16 février 2008
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19:15
Les carottes doivent être tellement cuites que les proches de Sarkozy en sont à chercher une porte de sortie efficace. Pour le côté discret, ce n'est pas trop le souci.
Un des fidèles serviteurs du grand maître de l'ordre de la Rolex et du Bling Bling, Yves Jégo (celui qui présente son blog sur une chaîne de télé mais n'en connait pas l'adresse) a ainsi été envoyé les deux rames à la main pour éteindre l'incendie dans la maison Sarkozy.
Il a donc été missionné avec quelques allumettes, qui en fait sont un lance flamme peu délicat.
Que nous a dit ce grand amateur d'objectivité et de Sarkolatrie qu'est Yves Jégo ? Attachez vos ceintures de caleçon, vous pourriez faire trois tours dedans sans vous en rendre compte.
Extraits de cette prose subtile et étudiée :
Un des fidèles serviteurs du grand maître de l'ordre de la Rolex et du Bling Bling, Yves Jégo (celui qui présente son blog sur une chaîne de télé mais n'en connait pas l'adresse) a ainsi été envoyé les deux rames à la main pour éteindre l'incendie dans la maison Sarkozy.
Merci à Jardin
Il a donc été missionné avec quelques allumettes, qui en fait sont un lance flamme peu délicat.
Que nous a dit ce grand amateur d'objectivité et de Sarkolatrie qu'est Yves Jégo ? Attachez vos ceintures de caleçon, vous pourriez faire trois tours dedans sans vous en rendre compte.
Extraits de cette prose subtile et étudiée :
"C'est exactement la méthode des procès staliniens. Ce qui ne m'étonne pas d'ailleurs, venant du journal Marianne", qui "a titré il y a quelques mois 'Nicolas Sarkozy est-il fou?'", a-t-il ajouté. "Je suis pour la liberté d'expression, mais il faut décrypter l'opération".
Parmi les 17 personnalités qui unissent leur voix -sans jamais citer nommément Nicolas Sarkozy-, figurent Ségolène Royal, François Bayrou et Dominique de Villepin. Outre l'ancienne candidate socialiste à la présidentielle, le président du MoDem et l'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, le maire de Paris Bertrand Delanoë, Jean-Pierre Chevènement, le député Vert Noël Mamère ou le député souverainiste Nicolas Dupont-Aignan ont signé le texte.
Dans un entretien paru samedi dans Le Figaro, Yves Jego affirme également qu'"on veut abattre le président de la République", et dénonce "une forme de complot politico-financier" et un "terrorisme intellectuel".
"Il y a d'un côté ceux qui désespèrent de la gauche, et qui, n'ayant plus d'armée officielle, veulent développer une forme de terrorisme intellectuel dans notre pays", affirme Yves Jego, interrogé sur la baisse de Nicolas Sarkozy dans les sondages.
"De l'autre côté, viennent s'ajouter ceux qui veulent garder leurs avantages acquis et qui ont peur du changement", ajoute-t-il.
"Il y a là une conjonction d'intérêts inédite sous la Ve République. C'est la première fois que l'on veut 'abattre' avec tant de force un président de la République alors qu'il n'y a pas de crise politique et sociale, ni même de grèves massives", juge-t-il.
Quant à la médiatisation de la vie privée du chef de l'Etat, il estime que "c'est plus que du harcèlement, c'est une forme de complot politico-financier qui ne s'appuie sur aucune justification rationnelle".
Pour lui, "avant, la presse était de connivence avec les présidents qui mentaient sur leur vie privée. Aujourd'hui, elle semble vouloir porter atteinte à celui qui dit la vérité sur sa vie privée".
"Nous verrons si l'opération de destruction a fonctionné, mais je sens qu'une réaction est en train de se produire", affirme Yves Jego.
"Ce terrorisme intellectuel malveillant suscite une révolte dans l'opinion, qui n'accepte plus cette méthode de lynchage permanent ".
Merci à Lobo
Parmi les 17 personnalités qui unissent leur voix -sans jamais citer nommément Nicolas Sarkozy-, figurent Ségolène Royal, François Bayrou et Dominique de Villepin. Outre l'ancienne candidate socialiste à la présidentielle, le président du MoDem et l'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, le maire de Paris Bertrand Delanoë, Jean-Pierre Chevènement, le député Vert Noël Mamère ou le député souverainiste Nicolas Dupont-Aignan ont signé le texte.
