Une preuve de plus que dans le staff de chez Sarkozy l'ambiance est à la défaite et à la sinistrose. Quand tout va mal on ressort les vieux réflexes, on utilise les vieilles méthodes, on fait sa petite régression identitaire.
Sarkostique n'a jamais été censuré sur sa plateforme. Il faut dire que Sarkophage travaille tous les jours pour ne pas utiliser l'injure ni la diffamation. Parce que la loi française n'est pas la plus "libérale" en ce domaine contrairement à la plupart des grandes démocraties.
D'ailleurs il n'y a pas besoin de loi, la plupart des journalistes préfèrent la laisse à une liberté si inquiétante à assumer. (Sarkophage va se faire beaucoup d'amis avec de tels propos !)
Un clip musical a donc été "censuré", caviardé, mis à la trappe, dégommé, par un obscur hébergeur pourtant très connu. Jusque là on ne peut voir qu'une malencontreuse incompréhension de la hauteur culturelle et intellectuelle du morceau incriminé. Une forme de prévention et de souci de ne pas insulter l'avenir (la laisse, toujours la laisse, ouaf ouaf ... Sarkophage va bientôt s'appeler Didier !). Il n'y a donc pas de quoi en faire un procès contre la censure. Mot qui tombera en désuétude si ceux qui possèdent l'information ne se donnent plus la peine d'essayer de la diffuser. On parlera alors de retenue préventive, d'anticipation de problème possible, de frein sain pour son avenir professionnel, de retenue salvatrice pour l'avancement ...
La situation devient cocasse quand le bras (cassé en plusieurs endroits) droit de Sarkozy justifie le fait de "censure".
Et pour suivre toute l'affaire il faut se rendre chez Torapamavoa
Le grand jeu organisé par Sarkostique avec à la clef une photo du cheval de Sarkozy spécialement dédicacée par Sarkophage : trouver dans cette chanson la diffamation ou l'injure !
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