases communicants : l'Elysée ne verse rien officiellement, mais arrosera de juteux contrats ce milliardaire généreux et désintéressé. Si ce n'est pas avoir des talents de commercial, c'est à n'y rien comprendre.
Il n'est pas juste que les français ne reconnaissent pas l'immense travail de Nicolas Sarkozy pour le pouvoir d'achat. Certes il a commencé par le sien, dans des proportions gargantuesques, mais il fallait bien commencer par quelque chose. Bon, c'était facile, c'est vrai.
Mais n'oublions pas que de la sorte, Rolex, Ray Ban, Cartier, Gucci, et tous les miséreux du luxe parisien vont enfin pouvoir sortir de la crise dans laquelle ils vivent depuis des décennies. Et tout cela grâce à Nicolas Sarkozy.
N'oublions pas non plus son rôle déterminant dans la remise en avant d'un régime injustement accusé de tous les maux les plus grotesques. Il s'agit bien sûr du régime Lybien, modèle de démocratie et de pluralisme. Sans Nicolas Sarkozy qui se souviendrait de ce grand homme qu'est Kadhafi ?
Enfin, et là il est indéniable que Nicolas Sarkozy a sauvé un fond de commerce en perdition, celui du Front National. Avec un chef passé de l'autre côté du déclin, il fallait un repreneur efficace et capable de ne rien perdre du goût inimitable de ce parti qui sent la haine. Nicolas Sarkozy a repris la clientèle en presque totalité, mieux encore, celle-ci est satisfaite du nouveau crémier. Ce que Le Pen promettait, Sarkozy l'a fait. Quoi de mieux ?
Les français sont décidément trop injustes, la grandeur, le talent, la rigueur, le désintéressement, pire la compétence, ils n'en n'ont rien vu chez Nicolas Sarkozy. Et pourtant celui ci a des amis qui font de la pub pour des lunettes. Sans doute faut-il que cet ami devienne ministre de la santé. Pour vendre de la farine en guise de remède miracle !
Merci à Zuili
Sachant que celle-ci est à l'origine quelque peu trafiquée, histoire de ne pas montrer la dégringolade trop vite, la gamelle est sévère. Aspect positif de l'histoire, Nicolas Sarkozy pourra se recycler un jour dans la vente de casserolles.
Mais qu'est ce qui peut bien expliquer ce qui ressemble à une vraie injustice ? Comment peut on être ainsi ingrat ?
Sarkophage va essayer de nous aider à y voir plus clair.
Il n'est pas juste que les français ne reconnaissent pas le rôle déterminant de Sarkozy dans la promotion du tourisme égyptien et la mise en avant de la Jordanie. Ces lointaines contrées manquaient en effet de visibilité et de crédibilité touristique. Quand on pense qu'en plus les autorités locales sont prêtes à tirer à balles réelles (en l'air) pour faire fuire les importuns, on mesure tout l'attrait de ces régions. Nicolas Sarkozy a beaucoup fait pour eux. Et les français ne savent pas le remercier. C'est décidément trop injuste.
Merci à Tropical Boy
Il n'est pas juste que les français ne reconnaissent pas l'action considérable de Nicolas Sarkozy pour développer la compagnie aérienne Bolloré, dont le segment est la dinde farcie de billets ou le poulet imbu de sa personne. C'est bien là une action déterminante pour la naissance de cette jolie compagnie réservée à une caste privilégiée. Quand on pense qu'en plus cela n'aura rien coûté au président, il faut s'incliner devant le savoir faire en matière de vases communicants : l'Elysée ne verse rien officiellement, mais arrosera de juteux contrats ce milliardaire généreux et désintéressé. Si ce n'est pas avoir des talents de commercial, c'est à n'y rien comprendre.
Merci au Blog du Chi
Il n'est pas juste que les français ne reconnaissent pas l'immense travail de Nicolas Sarkozy pour le pouvoir d'achat. Certes il a commencé par le sien, dans des proportions gargantuesques, mais il fallait bien commencer par quelque chose. Bon, c'était facile, c'est vrai.
Mais n'oublions pas que de la sorte, Rolex, Ray Ban, Cartier, Gucci, et tous les miséreux du luxe parisien vont enfin pouvoir sortir de la crise dans laquelle ils vivent depuis des décennies. Et tout cela grâce à Nicolas Sarkozy.
N'oublions pas non plus son rôle déterminant dans la remise en avant d'un régime injustement accusé de tous les maux les plus grotesques. Il s'agit bien sûr du régime Lybien, modèle de démocratie et de pluralisme. Sans Nicolas Sarkozy qui se souviendrait de ce grand homme qu'est Kadhafi ?
Merci à Chimulus
Enfin, et là il est indéniable que Nicolas Sarkozy a sauvé un fond de commerce en perdition, celui du Front National. Avec un chef passé de l'autre côté du déclin, il fallait un repreneur efficace et capable de ne rien perdre du goût inimitable de ce parti qui sent la haine. Nicolas Sarkozy a repris la clientèle en presque totalité, mieux encore, celle-ci est satisfaite du nouveau crémier. Ce que Le Pen promettait, Sarkozy l'a fait. Quoi de mieux ?
Les français sont décidément trop injustes, la grandeur, le talent, la rigueur, le désintéressement, pire la compétence, ils n'en n'ont rien vu chez Nicolas Sarkozy. Et pourtant celui ci a des amis qui font de la pub pour des lunettes. Sans doute faut-il que cet ami devienne ministre de la santé. Pour vendre de la farine en guise de remède miracle !
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Ecrit par Sarkophage avec Sarkostique anti sarkozy
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Pot pourri de Sarkozy
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