Le feuilleton continue ! La longue histoire du je t'aime, moi non plus se poursuit sous les yeux médusés de la France et de Jean-Marie Sarkozy. Le petit Nicolas Le Pen a en effet déjà un lourd passif avec la presse. Passif accumulé au travers de l'interdiction d'un bouquin, du coup de gueule contre Lagardère à propos de son possible cocufiage, de la manie familiale d'empêcher certains livres de paraître, de la peur qu'ont les journalistes de ce petit prétendant à la présidence de la France.
Paris-Match donc, avec Genestar son directeur, était un peu en délicatesse avec Jean-Marie Sarkozy. A tel point qu'il a même été question de le débarquer. Mais comme cela devenait un peu visible, cela a été repoussé. Or, Paris-Match s'intéresse au personnage préféré des français (non ce n'est plus l'abbé pierre !) Yannick Noah. Lequel livre ses pensées et réflexions, pour certaines sans concession.
Et que fait Paris-Match ? Il coupe une phrase sans ambiguité, qui montre que le personnage préféré des français est allergique à Nicolas Le Pen !
Cette phrase va devenir une réplique d'anthologie :
"Une chose est sûre, si Sarkozy passe, je me casse !".
Intéressant comme alternative !
Nous aurons le choix entre un clone de Jean-Marie Sarkozy, alias Nicolas Le Pen et l'homme préféré des français. C'est un La Bible rejouée au troisième millénaire, barabas ou jésus ? :o)
Elle est pas belle la presse de notre pays ?