Dans un entretien paru samedi dans Le Figaro, Yves Jego affirme également qu'"on veut abattre le président de la République", et dénonce "une forme de complot politico-financier" et un "terrorisme intellectuel".
"Il y a d'un côté ceux qui désespèrent de la gauche, et qui, n'ayant plus d'armée officielle, veulent développer une forme de terrorisme intellectuel dans notre pays", affirme Yves Jego, interrogé sur la baisse de Nicolas Sarkozy dans les sondages.
"De l'autre côté, viennent s'ajouter ceux qui veulent garder leurs avantages acquis et qui ont peur du changement", ajoute-t-il.
"Il y a là une conjonction d'intérêts inédite sous la Ve République. C'est la première fois que l'on veut 'abattre' avec tant de force un président de la République alors qu'il n'y a pas de crise politique et sociale, ni même de grèves massives", juge-t-il.
Merci à Placide
Quant à la médiatisation de la vie privée du chef de l'Etat, il estime que "c'est plus que du harcèlement, c'est une forme de complot politico-financier qui ne s'appuie sur aucune justification rationnelle".
Merci à Snut
Pour lui, "avant, la presse était de connivence avec les présidents qui mentaient sur leur vie privée. Aujourd'hui, elle semble vouloir porter atteinte à celui qui dit la vérité sur sa vie privée".
Merci à BigouFakes
"Nous verrons si l'opération de destruction a fonctionné, mais je sens qu'une réaction est en train de se produire", affirme Yves Jego.
"Ce terrorisme intellectuel malveillant suscite une révolte dans l'opinion, qui n'accepte plus cette méthode de lynchage permanent ".
Merci à Delucq
La technique a la mérite d'être sans aucune subjectivité ni grosse ficelle. C'est qu'à l'UMP il faut faire preuve d'un QI significatif pour avoir sa carte.
Il est amusant de voir que les reproches faits à la presse ou à d'autres politiques qui ont l'outrecuidance de dire la vérité, sont en fait construits sur le principe du miroir.
Technique bien connue qui consiste à tirer le premier en reprochant à autrui ce que l'on pourrait se voir incriminer.
Les méthode staliniennes ne sont certainement pas du côté d'un président qui faisant fi du vote très majoritaire contre un texte l'a fait passer par la petite porte avec un bras d'honneur pour la démocratie.
Les méthodes staliniennes ne peuvent pas concerner un président invitant un dictateur sanguinaire pendant une semaine, parce qu'il pourrait acheter des gadgets pour quelques milliards de dollars (d'ailleurs il ne l'a pas fait comme cela était prévu, mais Sarkozy ne s'en vante pas)
Notre omniprésent président est impuissant pour changer ce qui doit l'être. Parler de conservatisme quand on recule devant quelques taxis en colère (et les pharmaciens ? et les notaires ?) ce n'est pas un peu prendre les français pour des imbéciles ?
Ces imbéciles ont une arme de destruction massive dans les mains : un bulletin de vote !
Il est amusant de voir que les reproches faits à la presse ou à d'autres politiques qui ont l'outrecuidance de dire la vérité, sont en fait construits sur le principe du miroir.
Merci à BigouFakes
Technique bien connue qui consiste à tirer le premier en reprochant à autrui ce que l'on pourrait se voir incriminer.
Merci à BigouFakes
Les méthode staliniennes ne sont certainement pas du côté d'un président qui faisant fi du vote très majoritaire contre un texte l'a fait passer par la petite porte avec un bras d'honneur pour la démocratie.
Merci à Christian
Les méthodes staliniennes ne peuvent pas concerner un président invitant un dictateur sanguinaire pendant une semaine, parce qu'il pourrait acheter des gadgets pour quelques milliards de dollars (d'ailleurs il ne l'a pas fait comme cela était prévu, mais Sarkozy ne s'en vante pas)
Merci au Blog du Chi
Notre omniprésent président est impuissant pour changer ce qui doit l'être. Parler de conservatisme quand on recule devant quelques taxis en colère (et les pharmaciens ? et les notaires ?) ce n'est pas un peu prendre les français pour des imbéciles ?
Ces imbéciles ont une arme de destruction massive dans les mains : un bulletin de vote !