31 août 2008
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C'est curieux comme cette année le côté Bling Bling de notre Chanoine de la Rolex en vacances a été très bien passé sous silence.
Nulle exposition ostentatoire de luxe choquant. Aucune démonstration de goût de luxe écoeurant. Le spécialiste du bling bling a décidé de satisfaire son plaisir en toute discrétion.
C'est que le bling bling affiché lui a coûté si cher dans les sondages. Parti avec un joli score pour un plagieur du Front National et de ses idées, il a rapidement dévissé dans les enquêtes d'opinion. Pour finir à des scores qu'il n'est même plus décent de mesurer.
Merci à Snut
Alors cette année il a été décidé de tout boucler. Aucun survol du cap nègre n'était autorisé. Les journalistes habituellement embarqués dans les valises ont été priés d'aller filmer et photographier ailleurs. Ce qui ne veut pas dire que l'idiot diplomatique en colère a pour autant réfréné ses goût pour tout ce qui fait bling bling.
Sarkophage vous propose donc un retour sur les vacances du spécialiste du couac couac, le chantre de la bling bling attitude, entre deux avions pour partir vers un sketch diplomatique, a bronzé en toute sérénité dans le sud de la France.
Il a été cette année odieux avec sa meilleure amie de l'avant Carlita Bruni Sarkozy. Rachida Dati a eu droit de se trouver des vacances toutes seules, loin de Carlita et du cap Nègre. C'est si dur la politique !
Et pendant ce temps là les jeunes populistes en tong ont distribué leurs babioles sous les huées des vacanciers. Sans doute parce qu'ils se sont trompés de camelote à refourguer.
Merci à Laurent
Enfin, le gouvernement est parti barbotter en ordre dispersé. Les spécialistes du travailler plus pour gagner plus ont montré leur motivation pour un programme qu'ils sont incapables de s'appliquer. Il suffit de voir la conférence mondiale sur le SIDA, où pas un ministre français n'était disponible. L'attrait du drap de bain est plus fort que le courage au travail !
Petit rappel des performances de l'idiot en colère en vacances l'année dernière :
De la difficulté pour Sarkozy de savoir se tenir en public
Nicolas Sarkozy et le syndrome Gorbatchev
Nulle exposition ostentatoire de luxe choquant. Aucune démonstration de goût de luxe écoeurant. Le spécialiste du bling bling a décidé de satisfaire son plaisir en toute discrétion.
C'est que le bling bling affiché lui a coûté si cher dans les sondages. Parti avec un joli score pour un plagieur du Front National et de ses idées, il a rapidement dévissé dans les enquêtes d'opinion. Pour finir à des scores qu'il n'est même plus décent de mesurer.
Merci à Snut Alors cette année il a été décidé de tout boucler. Aucun survol du cap nègre n'était autorisé. Les journalistes habituellement embarqués dans les valises ont été priés d'aller filmer et photographier ailleurs. Ce qui ne veut pas dire que l'idiot diplomatique en colère a pour autant réfréné ses goût pour tout ce qui fait bling bling.
Sarkophage vous propose donc un retour sur les vacances du spécialiste du couac couac, le chantre de la bling bling attitude, entre deux avions pour partir vers un sketch diplomatique, a bronzé en toute sérénité dans le sud de la France.
Il a été cette année odieux avec sa meilleure amie de l'avant Carlita Bruni Sarkozy. Rachida Dati a eu droit de se trouver des vacances toutes seules, loin de Carlita et du cap Nègre. C'est si dur la politique !
Et pendant ce temps là les jeunes populistes en tong ont distribué leurs babioles sous les huées des vacanciers. Sans doute parce qu'ils se sont trompés de camelote à refourguer.
Merci à Laurent Enfin, le gouvernement est parti barbotter en ordre dispersé. Les spécialistes du travailler plus pour gagner plus ont montré leur motivation pour un programme qu'ils sont incapables de s'appliquer. Il suffit de voir la conférence mondiale sur le SIDA, où pas un ministre français n'était disponible. L'attrait du drap de bain est plus fort que le courage au travail !
Petit rappel des performances de l'idiot en colère en vacances l'année dernière :
De la difficulté pour Sarkozy de savoir se tenir en public
Nicolas Sarkozy et le syndrome Gorbatchev
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