15 mars 2009
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On ne se refait pas à 54 ans. Celui qui est né une cuillère d'argent dans la bouche, qui n'a jamais vraiment travaillé et qui ne connait donc que de loin la valeur de l'effort, ne veut plus que l'on voit son amour du bling bling !
Vous avez tous reconnu le mini président du maxi déficit public : Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa. Un fils d'aristocrate hongrois qui ne parvient pas, le pauvre, à sortir de sa condition.
Ainsi, dernier avatar en date de son long règne bling bling, s'est il fait inviter dans d'obscures conditions dans un palace mexicain. Jusqu'ici c'est juste un manque de savoir vivre.
Après enquête le gentil philantrope qui l'a invité pourrait être un vendeur de schnouf. Dans le genre grossiste pas détaillant si vous voyez ce que Sarkophage veut dire.
Pire, on apprend maintenant que l'Elysée a menti pour couvrir toute cette histoire qui sent le bling bling à plein nez. Remarquez, l'Elysée n'a plus besoin de faire grand chose puisque comme le révélait Le Canard de mercredi, c'est l'AFP qui choisit le silence opportunément.
Nous en sommes donc là. Un mini président qui ne renonce pas à ses illusions matérialistes, contraint de mentir pour continuer à profiter des largesses de sa fonction. Pendant que les français par milliers découvrent les joies du chômage, du pôle emploi, de la galère.
Au passage ce voyage à 49000 euros minimum a accouché comme à chaque fois en tout et pour tout d'un léger bronzage. Mais c'est tout. Celui qui se prend pour le zorro des opprimés, a une fois de plus fait chou blanc. Après Betancourt, après les infirmières bulgares (qu'il n'a jamais fait libérer comme il veut le faire croire) voici l'échec Cassez.
Sarkozy a le bling bling complexé. Il n'assume plus sa propension pour ce qui brille. Ou plutôt il sait que l'opinion n'en peut plus de ses frasques et de son goût pour le luxe.
Vous avez tous reconnu le mini président du maxi déficit public : Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa. Un fils d'aristocrate hongrois qui ne parvient pas, le pauvre, à sortir de sa condition.
Ainsi, dernier avatar en date de son long règne bling bling, s'est il fait inviter dans d'obscures conditions dans un palace mexicain. Jusqu'ici c'est juste un manque de savoir vivre.
Après enquête le gentil philantrope qui l'a invité pourrait être un vendeur de schnouf. Dans le genre grossiste pas détaillant si vous voyez ce que Sarkophage veut dire.
Pire, on apprend maintenant que l'Elysée a menti pour couvrir toute cette histoire qui sent le bling bling à plein nez. Remarquez, l'Elysée n'a plus besoin de faire grand chose puisque comme le révélait Le Canard de mercredi, c'est l'AFP qui choisit le silence opportunément.
Nous en sommes donc là. Un mini président qui ne renonce pas à ses illusions matérialistes, contraint de mentir pour continuer à profiter des largesses de sa fonction. Pendant que les français par milliers découvrent les joies du chômage, du pôle emploi, de la galère.
Au passage ce voyage à 49000 euros minimum a accouché comme à chaque fois en tout et pour tout d'un léger bronzage. Mais c'est tout. Celui qui se prend pour le zorro des opprimés, a une fois de plus fait chou blanc. Après Betancourt, après les infirmières bulgares (qu'il n'a jamais fait libérer comme il veut le faire croire) voici l'échec Cassez.
Sarkozy a le bling bling complexé. Il n'assume plus sa propension pour ce qui brille. Ou plutôt il sait que l'opinion n'en peut plus de ses frasques et de son goût pour le luxe.
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