16 mars 2008
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Il est de notoriété publique que Nicolas Sarkozy de Nagy-Bocsa se sait parfait. Presque doté de clairvoyance divine il ne se trompe jamais. Corrolaire de cet état de fait, tous ceux qui ne comprennent pas sa grandeur et son intelligence sont des cons. D'ailleurs un mot sur quatre qui sort de sa divine bouche est "con".
Avec quelques variantes pour éviter la monotonie comme "connard". Tout le monde a pu le vérifier récemment avec la vidéo maintenant célèbre de son langage préféré : "casse toi pauvre con".
Nicolas Sarkozy est le meilleur d'entre nous. Et parce qu'il est le meilleur d'entre nous (il dépasse d'ailleurs Alain Juppé sur ce point, ce qui est un réel exploit) il ne peut se tromper. Tout ce qu'il décide, tout ce qu'il fait est d'inspiration divine.
Aussi quand un problème survient, quand un échec devient public, est il forcément innocent et irresponsable. Ce sont ceux accompagnent son grand et saint sillage qui ont fauté et ne sont pas à la hauteur.
Cette stratégie c'est celle du bouc émissaire. Celui qui paye pour d'autres. Nicolas Sarkozy en use et en abuse depuis qu'il a revêtu un costume beaucoup trop grand pour lui. Les ministres virés du gouvernement dans quelques jours en seront une belle illustration.
Ainsi le célèbre Martinon, qu'il faut en fait appeler de son vrain nom : "Martinon non non non", est il remercié et envoyé le plus loin possible de Paris, pour ... parler au nom de la France !
Nul doute que Martinon sera à sa place dans ce nouveau costume !
Et pour faire oublier la bérézina de Neuilly, Sarkozy a-t-il pris le soin d'adouber l'ennemi, Formentin, du sceau populiste. Cela aurait été de la faute des autres si cette ville de révolutionnaires Marxistes n'avait pas été conservée dans le giron du parti des tontons flingueurs.
Devedjian va lui aussi faire les frais de l'opération "renouvellement de façade" après les municipales. Faire croire au changement quand tout va continuer comme avant.
Sarkophage peut donc conseiller aux déchus du sarkozysme agonisant de s'agglomérer pour former un nouveau groupuscule politique. Ils pourraient l'appeler le parti de la politesse politique, tant sur ce point le vides est grand. Et pour un homme comme Devedjian qui traite une femme politique de Salope en public, cela ne pourrait faire que le plus grand bien. Et puis Panafieux aurait aussi sa place, avec son "tocard" de candidate paniquée. Il y a vraiment une vie après le populisme, il suffit de faire preuve d'un peu d'imagination !
Avec quelques variantes pour éviter la monotonie comme "connard". Tout le monde a pu le vérifier récemment avec la vidéo maintenant célèbre de son langage préféré : "casse toi pauvre con".
![sarkozy martinon sarkostique](http://img141.imageshack.us/img141/6177/23252865pux1.jpg)
Aussi quand un problème survient, quand un échec devient public, est il forcément innocent et irresponsable. Ce sont ceux accompagnent son grand et saint sillage qui ont fauté et ne sont pas à la hauteur.
Cette stratégie c'est celle du bouc émissaire. Celui qui paye pour d'autres. Nicolas Sarkozy en use et en abuse depuis qu'il a revêtu un costume beaucoup trop grand pour lui. Les ministres virés du gouvernement dans quelques jours en seront une belle illustration.
Ainsi le célèbre Martinon, qu'il faut en fait appeler de son vrain nom : "Martinon non non non", est il remercié et envoyé le plus loin possible de Paris, pour ... parler au nom de la France !
Nul doute que Martinon sera à sa place dans ce nouveau costume !
Et pour faire oublier la bérézina de Neuilly, Sarkozy a-t-il pris le soin d'adouber l'ennemi, Formentin, du sceau populiste. Cela aurait été de la faute des autres si cette ville de révolutionnaires Marxistes n'avait pas été conservée dans le giron du parti des tontons flingueurs.
Sarkophage peut donc conseiller aux déchus du sarkozysme agonisant de s'agglomérer pour former un nouveau groupuscule politique. Ils pourraient l'appeler le parti de la politesse politique, tant sur ce point le vides est grand. Et pour un homme comme Devedjian qui traite une femme politique de Salope en public, cela ne pourrait faire que le plus grand bien. Et puis Panafieux aurait aussi sa place, avec son "tocard" de candidate paniquée. Il y a vraiment une vie après le populisme, il suffit de faire preuve d'un peu d'imagination !