13 avril 2008
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Il faut croire que le fait d'être parlementaire n'est pas une preuve d'intelligence ! Il a en effet fallu plusieurs mois, et pour certains plusieurs années, pour comprendre que Sarkozy n'aime que lui même et qu'il est un égocentrique tenace.
Son ex femme l'avait déjà dit et cela a été rapporté dans un livre maintenant célèbre. Le maintenant mari de Carla Bruni est un radin qui n'aime que lui, nous disait Cécilia par journaliste-écrivain interposé.
Cela ronfle fort chez les députés et sénateurs qui ont vraiment l'impression d'être pris pour des cons. Il faut donc les rassurer rapidement, ce n'est pas une impression. C'est la stricte réalité.
Celui qu'ils ont soutenu avec la plus grande ferveur n'a pas vraiment caché son jeu, mais quand on s'aveugle, il est normal que l'on se réveille avec un gros mal au cul.
On peut même se faire rappeler à la dure réalité : la lacheté, la veulerie, la pleutrerie. Ce que les français d'ailleurs ne supportent pas, puisqu'ils sont 78% à approuver NKM dans ses propos.
C'est Goasguen qui demande de sortir les mouchoirs, au nom d'autres députés peu courageux :
Son ex femme l'avait déjà dit et cela a été rapporté dans un livre maintenant célèbre. Le maintenant mari de Carla Bruni est un radin qui n'aime que lui, nous disait Cécilia par journaliste-écrivain interposé.
Cela ronfle fort chez les députés et sénateurs qui ont vraiment l'impression d'être pris pour des cons. Il faut donc les rassurer rapidement, ce n'est pas une impression. C'est la stricte réalité.
Celui qu'ils ont soutenu avec la plus grande ferveur n'a pas vraiment caché son jeu, mais quand on s'aveugle, il est normal que l'on se réveille avec un gros mal au cul.
On peut même se faire rappeler à la dure réalité : la lacheté, la veulerie, la pleutrerie. Ce que les français d'ailleurs ne supportent pas, puisqu'ils sont 78% à approuver NKM dans ses propos.
C'est Goasguen qui demande de sortir les mouchoirs, au nom d'autres députés peu courageux :
Dans un entretien à paraître dimanche 13 avril dans le Journal du Dimanche, le député UMP de Paris, Claude Goasguen, s'en prend à l'attitude de l'exécutif, déplorant que "la vie politique se résume à un face-à-face entre l'Elysée et l'opinion", et revient sur le différend qui a opposé le gouvernement à la secrétaire d'Etat à l'écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, un épisode qui a contribué à renforcer, selon lui, le "profond malaise" qui existe au sein de la majorité.
Après cette mini-crise et le cafouillage autour de la carte famille nombreuse, M. Goasguen n'hésite pas à prédire "de nouveaux couacs" au sein du gouvernement. "On va aborder des sujets sensibles comme l'ouverture des magasins le dimanche, le Revenu de solidarité active, la loi sur le Grenelle de l'environnement, le redéploiement de l'armée, la carte hospitalière dans un contexte budgétaire difficile", explique-t-il, estimant qu'il sera nécessaire de "faire de la pédagogie, et non balancer les mesures les unes après les autres comme un bombardement".
Après cette mini-crise et le cafouillage autour de la carte famille nombreuse, M. Goasguen n'hésite pas à prédire "de nouveaux couacs" au sein du gouvernement. "On va aborder des sujets sensibles comme l'ouverture des magasins le dimanche, le Revenu de solidarité active, la loi sur le Grenelle de l'environnement, le redéploiement de l'armée, la carte hospitalière dans un contexte budgétaire difficile", explique-t-il, estimant qu'il sera nécessaire de "faire de la pédagogie, et non balancer les mesures les unes après les autres comme un bombardement".
"Les ministres ont acté que le Parlement n'avait plus de pouvoir, déplore-t-il par ailleurs. "Ils assistent de moins en moins aux séances, ne répondent plus à nos questions, et vont chercher le satisfecit auprès du président". Or, affirme le député de Paris, ses collègues de la majorité "ne veulent plus être traités comme de simples bulletins de vote". "Beaucoup ont le sentiment que le volontarisme de Sarkozy s'étiole", ajoute-t-il.
"Il est urgent de réformer les institutions et de rétablir la souveraineté parlementaire", fait enfin valoir M. Goasguen, qui assure que "le face-à-face entre Sarkozy et l'opinion publique ne peut pas durer cinq ans".
"Il faudra bien qu'il y ait un premier ministre et un Parlement", constate-t-il.
Plaignons les ces pauvres petits nounous piétinés !