14 avril 2009
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20:55
Oui vous avez bien lu le titre. Vous pouvez d'ailleurs recommencer, il ne changera pas et dira toujours la même chose.
Parce que l'amateur de talonnettes n'apprécie pas de se manger des giffles il a décidé de passer à la trappe l'examen d'une loi sur la reconnaissance de l'inceste par la loi. Chose qui n'existe pas dans le code pénal aujourd'hui.

Les Mireille Matthieu, Jauni Hallyday et autres Doc Gynéco doivent lui avoir sévèrement bavé dans l'oreille pour qu'une loi débile et inutile remplace une loi qui pourtant devrait plaire au Saint Patron des victimes (surtout devant les télés conviées pour verser une larme de circonstance sur elles).
Il en est ainsi aujourd'hui, Sarkozy petit monarque de pacotille, moqué par ses homologues étrangers qui s'essuient les pieds dessus, n'a plus qu'une loi en carton pour redorer son blason.

Loi qui n'est même pas apprécié par celle qui partage son lit.
Seul point positif de cette triste journée : les marins pêcheurs se rappellent au souvenir du touriste du guilvinec, qui avait voulu se battre avec un marin pêcheur et en avait perdu son expression orale, baragouinant des explications de celui qui aboit de loin !
Parce que l'amateur de talonnettes n'apprécie pas de se manger des giffles il a décidé de passer à la trappe l'examen d'une loi sur la reconnaissance de l'inceste par la loi. Chose qui n'existe pas dans le code pénal aujourd'hui.

Les Mireille Matthieu, Jauni Hallyday et autres Doc Gynéco doivent lui avoir sévèrement bavé dans l'oreille pour qu'une loi débile et inutile remplace une loi qui pourtant devrait plaire au Saint Patron des victimes (surtout devant les télés conviées pour verser une larme de circonstance sur elles).
Il en est ainsi aujourd'hui, Sarkozy petit monarque de pacotille, moqué par ses homologues étrangers qui s'essuient les pieds dessus, n'a plus qu'une loi en carton pour redorer son blason.

Loi qui n'est même pas apprécié par celle qui partage son lit.
Seul point positif de cette triste journée : les marins pêcheurs se rappellent au souvenir du touriste du guilvinec, qui avait voulu se battre avec un marin pêcheur et en avait perdu son expression orale, baragouinant des explications de celui qui aboit de loin !