21 juillet 2009
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14:40
L'entêtement est une marque de fabrique Sarkozyenne. Attention, il ne s'agit pas d'une persévérance de bon aloi, un courage et une détermintation utile. Non, ce serait trop beau pour la France. Sarkozy n'est capable que d'esprit buté par calcul politique qui ne dépasse pas le niveau de la soustraction.

Il a voulu une loi sans rien comprendre à la technologie, uniquement poussé par quelques lobbys et amis eux mêmes largués par le progrès. Quelques mois plus tard il en est toujours à vouloir faire voter un texte dont personne ne veut, qui va coûter plus que la peau du cul et qui ne servira à rien.
Il est aidé en cela par quelques députés qui en sont encore à se servir d'une machine à écrire ou d'un téléphone à impulsion (vous savez quand il fallait tourner le cadran).
Sarkozy fait donc l'Hadopitre et passe pour ce qu'il est : un attardé technologique.
On devrait entendre parler du vote en septembre. Si ce projet n'est pas définitivement enterré pour raison d'échecs répétés. On a changé de ministre, mais pas d'incompétence au sommet de l'état. C'est peu-être l'utilisateur de marchepied, marié à une chanteuse reine du feulement, qu'il faut renvoyer à ses chères études.
Merci à Snut

Il a voulu une loi sans rien comprendre à la technologie, uniquement poussé par quelques lobbys et amis eux mêmes largués par le progrès. Quelques mois plus tard il en est toujours à vouloir faire voter un texte dont personne ne veut, qui va coûter plus que la peau du cul et qui ne servira à rien.
Il est aidé en cela par quelques députés qui en sont encore à se servir d'une machine à écrire ou d'un téléphone à impulsion (vous savez quand il fallait tourner le cadran).
Sarkozy fait donc l'Hadopitre et passe pour ce qu'il est : un attardé technologique.
On devrait entendre parler du vote en septembre. Si ce projet n'est pas définitivement enterré pour raison d'échecs répétés. On a changé de ministre, mais pas d'incompétence au sommet de l'état. C'est peu-être l'utilisateur de marchepied, marié à une chanteuse reine du feulement, qu'il faut renvoyer à ses chères études.
