25 octobre 2007
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La réforme du statut pénal du chef de l'état de Chirac réserve des surprises croustillantes (ou humiliantes selon le point de vue).
Nicolas Sarkozy, dont les réformes font pschhhhiittt les unes après les autres (c'est l'art de la marche arrière sans rétroviseur) mais qui parvient, avec son joli programme de france rance à faire mettre en garde à vue un bébé, est en effet aux yeux de la loi française, aujourd'hui, un incapable.
La loi vient ainsi confirmer un état de fait presque certain. Une certitude acquise par la simple observation des faits. Notamment en ce qui concerne l'application de la tolérance triple zéro puissance douze. Qui laisse pantois de colère et d'énervement les victimes actuelles de l'insécurité qui n'est plus aujourd'hui un argument de campagne mais un problème comme les autres.
Le statut pénal du chef de l'état réformé par la volonté d'un Chirac sur le départ en retraite à en effet fabriqué un véritable ectoplasme juridique. Notre président de la république est devenu, par la force des choses et d'un divorce bien négocié, un fantôme statutaire.
Concrètement , notre nouveau omniprésident de la république du charter, ne peut faire l'objet d'une action devant aucune juridiction. Cela posé, la situation devient plus que tordue si on imagine par exemple, que Cécilia aie quelques soucis de pension alimentaire. Que risque le papa indélicat du petit Louis ? Rien ! Il est intouchable. Bon certes, Cécilia aurait dû y penser avant. Mais en terme de droit c'est plus grave que cela.
Tout bon juriste dira qu'il est impossible de reconnaître la validité d'un contrat quand une partie n'est soumise à aucune contrainte possible sur celui-ci. Autrement dit, un contrat ne peut-être considéré que comme nul si une des parties, en l'occurence ici une petite partie du Nom de Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa, n'a que des droits et aucune contrainte.
Notre bon camembert en chef est donc aujourd'hui dans une bulle juridique. Elle est belle, elle est intéressante quand on traîne quelques éventuelles batteries de casserolles. Mais elle rend incapable ... Sa signature aujourd'hui sur un contrat ne vaut rien. Pour les raisons expliquées ci-dessus. Nicolas Sarkozy a une responsabilité en matière civile du niveau d'un majeur sous tutelle. Ou d'un enfant adepte du hochet et de la couche culotte.
Qui l'eut cru ! Notre président tant aimé par la France d'en bas n'a pas la responsabilité d'un jeune majeur. Et nous lui avons confié l'arme nucléaire ... Charmant !
Nicolas Sarkozy, dont les réformes font pschhhhiittt les unes après les autres (c'est l'art de la marche arrière sans rétroviseur) mais qui parvient, avec son joli programme de france rance à faire mettre en garde à vue un bébé, est en effet aux yeux de la loi française, aujourd'hui, un incapable.
La loi vient ainsi confirmer un état de fait presque certain. Une certitude acquise par la simple observation des faits. Notamment en ce qui concerne l'application de la tolérance triple zéro puissance douze. Qui laisse pantois de colère et d'énervement les victimes actuelles de l'insécurité qui n'est plus aujourd'hui un argument de campagne mais un problème comme les autres.
Le statut pénal du chef de l'état réformé par la volonté d'un Chirac sur le départ en retraite à en effet fabriqué un véritable ectoplasme juridique. Notre président de la république est devenu, par la force des choses et d'un divorce bien négocié, un fantôme statutaire.
Concrètement , notre nouveau omniprésident de la république du charter, ne peut faire l'objet d'une action devant aucune juridiction. Cela posé, la situation devient plus que tordue si on imagine par exemple, que Cécilia aie quelques soucis de pension alimentaire. Que risque le papa indélicat du petit Louis ? Rien ! Il est intouchable. Bon certes, Cécilia aurait dû y penser avant. Mais en terme de droit c'est plus grave que cela.
Tout bon juriste dira qu'il est impossible de reconnaître la validité d'un contrat quand une partie n'est soumise à aucune contrainte possible sur celui-ci. Autrement dit, un contrat ne peut-être considéré que comme nul si une des parties, en l'occurence ici une petite partie du Nom de Nicolas Sarkozy de Nagy Bocsa, n'a que des droits et aucune contrainte.
Notre bon camembert en chef est donc aujourd'hui dans une bulle juridique. Elle est belle, elle est intéressante quand on traîne quelques éventuelles batteries de casserolles. Mais elle rend incapable ... Sa signature aujourd'hui sur un contrat ne vaut rien. Pour les raisons expliquées ci-dessus. Nicolas Sarkozy a une responsabilité en matière civile du niveau d'un majeur sous tutelle. Ou d'un enfant adepte du hochet et de la couche culotte.
Qui l'eut cru ! Notre président tant aimé par la France d'en bas n'a pas la responsabilité d'un jeune majeur. Et nous lui avons confié l'arme nucléaire ... Charmant !
Merci au Canard Enchaîné pour l'analyse de ce point de droit un peu de travers !
Sarkostique le Sarkozy blog officiel satirique
Ecrit par Sarkophage avec sarkostique anti sarkozy
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Un président en toc mais bling bling
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