25 février 2008
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20:48
Le navrant spectacle offert régulièrement par un Sarkozy incapable d'assumer sa fonction et de se tenir correctement oblige la droite cassoulet à placer sa petite saucisse sous tutelle.
C'est la conséquence logique d'une dégringolade commencée avant même que la petite saucisse malpolie ne deviennent officiellement le président de la république.
Il faut se remémorer toutes les frasques de cet homme disposant d'un CDI que personne ou presque ne peut rompre et qui renouvelle avec brio le style Deschanel (pour ceux qui ne connaîtraient pas ce délicieux président de la république, il suffit de cliquer sur le lien pour s'en payer une bonne tranche !).
A peine élu il part s'amuser sur un Yatch dont le prêt est assuré par un ami totalement désintéressé. Se faisant il montre très vite son orientation politique pour son mandat : le style bling bling tendance décomplexé.
Ce ne sont ensuite que nouvelles frasques et indécents comportements. Un grand gamin monté sur talonnettes en somme. Voilà ce qui se passe quand on veut tout après avoir été élevé avec une cuillère d'argent entre les canines qui rayent le plancher. (Mitterrand avait eu lui l'intelligence de les faire limer).
La droite cassoulet, solidaire forcément, non par amitié mais par intérêt électoral, a fait sortir l'ambulance et les infirmiers. Morano a par exemple du confondre l'entonnoir et la blouse. Mais c'est l'intention qui compte.
Tous les fayots ont donc convenu qu'il était grand temps de défendre la saucisse éructante. Sinon, point de victoire aux élections.
Chacun y va de sa petite musique.
Le balourd Raffarien nous explique qu'il s'agit d'une conversation privée. Sarkophage savait que la fonction de premier ministre use, mais à ce point là, il ne l'aurait jamais pensé.
Le perfide et subtil à l'occasion (Sarkophage pèse ses mots pour éviter le procès pour diffamation que le monsieur a intenté contre un blogueur de sa ville !) Jégo, amateur de blog fait par d'autres, déclare : "c'est une volonté de lyncher le chef de l'État, de l'abattre" et a imputé la responsabilité de l'incident à la "coalition des perdants", au "syndicat des aigris".
Karoutchi lui se prend pour un tonton flingueur; il regarde sans doute trop la télé : "Sincèrement, ça ne me choque pas", a renchéri le secrétaire d'État chargé des relations avec le Parlement, Roger Karoutchi, sur Radio Classique. "Je suis pas sûr que j'aurais pas dit pire. Je me demande si je lui aurais pas mis une baffe".
Sarkophage arrête là l'exposé de la bêtise de la droite cassoulet. Car il y a pire que d'avoir un président qui n'en est pas un, c'est qu'il soit entouré de gens qui lui trouvent des excuses. C'est quand l'age de la responsabilité pour l'UMP ?
En attendant reste en suspens un projet présidentiel digne de la fin de Weimar pour ne pas dire autre chose. Alors la droite cassoulet tente la diversion à peine camouflée. Il est sous tutelle que je vous dis ! Et avec une tutelle comme celle là il ne peut faire que des progrès. L'union des Mal Polis ! (Tous les propos ci dessous ont bien été tenus ..)
En attendant cette tutelle va devoir durer longtemps. Parce que quatre ans c'est long. Il reste bien la démission. Mais vu la propension de la famille à s'accrocherà tout ce qui fait bling bling, on risque de ne jamais vivre cet intense moment de libération.
On finit par comprendre Ingrid Bettancourt encore un peu plus ....
Merci à Chimulus
C'est la conséquence logique d'une dégringolade commencée avant même que la petite saucisse malpolie ne deviennent officiellement le président de la république.
Il faut se remémorer toutes les frasques de cet homme disposant d'un CDI que personne ou presque ne peut rompre et qui renouvelle avec brio le style Deschanel (pour ceux qui ne connaîtraient pas ce délicieux président de la république, il suffit de cliquer sur le lien pour s'en payer une bonne tranche !).
A peine élu il part s'amuser sur un Yatch dont le prêt est assuré par un ami totalement désintéressé. Se faisant il montre très vite son orientation politique pour son mandat : le style bling bling tendance décomplexé.
La droite cassoulet, solidaire forcément, non par amitié mais par intérêt électoral, a fait sortir l'ambulance et les infirmiers. Morano a par exemple du confondre l'entonnoir et la blouse. Mais c'est l'intention qui compte.
Tous les fayots ont donc convenu qu'il était grand temps de défendre la saucisse éructante. Sinon, point de victoire aux élections.
Chacun y va de sa petite musique.
Le balourd Raffarien nous explique qu'il s'agit d'une conversation privée. Sarkophage savait que la fonction de premier ministre use, mais à ce point là, il ne l'aurait jamais pensé.
Le perfide et subtil à l'occasion (Sarkophage pèse ses mots pour éviter le procès pour diffamation que le monsieur a intenté contre un blogueur de sa ville !) Jégo, amateur de blog fait par d'autres, déclare : "c'est une volonté de lyncher le chef de l'État, de l'abattre" et a imputé la responsabilité de l'incident à la "coalition des perdants", au "syndicat des aigris".
Karoutchi lui se prend pour un tonton flingueur; il regarde sans doute trop la télé : "Sincèrement, ça ne me choque pas", a renchéri le secrétaire d'État chargé des relations avec le Parlement, Roger Karoutchi, sur Radio Classique. "Je suis pas sûr que j'aurais pas dit pire. Je me demande si je lui aurais pas mis une baffe".
Sarkophage arrête là l'exposé de la bêtise de la droite cassoulet. Car il y a pire que d'avoir un président qui n'en est pas un, c'est qu'il soit entouré de gens qui lui trouvent des excuses. C'est quand l'age de la responsabilité pour l'UMP ?
En attendant reste en suspens un projet présidentiel digne de la fin de Weimar pour ne pas dire autre chose. Alors la droite cassoulet tente la diversion à peine camouflée. Il est sous tutelle que je vous dis ! Et avec une tutelle comme celle là il ne peut faire que des progrès. L'union des Mal Polis ! (Tous les propos ci dessous ont bien été tenus ..)
Merci à Tropical Boy
En attendant cette tutelle va devoir durer longtemps. Parce que quatre ans c'est long. Il reste bien la démission. Mais vu la propension de la famille à s'accrocherà tout ce qui fait bling bling, on risque de ne jamais vivre cet intense moment de libération.
On finit par comprendre Ingrid Bettancourt encore un peu plus ....
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