Sarkophage veut fêter à sa manière l'investiture du candidat que le monde entier nous envie (et nous demande de garder chez nous en sécurité). Sarkophage offre donc une chanson toute prête pour être reprise en coeur à tous les meetings de l'homme qui s'intéresse de très (trop ?) près à la presse (dite indépendante) de notre pays.
Lors du sacre du Leader Minimo les populistes ont tous sautillé sur place et agité les briquets pour que cela soit un moment inoubliable. Ce n'est pas tous les jours que l'on peut en France avoir une investiture à la mode nord coréenne, matinée d'Union Soviétique et de score de république bananière !
Avec la bagatelle de 3,5 millions d'euros dépensés, c'est en plus une grand messe économique et bon marché. La France qui rame, n'en déplaise à Balkany l'ami de Sarkozy, a apprécié à sa juste mesure ce rassemblement pour rien. Enfin pour rien, pour la gloire de celui qui l'a voulu et l'a préparé ...
Le ptit nicolas sarkozy
envoyé par sarkophage
Merci à Roni et Peio de Bayonne
Nul doute que cette chanson est appelée à devenir culte, comme la vidéo montrant un Nicolas Sarkozy, jeune, déjà perdu pour la France.